Le Journal de Rouen

Seine-Maritime) au milieu du XIXe siècle. Le père de Guy, Gustave de Maupassant (né Maupassant a obtenu par décision du tribunal civil de Rouen, le 9 juillet 1846 le droit à la particule3), homme volage, a épousé en 1846 Laure Le Poittevin, une demoiselle de la bonne bourgeoisie. Avec son frère Alfred, elle est l’amie de Gustave Flaubert, le fils d’un chirurgien de Rouen, qui devait exercer une certaine influence sur la vie de son fils. Elle fut une femme d’une culture littéraire peu commune, aimant beaucoup

Société démocratique des libres penseurs. Ses articles, dont l'un était intitulé le Suffrage universel et l'instruction primaire, excitèrent bientôt la défiance du pouvoir. En 1850, tombé en disgrâce, il fut brusquement envoyé de Paris au lycée de Rouen. Il se rendit à son nouveau poste, mais un peu plus tard, lorsque le Coup d'État du 2 décembre 1851 imposa aux fonctionnaires l'obligation de prêter le serment de fidélité, il refusa. Il fut considéré, avec plusieurs autres, comme ayant donné sa démission

dans des institution renommé, selon le souhait de sa mère, à l'âge de 13ans, où il devint pensionnaire à l'Institution ecclésiastique d'Yvetot. Il y reçut une éducation Catholique, mais fini par ce faire renvoyer. On l'inscrit alors au lycée de Rouen, où il pu s'épanouir, découvrant et appréciant la poésie, il participa aussi à quelques pièce de théâtre. C'est à cette époque qu'il connu Louis Hyacinte Bouilhet, qui était alors Professeur de Littérature et conservateur à la Bibliothèque de ce lycée

mazarinades étaient imprimées à Paris, mais d’autres villes ont également constitué des lieux actifs de production, telles Bordeaux, Rouen ou Aix-en-Provence. On en imprima même en Hollande. Une grande partie est conservée, dans de grandes bibliothèques parisiennes, mais aussi à Londres, Berlin, Moscou ou Washington ! Les mazarinades sont les ancêtres des journaux satiriques, en ce sens qu’à leur image elles invectivent, dénoncent, sanctionnent le pouvoir en place. Emanant de tous les partis et

1860, il est élevé par sa mère qui est passionnée de littérature et amie de Flaubert, grand écrivain du XIX° siècle. A l'âge de 13 ans, il est inscrit dans l'Institution ecclésiastique d'Yvetot puis il est renvoyé, il fréquente donc le lycée de Rouen et devient le disciple de Flaubert. En 1869, il obtient son baccalauréat en lettre, et part s'installer à Paris afin d'étudier le droit. En 1870, il s'enrôle dans la guerre franco- prussienne puis s'y retire en 1871. Cette guerre l'inspirera par

d’une description extrêmement minutieuse. Dans quelle mesure nous propose-t-il ici une évocation réaliste, qui rend compte des oppositions sociales au XIX ème et de l’exploitation dont sont victimes certaines catégories de population? Journal Le Nouvelliste de Rouen (Lauréats des Comices agricoles de 1852 à Grandcouronne) I L’organisation de la description La dramatisation de l’apparition de Catherine permet de mettre en valeur celle-ci: la multiplication de petites phrases courtes présentées

chacun ayant des gouts propres et différents. Ainsi chaque écrivain possède les atouts pour un jour devenir un artiste de renom puisque chaque genres littéraires en prenant en compte des aspects de forme (poésie, récit, théâtre), de contenu (aventure, journal intime), de registre (fantastique, tragique, comique), de style différent est aujourd'hui accepté. Mais de nos jours le genre recherché par la plupart des lecteurs est le Roman. Ce genre de littérature tient d'ailleurs une place importante dans notre

représente une grande famille d'étres imbéciles qui veut acquérir de l'importance par n'importe quel moyen (en blámant la religión, en 203 CAUCE. Núm. 2. RODRÍGUEZ CÁRDENAS, Matías. Madame Bovary, l'echec d'une vie ... écrivant des articles dans un journal de Rouen, en parlant toujours avec des termes scientiphiques). C'est-á-d¡re, des índividus qui aiment devenir le centre des causeries. L'abbé Bournisien, un curé de village d'une opacité spirituelle, qui place tres haut le ciel mais qui n'y pense jamáis

partie du mouvement Réaliste, Naturaliste et Fantastique. Il vient d'une famille noble, bourgeoise. À treize ans, il est pensionnaire de l'Institution ecclésiastique d'Yvetot, il finira par se faire renvoyer. Il est alors inscrit au lycée de Rouen, où il se montre bon élève, s’adonnant à la poésie et participant beaucoup aux pièces de théâtre. -Suzanne Walter, une adolescente romanesque et naïve. Elle est décrite comme une « frêle poupée blonde, trop petite mais fine, avec la taille mince

Issu d'une riche famille d'industriels juifs alsaciens, Maurois a pour professeur au lycée de Rouen le philosophe Alain, à qui il sera redevable de son orientation esthétique. Il préfère en effet la carrière d'écrivain à la direction de l'usine familiale et s'illustre d'abord par des romans qui lui gagnent un public féminin : Climats, Les Roses de septembre. Il obtient un Prix d'Honneur au Concours général et passe sa licence de lettres. Ayant fait son service militaire, il va pendant une dizaine