Le Horla Conclusion

Les échos (thèmes / lieux) Schéma actantiel 4. Exposés Les jeunes Les adultes La ville L’incommunicabilité 5. Structure de la nouvelle (suite) Analepse et prolepse Scène / Pause / Sommaire 6. Exposés Le titre La nouvelle Conclusion : Le réalisme et la visée argumentative     2) Introduction sur le réalisme et le naturalisme : Définitions à partir de recherches sur le manuel. Réalisme : mouvement littéraire et artistique, dominant dans la seconde moitié du XIXème siècle

cohésion interne entre eux. → Il cite Caillois et ses classes thématiques: le pacte avec le démon (ex: Faust), le spectre condamné à une course désordonnée (ex: Melmoth), la "chose" indéfinissable et invisible, mais qui pèse et qui est présente (ex: Le Horla), les vampires (nombreux exemples), la statue, le mannequin, l'armure, l'automate qui soudain s'animent et acquièrent une redoutable indépendance (ex : La Vénus d'Ille)... → Todorov s'oppose à cette méthode qui vise à classer des thèmes indépendamment

soleil (1884)Clair de lune (1883) Les Sœurs Rondoli (1884)Yvette (1884)La Parure (1884)Miss Harriet (1884)Un fou ? (1884)Adieu ! (1884)L’Héritage (1884) | Monsieur Parent (1885)Lettre d'un fou (1885)Bel-Ami (1885)Contes du jour et de la nuit (1885)Le Horla (1885-1887)Mont-Oriol (1887)Sur l’eau (1888) Pierre et Jean (1887/1888) Le Rosier de Madame Husson (1888)Le Port (1889)Fort comme la mort (1889) La Main gauche (1889) Histoire d’une fille de ferme (1889)Mouche (1890)La Vie errante (1890)Notre cœur

précisément à la question en s’appuyant sur des procédés littéraires caractéristiques et sur des relevés commentés. Il regroupe les documents qui recourent aux mêmes procédés. Il souligne les contrastes et les variations d’un document à l’autre. - La conclusion fait un rapide bilan pour montrer ce que la question a permis d’éclairer dans le corpus, en rapport avec l’objet d’étude. Elle ouvre éventuellement sur le sujet d’écriture choisi. II. Présentation dissertation *Introduction : poser le

Frédéric. Aragon offre ainsi une réécriture inversée des topoi de la première rencontre et de la scène de rupture : le narrateur refuse de voir la réalité « je me suis caché les yeux dans les mains, pour ne plus voir que l’oubli » (lignes 39-40). Conclusion : Le texte d’Aragon joue sur les ambigüités : s’agit-il d’un hommage à Flaubert, ou d’un clin d’œil humoristique à des topoi qu’il rejette ? Le sentiment amoureux est quasiment absent de cette scène de rupture, qui se fait dans l’urgence et la précipitation

Voyage en Orient ». Il compose « Aurélie » alors qu’il est dans « la Maison de Santé » du célèbre Dr Blanche, à la limite du conscient, de l’inconscient, du rêve et de sa folie. Rêve et folie aussi chez Guy de Maupassant : à la fin de sa vie « Le Horla » où il s’agit de visions ; rêves cauchemars dans la nouvelle « La Nuit ». D’autres très grands écrivains se sont intéressés au rêve, comme Emile Zola (exemple : rêves du médecin Pascal dans « Le Docteur Pascal », dernier volume des Rougon – Macquart)

simple agrément. Le plaisir esthétique peut intégrer la douleur (comme l'illustre parfaitement le roman de Marguerite Duras qui porte ce nom, qu'aucun lecteur n'est censé lire en riant aux larmes), l'angoisse (on peut ici songer à la nouvelle Le Horla de Maupassant, confrontation vécue avec la folie terrorisante), la mélancolie, etc. Si le plaisir esthétique n'est pas l'agréable, le "bien-être", il reste un critère de valeur artistique que tous les individus. Une œuvre qui me laisse "complètement

premier conte. On dit que son vrai début commence avec Boule de Suif, œuvre dans laquelle il utilisera, pour la dernière fois, le pseudonyme de Guy de Valmont. Il a aussi écrit, par exemple : Une vie, Bel-Ami, Pierre et Jean, Mademoiselle Fifi et Le Horla. Puis, en 1877, il apprend qu’il est syphilitique, et en 1893, la maladie l’attaque et il est mort d’une paralysie générale. On a identifié son œuvre avec le réalisme et le naturalisme, même si l’on constate des traces du fantastique et du romantisme

nécessaire à la dimension artistique de l'œuvre. Par la suite, Zola introduit cette importante notion de tempérament dans la création. 3. Les limites du mouvement Joris-Karl Huysmans (1848-1907), puis Maupassant avec ses nouvelles fantastiques (Le Horla, 1886), s'éloignent du naturalisme. Certains disciples de Zola renient, à leur tour, leur maître en publiant, en 1887, un violent réquisitoire intitulé le Manifeste des Cinq (P. Bonnetain, J. H. Rosny, L. Descaves, P. Margueritte, G. Guiches). Reprenant

produiront quelques chefs-d’oeuvre. Le 20e siècle voit s’épanouir le genre qui, malgré ses détracteurs prédisant sa fin, s’installe définitivement dans le paysage littéraire contemporain. Sa nouvelle vague actuelle lui promet un bel avenir. Le Horla - Guy de Maupassant (1887) 1 ORIGINES ET NAISSANCE DU GENRE FANTASTIQUE 1.1 Les précurseurs 1.1.1 Jacques Cazotte* (1720-1792) et Le Diable amoureux (1772) Il est le véritable précurseur du conte fantastique français en posant les bases de ce