Le Grand Pardon

14,25. Précisions géographiques : - Ninive, capitale de l'Assyrie, symbole de la grande ville païenne. Elle fut détruite en 612 avant J.C., donc bien avait la composition de Jonas. - Tarsis : pour les Israélites, c'est le symbole de bout du monde. L'idée principale du livre est que le dieu d'Israël est le dieu de toutes les nations. Il souligne la difficulté pour les enfants d'Israël d'accepter que Dieu puisse pardonner ceux qui les ont persécutés, et qu'Israël ne doit cependant pas se détourner des

faire arrêter G.M… p.95, le Marquis de Renoncourt qui lui permet avec quelques Louis de rester auprès de Manon durant le voyage en Amérique p.12-18); comme des marionnettes, comme Manon avec les hommes. Tiberge semble être aveugle ou un Saint car il pardonne sans cesse les agissements déplorables de Des Grieux tandis que le chevalier ne semble pas vraiment l'aimer connaissant les points faibles de Tiberge: il abuse de sa confiance; vient le voir seulement pour lui demander de l'argent ; sans jamais daigné

réalité le visage du dictateur. L’effet de surprise est double : choc de se retrouver face à ce visage symbolisant le Mal ; incompréhension de Voir par les moyens plastiques mis en œuvre ici : sculpture en cire hyperréaliste, qui reproduit avec une grand exactitude la peau humaine, les cheveux, les sourcils etc. III Interprétation “Hitler incarne l’image de la peur. En le mettant en scène, je ne fais que m’emparer d’une icône de notre siècle. Ma mère disait toujours qu’il est impossible de bien nettoyer

2. Structure : On a divisé le texte en deux grandes parties, le passé et le présent : Le passé de leur vie commence de la ligne 1 jusqu’à la ligne 51, et comme titre on a choisi « La jeunesse et la promesse de Marguerite et Suzanne », On a choisi ce titre parce que cette partie nous raconte le passé et la promesse des deux. Le présent de leur vie on l’a divisé en plusieurs parties : a) La première partie du présent commence de la ligne 52 jusqu’à la ligne 85. Comme titre on a choisi « La

passants… Elle répondit du même ton : – Je leur donne de la nourriture pour qu'ils ne meurent pas de faim, c'est Dieu qui les a crée alors ce ne sont pas de animaux qui servent à rien ! Renart rétorqua  d’une voix mielleuse : –  Veuillez me pardonner de vous avoir vexée, madame, mais je voulais juste savoir pour quelles raisons vous donnez à manger à des volatiles et pas à des pauvres mendiants ? Moi qui ai faim toute la journée…et qui ai une famille à nourrir… – Je leur donne de quoi survivre

la parole qui sort de sa bouche, et manifeste le pardon de Dieu, la grâce du Seigneur. Eux ne pensaient pas qu’il fasse de bonnes prédications. Ils s’en étonnent. Mais ils se rendent compte que ce Jésus s’attribue un rôle exceptionnel et supprime le dernier vers d’Isaïe, qui parle de la vengeance de Dieu contre les ennemis de son peuple. Pour eux, c’était le plus important. Jésus a jugé bon d’enlever (de corriger) ce vers pour bien parler du pardon de Dieu, dire que le salut est à tous. Pour affirmer

OH PARDON TU DORMAIS… D’après la pièce de Jane BIRKIN PERSONNAGES : JEANNE, LOU Deux personnes sont couchées dans un grand lit. Deux femmes. Jeanne allume la lumière. JEANNE. Oh, pardon ! Tu dormais ? LOU. Je ne dors plus, tu vois bien ! JEANNE. Il me semblait que tu ne dormais pas. LOU. Pourtant, je dormais. JEANNE. Je t'ai réveillée ? LOU. Il me semble ! Ou alors je suis encore endormie, assise dans le lit, les yeux ouverts. Ça devrait être plutôt inquiétant pour toi. JEANNE Tu es

ah ! vous parlez la langue d'Athènes ; mauvais jargon que je n'entends plus. IPHICRATE : Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? ARLEQUIN, se reculant d'un air sérieux : Je l'ai été, je le confesse à ta honte, mais va, je te le pardonne ; les hommes ne valent rien. Dans le pays d'Athènes, j'étais ton esclave ; tu me traitais comme un pauvre animal, et tu disais que cela était juste, parce que tu étais le plus fort. Eh bien ! Iphicrate, tu vas trouver ici plus fort que toi ; on va

profond de mon coeur j’essaye Trouver du pardon, trouver des explications. Mais mon âme trouve toujours de réfutation. Qu’est-je fait pour mérite cette vie cruelle. Dieux ! Que doit-je faire, je suis une simple mortelle. Venus aurait semé l’amour pour une raison ? Cette amour est rentre dans son cœur tel un( comme) poison. Si Phèdre pour un moment pouvait oublie. Cet indigne amour, dont a la mort la relie. Un pêche si grand, la tachera pour toujours. Mais Thèsëe nous

la loyauté sont d’une grande importance. Dans les romans, on voit qu’il est essentiel de croire en Narnia et avoir foi en Aslan. De plus, il faut y rester fidèle, ce qu’Edmund met en jeu dans le deuxième tome comme mentionné précédemment. Cela nous mène à une autre qualité que devrait posséder un bon disciple, soit le pardon. Aslan padonne Edmund à la suite de cette trahison, on voit alors cette valeur réapparaitre plusieurs fois au fil de l’histoire. En lien avec le pardon, il y a la générosité