Le Fils Du Pauvre

dame avec «sauvage et désolé», puisque plus| | | |loin dans le récit, nous pouvons constater la mort de son fils. Donc, | | | |nous pouvons appréhender des comportements bestiaux des personnages. En| |

:" Ô, Nouh, si tu veux que nous te croyions, tu dois te débarrasser de certains de tes partisans actuels dont beaucoup sont pauvres. Comment pouvons-nous croire en une religion qui traite de la même manière les pauvres et les riches ?" Le Prophète Nouh leur a répondu :" Ma religion est pour tout le monde, le sage et l'imprudent, le célèbre et l'inconnu, le riche et le pauvre. Comment puis-je abandonner les gens qui m'ont supporté quand j'étais tout seul ? Ces gens sont de vrais croyants en Allah

s’agit d’un dialogue théâtral en vers. Ce dialogue se passe entre 2 personnages: Don Rodrigue et Don Diègue. Le thème principal est celui de la vengeance et elle est représentée à travers un réseau lexical. Don Diègue, père de don Rodrigue, révèle à son fils l’identité de la personne qui l’a offensé (gifler) c'est-à-dire le père de Chimène, la fille que Rodrigue aime, donc ce dernier se trouve à choisir entre l’obéissance à son père et l’amour pour Chimène. On peut diviser le dialogue entre 2 sequence:

L'avare Personnages Harpagon : L'avare Cléante : Son Fils Elise : Sa Fille Valère : Garçon secrétaire (amoureux de la fille en réalité fils de Dom Thomas d'Alburcy) Mariane : femme pauvre amoureuse du fils En réalité fille de Dom Thomas d'Alburcy le père veut se marié avec Anselme :qui est censé ce marier avec la fille En réalité fils de Dom Thomas d'Alburcy Frosine : Femme d'Intrigue Maitre Simon : Courtier Maitre Jacques : Cuisinier et cocher Dame Claude : Servante Brindavoine : Laquais

secteur s’est divisé en deux parties : le tertiaire supérieur (ingénieur, bon niveau d’étude) et le tertiaire inférieur (caissière, agence touristique, hôtellerie). Il y a donc une fracture sociale entre les travailleurs riches et les travailleurs pauvres. Conclusion : nous sommes passés de la génération des conquêtes sociales à la génération de nos jours qui essaie de conserver les acquis. Les générations futures essayeront de négocier une baisse des prix. IC2 : L’évolution des modes de vies IS1 :

cette pièce, il est important de rappeler que son succès n'a eu lieu qu'à titre posthume Personnages : -Harpagon, père de Cléante et d’Elise, et amoureux de Mariane -Mariane, amante de Cléante et aimée d’Harpagon -Cléante, fils d’Harpagon, amant de Mariane -Valère, fils d’Anselme et amant d’Elise -Elise, fille d’Harpagon -Anselme, père de Valère et de Mariane -Frosine, femme d'intrigue -Maître Simon, courtier -Maître Jacques, cuisinier et cocher d'Harpagon -La Flèche, valet de Cléante

prends-nous tous dans ton Amour : dans l'Amour infini, qui est éternellement Celui du Père pour le Fils et du Fils pour le Père, celui du Père et du Fils pour l'Esprit, et de l'Esprit pour le Père et pour le Fils. L'Hostie Sainte exposée à nos yeux dit cette Puissance infinie de l'Amour manifestée sur la Croix glorieuse. L'Hostie Sainte nous dit l'incroyable abaissement de Celui qui s'est fait pauvre pour nous faire riches de Lui, Celui qui a accepté de tout perdre pour nous gagner à son Père. L'Hostie

avait, que son moulin, son âne et son chat. Les partages furent bientôt faits : ni le notaire, ni le procureur n'y furent point appelés. Ils auraient eu bientôt mangé tout le pauvre patrimoine. L'aîné eut le moulin, le second eut l'âne, et le plus jeune n'eut que le chat. Ce dernier ne pouvait se consoler d'avoir un si pauvre lot : « Mes frères, disait-il, pourront gagner leur vie honnêtement en se mettant ensemble ; pour moi, lorsque j'aurai mangé mon chat, et que je me serai fait un manchon de

surviennent... ce qui vous fait dire :     Je n'ai vraiment pas de chance !    Vous la connaissez peut être déjà. Elle est     tellement porteuse de sens qu'il vaut la peine     de la relire. Il était une fois...  ...dans un village, un homme très pauvre qui     avait un très beau cheval. Le cheval était si     beau que les seigneurs du château voulaient le     lui acheter, mais il refusait toujours.   - "Pour moi ce cheval n'est pas un animal,     c'est vraiment un ami. Comment voulez-vous 

châtains. Elle avait deux ans et un mois quand je l'ai vue pour la dernière fois. Ainsi, après ma mort, trois femmes, sans fils, sans mari, sans père ; trois orphelines de différente espèce ; trois veuves du fait de la loi. J'admets que je sois justement puni ; ces innocentes, qu'ont-elles fait ? N'importe ; on les déshonore, on les ruine. C'est la justice. Ce n'est pas que ma pauvre vieille mère m'inquiète ; elle a soixante-quatre ans, elle mourra du coup. Ou si elle va quelques jours encore, pourvu