Le Fascisme Italien Et Le Nazisme Allemand

Évidemment, la ponction des états nazis qu'a pu faire dans les territoires qu'ils occupaient, notamment la France. La dette de la France est alors multiplié par quatre pendant la guerre, pour le Royaume-Uni est multiplié par trois et pour les Allemands multiplié par dix. L' Allemagne a énormément investie dans l'industrie de guerre. Conséquence économique : inflation, donc dévalorisation des monnaies. L'URSS voit soixante-dix de ses villages détruits et ¼ de ses cheptels soviétiques décimés. La

privés ne suffiront pas à l’effort de reconstruction gigantesque. A la sortie de la guerre une forte envie d'épuration se fait ressentir, celle de se débarrasser définitivement de tout ce qui lie de près ou de loin au nazisme avec la dénazification en Autriche principalement et au fascisme en Italie. D'autre part, la nationalisation des entreprises permet à l’État une sécurisation et une garantie de l'emploi. En France, en Autriche et en Grande-Bretagne une véritable volonté d'union nationale se

totalité des activités de la société qu'il dirige. Remarquons que ce mot est nouveau, car, il est apparu dans les années 1930 pour designer les régimes autoritaires. Quelques années plus tard, Mussolini le reprend pour montrer la suprématie de l’Etat Italien. A la fin de la guerre, il prit une signification péjorative. A l’époque, un combat sans merci opposait deux idéologies opposées à tout point, mais qui étaient tous les deux légitimes dans leur zone d’influence. En fait, pour simplifier ;

III. Le cinéma une dimension sociale A. L’utilisation du cinéma pour dénoncer des problèmes sociaux Les films des années 1930 s'intéressent aux problèmes sociaux et au sort des plus démunis. Certains films de Charlie Chaplin dénoncent la montée du fascisme et les conditions de travail des ouvriers. Les comédies de Frank Capra, bien que légères, critiquent les excès du capitalisme sauvage. À la fin des années 1930 et pendant la guerre, le Technicolor donne ses premières couleurs au cinéma américain

INTRODUCTION Les années trente sont à la charnière des deux conflits mondiaux du XXème siècle : les horreurs de la première guerre mondiale sont encore en mémoire, alors que la crise économique, la montée du nazisme et du fascisme, la guerre d’Espagne sont comme le mauvais présage de l’inévitable seconde guerre mondiale. On trouve dans les œuvres de cette période beaucoup d’inventivité et de création mais aussi les hésitations, les doutes, les angoisses

Les régimes totalitaires entre les deux guerres. Fascisme en Italie. Stalinisme en URSS. Nazisme en Allemagne. Ceux ci entrent en compétition contre les démocraties, des points communs unissent ces trois régimes mais les finalités de chacun sont spécifiques. Ces trois totalitarismes sont nés de la guerre de 1914-1918. 1) La prise de pouvoir par Staline en URSS. Première révolution en février 1917, bourgeoise, Kerensky chef du gouvernement, il continue la guerre. Lénine publie ses thèses

permettent pas d’obtenir la totalité des territoires qu’elle convoite sur l’Empire austro-hongrois, le thème de la « victoire mutilée » se développe alors dans les partis d’extrême droite. Parmi ces partis on note la montée du mouvement « les faisceaux italiens de combat » fondé par Benito Mussolini en mars 1919. Ce mouvement rassemble des nationalistes, des anarchistes et surtout des anciens combattants. En ce qui concerne la Russie, ce pays a aussi connu d’importants bouleversements politiques avant

colonisation). Pour se protéger face à un conflit imminent = on fait des alliances. (Triple entente et triple alliance). 2/ Voir carte 3/Les zones de rivalités : • Les zones coloniales (notamment l’Afrique) • L’alsace lorraine (Antagonisme Franco-Allemand) • Les Balkans (Antagonisme Russo-Autriche Hongrie, Anglo Russie) De quelle nature sont-elles ? • Impérialisme économique • Impérialisme politique (colonisation) • Rivalités nationaliste 4/ C est le jeux des alliances qui entraine l’Europe

que les tats devaient respecter pour une paix universelle. Les vaincus ne sont pas prsents la table des ngociations. On peut donc observer une rgression qui annonce une fragilit certaine, qui sera perut comme un dictat. Fragilit pour le rgime Allemand natre, passe pour un rgime qui manque de force. Une place infime voir inexistante nest laiss la jeune Russie Bolchevique, labsence cre des incomprhensions et cest donc une erreur politique. Le dclin de lEurope Entre 1914 et 1918, les guerres et

constituer son personnage et imposer sa propagande aux Allemands: avec ses uniformes, Hitler aimait ainsi se montrer en militaire, en chef de guerre prêt au combat, par opposition aux autres hommes politiques en civil désignés alors comme des lâches; par ailleurs, en public, il ne discutait pas, il ne parlait pas mais il criait, il hurlait sa haine des démocraties et des Juifs, notamment lors des meetings du parti nazi. Mais à l'égard des «bons» Allemands, il montrait aussi un visage plus aimable comme