Le Jugement de Dieu

Daisy Legendre T ES3 Philosophie – Commentaire de texte Dans cet extrait du Crépuscule des Idoles, F. Nietzsche nous parle de l'immortelle déraison à partir du quel il évoquera son jugement personnel. Cet auteur défend le fait qu'il ne faut pas inversé cause et conséquence, en effet ce n'est pas la vertu qui méne au bonheur mais bien l'inverse. Ainsi il met en place la théorie que le bonheur méne à l'instinct, élèment rendant possible la bonté et donc la vertu de l'âme. Alors comment Nietzsche

21 Epicure, Lettre à Ménécée , extrait N°1 : Epicure et les dieux Commence par te persuader qu'un dieu est un vivant immortel et bienheureux, te conformant en cela à la notion commune qui en est tracée en nous. N'attribue jamais à un dieu rien qui soit en opposition avec l'immortalité ni en désaccord avec la béatitude ; mais regarde-le toujours comme possédant tout ce que tu trouveras capable d'assurer son immortalité et sa béatitude. Car

religieuse « Mais si le Prince défend de tuer sous peine de vie, n’est il pas obligé à sa loi ? Je dis que cette loi n’est point sienne, mais c’est la loi de Dieu et de nature à laquelle il est plus strictement obligé que tous les sujets ; il ne peut en être dispensé ni par le Sénat ni par le peuple. Il en est toujours responsable au jugement de Dieu, qui en fait information à toute rigueur comme disait Salomon » : Bodin fait part ici d'une exception quant au non assujettissement du souverain face à la

Ses œuvre et sa doctrine ont donné naissance a un système de pensé appelé augustinisme plus précisément le Janséniste. Il a rédigé une Œuvre appelée Confession Qui avait un double objectif : -Avouer ses pêchés et faute directement a dieu -Proclamer la gloire de dieu On considère cette œuvre comme une œuvre autobiographique mais pas au sens propre du mot, car Philippe Lejeune, critique littéraire reconnu a défini l’autobiographie par « un récit introspectif en prose qu’une personne réelle fait

DE LA NAISSANCE DE L'HOMME A LA PROCLAMATION DE SA MORT | Pourquoi l'homme est-il apparu à la Renaissance ? Montaigne, Les Essais Jusqu'à la Renaissance, l'homme se connaissait en Dieu. Donc il n'y avait pas de questions anthropologiques. Il n'y avait que des réponses. Dieu disparaissant, l'homme va se poser la question « qui suis-je ? » Au 16° la question émerge Au 17° la question trouve une réponse ferme et constante par le travail de Descartes. Il fonde le sujet. Au 17° on

philosophiques et mathématiques. Convaincu d’une unité du savoir, réunie en une "Mathématique universelle", il établit le raisonnement logique de la pensée : “je pense, donc je suis”. Avec ses 'Discours métaphysiques', il tente de prouver l’existence de Dieu et affirme que toutes les vérités découlent de lui. En septembre 1649, il répond à l'invitation de la reine Christine de Suède, qui souhaite apprendre la philosophie. Dans le froid de l'hiver scandinave, Descartes contracte une pneumonie et décède

monastiques sont aussi à l'origine de la puissance de l'Église. Les ordre monastiques sont des ordres religieux dont les clercs ont prononcé de vœux religieux et en respectant des règles monastiques de vie communes. Nous pouvons considérer la paix de Dieu comme une obligation. Cette règle consiste à ne pas voler ni attaquer l'église et les prêtres. Une réforme oblige tous les laïcs à respecter ses devoirs : c'est la réforme grégorienne. La réforme grégorienne est une politique menée durant le Moyen-Âge

l’image Eglise: Organisme bureaucratique administratif et hiérarchique + assemblée des fidèles (tel que clercs et laïcs dans un contexte de société chrétienne) Pape = c’est un vicaire de saint-pierre et du christ représentant de dieu sur terreSchéma : L'Eglise cherche à s'imposer aux fidèles sur le plan social et doctrinal. La perception du message chrétien n'est pas homogène, ainsi l'Eglise n'a pas un contrôle aussi efficace qu'elle le souhaiterait sur les

On n’imagine pas un dieu parfait et victimes des passions. Pourtant il est construit sur des modèles anthropomorphiques. Il a bien des caractères et faiblesses humaines. La divinité dont parle Leibniz ce n’est pas la divinité anthropomorphisé des grecs mais la divinité telle que la philosophie la représente. L’anthropomorphisme est associé à un manque de connaissance de son objet (comme un enfant avec son animal ou un objet comme les hommes avec les dieux). Le dieu de Leibniz est ni de religion

formuler une vérité certaine sur Dieu est ainsi qualifié de « dogmatique » : le projet même d'une théologie rationnelle, dans sa forme classique (qui passe par exemple par les « preuves de l'existence de Dieu ») est ainsi invalidé. Réciproquement, toute profession d'athéisme qui voudrait s'appuyer sur la science pour affirmer l'inexistence de Dieu est, elle aussi, renvoyée du côté de la simple croyance: toutes ces questions, qui concernent les Idées transcendantales (Dieu, l'âme et le monde), sont hors