Le Laboureur

correspondre à la visée de la fable. * Quelques exemples de Morales de Fables connues. * « la raison du plus fort est toujours la meilleur » le loup et l’agneau * « Travaillez, prenez de la peine : C'est le fonds qui manque le moins » le laboureur et ses enfants. * « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » et « On a souvent besoin d'un plus petit que soi. » le lion et le rat * « Rien ne sert de courir, il faut partir à point » le lièvre et la tortue *

Canada) «J'ai passé la plus grande partie de ma vie à essayer de peindre la poésie, les joies faciles, le rude labeur du quotidien de la vie rurale, la beauté sylvestre où s'écoule l'existence paisible de l'habitant, le geste du bûcheron et du laboureur, les feux de l'aurore et du crépuscule, le chant du coq, le train-train de la basse-cour, toute l'activité qui se déploie, du matin au soir, dans les alentours de la grange.» Cité dans J. H. Harper, La Peinture au Canada des origines à nos jours

seuls ses jambes et son torse dépassaient. Il prit à l'étagère de verre, le vaporisateur et pulvérisa l'huile fluide et odorante sur ses cheveux clairs. Son peigne d'ambre divisa la masse soyeuse en longs filets orange pareils aux sillons que le gai laboureur trace à l'aide d'une fourchette dans de la confiture d'abricots. Colin reposa le peigne et, s'armant du coupe-ongles, tailla en biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. Il devait recommencer souvent, car elles

de Belgique, tous deux situés à Bruxelles. Dans une vue plongeante, le regard s'arrête d'abord sur les personnages : un paysan qui laboure son champ, un berger appuyé sur son bâton, un pêcheur de dos qui tend son fil. Le rouge de la blouse du laboureur et de l'écharpe du pêcheur attire l'attention sur leurs occupations. Quand les yeux peuvent s'en détacher, on découvre la profondeur de l'espace quasi infini. À l'horizon, le soleil forme un disque qui irradie et unit le violet du ciel à l'émeraude

grandeur Royale. Elle reçoit et donne, et la chose est égale. Tout travaille pour elle, et réciproquement Tout tire d'elle l'aliment. Elle fait subsister l'artisan de ses peines, Enrichit le Marchand, gage le Magistrat, Maintient le Laboureur, donne paie au soldat, Distribue en cent lieux ses grâces souveraines, Entretient seule tout l'Etat. Ménénius le sut bien dire. La Commune s'allait séparer du Sénat. Les mécontents disaient qu'il avait tout l'Empire, Le pouvoir, les trésors

recueillis par un vieux missionnaire, le père Aubry, qui leur donne l'asile dans sa grotte et les unit par les liens du mariage. Un jour, pendant qu'Atala dormais encors , le père Aubry fit visiter à Chactas un village où les indiens sont des laboureurs. Chactas est alors séduit par cette façon de vivre. De retour à la grotte , ils découvrent Atala mourante, elle leur livre son secret : elle a juré à sa mère, sur son lit de mort, de rester vierge. En constatant que son amour pour Chactas est

| |“Son peigne d’ambre divisa la masse souyeuse en longs filets orange parelis aux sillons que le gai laboureur trace à l’aide d’une foruchette dans de la confiture | |d’abricots.” | |

C’est une histoire pastorale de la région de Sand, la berrichonne, et aussi un roman «régionaliste», «champêtre», «pastoral» ou «paysan» d’après ses critiques. 2. Eléments du texte Personnages centrales -Germain: le personnage central, un laboureur veuf chez son beau-père, Maurice, dont la fille était épouse. Le narrateur le dépit indirectement, et parfois avec l’aide des autres personnages, comme un homme fort et beau d’une disposition modeste mais souvent avec une conscience en conflit. Souvent

seuls ses jambes et son torse dépassaient. Il prit à l'étagère de verre, le vaporisateur et pulvérisa l'huile fluide et odorante sur ses cheveux clairs. Son peigne d'ambre divisa la masse soyeuse en longs filets orange pareils aux sillons que le gai laboureur trace à l'aide d'une fourchette dans de la confiture d'abricots. Colin reposa le peigne et, s'armant du coupe-ongles, tailla en biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. Il devait recommencer souvent, car elles

royale. Elle reçoit et donne, et la chose est égale. Tout travaille pour elle, et réciproquement Tout tire d'elle l'aliment. Elle fait subsister l'artisan de ses peines; Enrichit le marchand, gage le magistrat, Maintient le laboureur, donne paie au soldat, Distribue en cent lieues ses grâces souveraines, Entretient seule tout l' Etat. Ménénius le sut bien dire. La commune s'allait séparer du Sénat. Les mécontents disaient qu'il avait tout l'empire