Le Gaullisme

Franc-Tireurs selon les arguments d’un espoir d’une liaison radio avec Londres, des moyens financiers, des livraisons d’armes et que l’unité est nécessaire pour libérer la France. Le peu d’unité paramilitaires à l’époque est du à un manque de moyens. Le gaullisme des militants lui a permis de monter l’Armée Secrète dirigée par Delestreunt. Il crée une agence de presse, un comité d’études, une centrale radio et un service des opérations aériennes. Du 28 novembre 1942 au 21 juin 1943 il est président des de

|S. Jansen, « Les pouvoirs et le citoyen, IVe-Ve Républiques », Documentation photographique n° 8017, 2000 | | |La cohabitation |S. Berstein, « Le gaullisme », Documentation photographique n° 8050, 2006 | | | |Michel Winock, 1958, La naissance de la Ve République, Découvertes

politique au résultat du référendum). Le régime gaulliste avait déjà été ébranlé par la crise de mai-juin 1968. De Gaulle décède en 1970. Georges Pompidou, l’ancien Premier ministre, succède à Charles de Gaulle dans un contexte difficile. B. L’après-gaullisme : de nouvelles difficultés Le pays subit des blocages divers. Sur le plan social, sur fond de ralentissement de l’accroissement naturel et de vieillissement de la population, les paysans et les ouvriers voient diminuer leur rôle social. Les paysans

privilégie le jeu des forces « naturelles » de l’économie de marché et de l’entreprise ». En France, ce n’est qu’en 1886, rappelle-t-il, qu’un ministère du commerce et de l’industrie a été créé. L’âge d’or de l’industrie en France sera celui du gaullisme (qui se concrétisera dans le pompidolisme si tant est que celui-ci ait existé) parce qu’il prônait un « volontarisme industriel » qui s’inscrivait dans la « renaissance du Plan, des négociations intenses avec le monde patronal en vue des fusions

l’instauration du SUD (référendum) - 28 avril 1969 : général de Gaulle se retire de la vie politique après une majorité de « non » au référendum sur la régionalisation et la réforme sur le Sénat - 9 novembre 1970 : mort de de Gaulle - 1969-1981 : après gaullisme - 1969 : élection de Pompidou - 1974 : élection de Giscard d’Estaing avec 50,8% des voix contre Mitterrand - 1981 : victoire de Mitterrand - 1981-1995 : années Mitterrand - 1986 : cohabitation Président de gauche - 1988 : réélection de Mitterrand

pour se retrouver et former un seul et même être. 2) Il est possible de parler de la Vème république comme Monarchie républicaine dans la mesure où elle admet une certaine domination de l'institution présidentielle, en partie consacré par le Gaullisme. Effectivement, la Vème république a très vite permis au président de monopoliser une partie importante des pouvoirs. D'une part il n'est point désginé mais élu et d'autre part il ne peut être renversé, ce qui lui laisse une marge de manoeuvre assez

politiques qu’offrent les partis politiques aux individus = hommes politiques qui entendent à conquérir le pouvoir. La première ressource collective qui fournit le parti politique c’est la marque, le sigle du parti politique : ici la marque est le gaullisme. Ce sigle est important parce que pour ce qui peuvent s’en prévaloir leur garanti l’accès a un électorat plus ou moins fidélisé, a un système d’alliance avec d’autres partis, a un accès aux medias -> bref, du légitimité partisane, de responsabilité

l’historien Michel Winock retient un élément clé du gaullisme, celui des années 1940 comme celui des années 1960 : avoir tout fait pour rendre au pays le sens de sa grandeur et de son rôle dans le monde. 00 Document 6 La tombe du général de Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises : un lieu de mémoire Un hommage annuel sur la tombe du général qui attire des collaborateurs, des résistants, des hommes politiques qui se réclament du gaullisme mais aussi un foule d’anonymes. 00 Mener l’étude

1946 ; refuse de participer a la IVème République (discours de Bayeux 1946) ; créé en 1947 le RPF ; traversée du désert après la dissolution de son parti en 1953 ; retour au pouvoir en 1958, il fonde la Veme République qu’il préside jusqu’en 1969. Gaullisme : nationalisme, soucis de la place de la France dans le monde ; républicanisme démocratique reposant sur la consultation populaire et sur l’autorité de l’Etat, un exécutif renforcé ; refus des luttes partisanes stériles et de la lutte des classes

eu des ambiguïtés et d'inévitables compromissions, cela ne s'est pas réalisé. La tradition de la Charte d'Amiens et de la vieille CGT comptait énormément dans l'esprit des militants qui ont fondé FO. Deux autres facteurs ont compté. D'abord le gaullisme, qui, installé au pouvoir, a annihilé la SFIO. Ensuite le Congrès socialiste d'Epinay, en 1971, qui a mis fin à la SFIO, fondé le "PS", et a amené à la direction du PS "modernisé" un certain nombre de militants partageant plutôt les valeurs de la