Le Horla Lucide Ou Fou

confondre le registre merveilleux et le registre fantastique. Le registre fantastique a pour critère l’incertitude. Le lecteur ne peut jamais vraiment savoir si l’événement a une origine surnaturelle ou une explication rationnelle. C’est le cas dans Le Horla de Maupassant. Ce jeu avec un cadre en apparence réaliste est capital. Le merveilleux, au contraire, nous plonge dans une atmosphère complètement surnaturelle où les événements arrivent parfois par magie, où les personnages sont totalement imaginaires

ou de mauvais sujet. ᕤ Voici des titres de romans français célèbres du XIXe siècle. Indiquez ceux qui appartiennent à l’esthétique réaliste ou naturaliste : ¨ Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo ¨ Balzac, Le Père Goriot ¨ Maupassant, Le Horla ¨ Goncourt, Germinie Lacerteux ¨ Victor Hugo, Notre-Dame de Paris ᕥ Quelles sont les thématiques privilégiées des récits réalistes ? Cochez parmi les propositions suivantes : ¨ Le monde du journalisme ¨ L’argent ¨ Le monde du travail et des

pour la postérité tant il est sûr d'être trop moderne pour son temps se distingue du romantisme par son souci constant d'analyser les situations, les choses et les êtres. Si Stendhal est «réaliste», c'est parce qu'il développe un style ironique et lucide, refusant la complaisance et la naïveté qui caractérisent un certain romantisme. On lui doit d'ailleurs l'idée du roman «miroir du monde»: miroir révélant sans pitié, mais sur le mode souriant, la vérité des êtres et des sentiments, mais aussi miroir

pour la postérité tant il est sûr d'être trop moderne pour son temps se distingue du romantisme par son souci constant d'analyser les situations, les choses et les êtres. Si Stendhal est «réaliste», c'est parce qu'il développe un style ironique et lucide, refusant la complaisance et la naïveté qui caractérisent un certain romantisme. On lui doit d'ailleurs l'idée du roman «miroir du monde»: miroir révélant sans pitié, mais sur le mode souriant, la vérité des êtres et des sentiments, mais aussi miroir

collier de fenêtres, v. 12) : on reconnaît aisément la logique associative et poétique du surréalisme. L’emploi du vers libre, l’absence quasi totale de ponctuation, la technique du « collage » entre les différentes images du poème, le thème de l’amour fou (Au tour des baisers de s’entendre / Les fous et les amours, v. 4-5) sont aussi caractéristiques de ce mouvement littéraire en ce qu’ils témoignent du refus des catégories esthétiques traditionnelles, du choix de la poésie comme libération des puissances

méfiance à l’égard des autres existe bien, méfiance qui parfois se transforme en racisme. La différence et l’inconnu font peur alors qu’on ne fait pas souvent l’effort de les connaître. A contrario, cette fiction montre que « cet homme » n’est pas le fou soupçonné par les passagers du métro mais quelqu’un qui souffre et qui aurait sans aucun doute beaucoup de choses à partager et à nous apprendre, ne serait-ce que sur « le printemps de chez [lui], la couleur de l’herbe, les yeux des enfants… » (l. 35-36)

27 « La peinture ne saisira le mystère de la réalité que si le peintre ne sait pas comment s’y prendre ». Francis Bacon, « Entretiens avec David Sylvester ». « Une peinture n’existe que s’il y a des yeux pour l’embrasser ». Normand Reid, « T’es fou l’artiste ! ». « La peinture, c’est la course à l’absolu et à l’inconnaissable ». Alain Bosquet, « La Confession mexicaine ». « Mes peintures ne correspondent jamais à ce que j’avais prévu, mais je ne suis jamais surpris ». Andy Warhol. « J’imaginais

Pyrrhus. Hermione laccable de reproche et lui dit quelle renonce Oreste. - scne 4 Oreste se questionne sur ce qui arrive. - scne 5 Hermione se suicide, Orest sombre dans la folie. Andromaque fait poursuivre Orest. Pylade sauve son ami qui devient fou. Iphignie ACTE I Agamemnon raconte Arcas quil doit sacrifier Iphignie pour la faire venir avec sa mre Clytemnestre, il a promis de la marier au grand guerrier Achille. Il regrette prsent cette ruse et demande Arcas daller au-devant de sa femme et

confronts issues as grave as those raised by tragedy, and there is more cruelty and death in his fables than in the plays of Corneille and Racine combined. His insight into human drives and his meditation on the vanity of things make him the most lucid moralist of his century, and, with his teasing ironies, by far the most engaging. At a time when poetry was dominated by the systematic celebration of the reign of Louis XIV, La Fontaine showed the vulnerability of social consensus to the subversive