Le Fils Du Pauvre

MÉNÉDÈME
J'ai un fils unique, un tout jeune homme. Ah! que dis-je, j'ai un fils? J'en avais un, Chrémès; mais aujourd'hui, l'ai-je ou non? je ne sais.
 CHRÉMÈS
Qu'est-ce à dire?
 MÉNÉDÈME
Tu vas le savoir. Il y a ici une vieille femme venue de Corinthe, qui est fort pauvre. Mon fils devint éperdument amoureux de sa fille, au point de la traiter déjà comme sa femme, tout cela à mon insu. Dès que j'en fus instruit, au lieu de le prendre par la douceur et de traiter ce jeune cœur malade comme il aurait

bousculade énorme. Simon se trouve frappé, déchiré, meurtri, roulé par terre. Un petit voisin qui était lui aussi seul avec sa mère lui dit qu’il n’a pas de père car son père est mort. Il veut se noyer dans la rivière. Il veut se noyer comme un bonhomme pauvre qui s’était noyé 8 jours auparavant. Mais un forgeron nommé Philippe va le trouver et le ramène à sa mère. Simon va demander à Philippe d’être son papa. Philippe est quelqu’un de très gentil et accepte quand Simon lui demande d’être son père, c’est

liturgie. La vita d'Helgaud de Fleury contient une énumération des œuvres de pénitence du Pieux Roi Robert tel qu'on pouvait le concevoir à l'époque. Cela commence par les pratiques de dévotion liturgique, se poursuit avec l'aumône et le service des pauvres et s'épanouit dans la constructions d'églises et de monastères : saint aignan d'orléans ou encore saint-Denys de Fleury dont Helgaud fut l'architecte. Nous allons donc nous interesser dans une premiere partie au caractère pénitent de ce roi. I/

amants est de faire du frère, Cléante, un allié. L’entendant arriver, Valère se retire. Scène 2. Cléante, Élise. Dans cette seconde scène d’exposition, on apprend en même temps qu’Élise que son frère Cléante veut épouser Mariane, une jeune fille pauvre qui vit avec sa mère souvent malade, dont il est amoureux. Cléante se révolte surtout contre l’avarice de son père qui l’empêche d’aider Mariane. Il envisage même de s’enfuir avec sa bien-aimée à l’étranger. Habitué à faire des dettes pour se vêtir

ingénieur juif mi-russe mi-iranien et d’une violoniste juive de Hongrie arrivée en France pour fuir la dictature soviétique, Yasmina Réza étudie le théâtre et la sociologie à l'université de Nanterre. Elle est mère d'une fille, Alta, née en 1988 et d'un fils, Nathan, né en 1993. Auteur à la production très variée (théâtre, récits, romans), Yasmina Réza développe un pessimisme voilé d'humour. Ses pièces mettent souvent et suptilement en scène des personnages contemporains, dont elles reflètent les défauts

ne pas se déplacer l. 53-54? Que peut-on en déduire sur son caractère? Les 2 frères Les fermiers Le curé « pauvres » (faim) « riches » l. 13 « sots » l. 14 Il trouve des prétextes pour ne pas se déplacer: l'obscurité et les pieds-nus paresseux => Les personnages s'opposent. A qui va la sympathie du conteur? La sympathie du conteur va aux deux frères car ils sont pauvres, c'est la fin qui les pousse à agir. Le conteur est toujours du côté des faibles dans les fabliaux. II ) Le comique

PAUVRE PETIT GARCON Edition en francais : Le receuil Le K , Edition Robert Laffont en 1972 Ce récit est une nouvelle à chute ( avec une fin rebondissante). L'auteur : Dino Buzzati est italien, Il est né le 16 octobre 1906 dans la région de Vénétie en Italie. Il est décédé d'un cancer le 28 janvier 1972 à Milan . Après des études de droits il devient journaliste et il est chargé de la rubrique des faits divers dans une ville de criminalités. C'est à partir de la que lui vient son inspiration

d’une même phrase qu’il répétait régulièrement. C’était une sorte de confidence triste que ce père très aimant adressait autrefois à son fils. Elle disait, cette phrase, combien le père se sentait coupable de la solitude de l’enfant : « Pauvre enfant, tu vas dans un tranquille désespoir ». Le fils se sentait alors coupable de la tristesse du père. Toute sa vie le fils avait porté en lui l’énigme de cette confidence, avec le sentiment, nous dit Kierkegaard, que « seul son père l’avait compris ». Pourtant

Courcil, qui n’est point aimée ni par son mari ni par ses deux fils, trouve refuge dans les bras de M. de Bourneval, un ami de la famille. Les deux amants s’aiment en secret. René a 18 ans lorsque sa mère meurt. Celle-ci a laissé un testament chez le notaire. M. de Courcil, René, ses deux frères ainsi que M. de Bourneval se rendent chez lui. Lors de la lecture du testament, Mme de Courcil déclare ne rien laisser à son mari et à ses deux fils aînés car ils ne l’ont jamais aimée ; elle estime ne plus rien

bois, avec trois lièvres autour du cou. Les sabots (pp. 65-71) Une jeune fille, naïve et pauvre, est envoyée comme servante chez un riche paysan. Ce dernier la prend progressivement pour compagne et l’engrosse. Le père venant lui demander d’assumer son acte, il la marie. La rempailleuse (pp. 73-80) Le narrateur parle d’un amour unique et tragique. La fille de pauvres rempailleurs s’éprend jeune d’un fils de bonne famille qui deviendra pharmacien et toute sa vie durant elle l’aime bien que cela