Le Lac Lamartine

Dans le poème suivant, « Le Lac » d'Alphonse de Lamartine. Ici est déclamé l’amour que porte le narrateur à la beauté de ce qui l’entoure, le lac, les vagues, la lumière se reflétant sur l’eau. Mais il est aussi possible de ressentir la grande colère de l'auteur qui l’envahit et qu’il exprime. Il en veut au temps qui passe de faire disparaître toutes ces beautés de la nature. Illustré par le tableau "La nuit étoilée" de Vincent Van Gogh. Les étoiles se reflétant sur le lac donnent un sentiment de prolongation

Lamartine : « Rochers muets ! Grottes ! Forêt obscure ! » Nous interpelle sur l’hostilité des lieux. Ces trois textes font appel aux mêmes éléments naturels : le lac, l’eau, les montagnes, face auxquels le poète éprouve une sensation d’isolement et qui le confrontent à la notion d’éternité. Le titre du poème évoque un lieu aimé qui a été le refuge du poète et de sa compagne : seule la nature semble conserver une trace intacte de son bonheur. La nature en général et le lac en particulier sont

de l'amour) au XIX ème siècle. Elle va donc être source d’inspiration et d’interprétation chez différents auteurs tel que Ronsard et Du Belay au XVI ème siècle, Jean Albany et Senghor au XX ème siècle et plus particulièrement avec Victor Hugo ou Lamartine au XIX ème siècle. Contrairement au Parnasse (mouvement qui a pour but de valoriser l’art poétique par la retenue et l'impersonnalité et le rejet de l'engagement social et politique de l'artiste), le romantisme laisse libre court aux émotions

1-Le thème du souvenir cher aux romantiques Lamartine ne fut pas le premier poète à s'attaquer au thème du souvenir, avant lui Jean Jacques Rousseau dans la Nouvelle Héloise dont on retrouve ici de nombreux emprunts ou Byron l'avaient précédé. Le retour sur les lieux des premiers amours peut être de nature à restituer le souvenir de merveilleux moments comme à faire jaillir des regrets et des remords. Le présent fait naître le souvenir mais l'homme seul, par la pensée, ne parvient pas à arrêter

La mise à l'écart: Lamartine. La poésie se médite. « Il part du constat que la poésie est morte. Qu 'elle n'existe plus. Qu 'elle est a recommencer depuis cette mort et ce silence, depuis son absence ou sa contrefaçon bavarde. » -> La poésie est en constante invention, ses règles ne sont jamais vraiment définies. « Elle n'existe jamais. » Lamartine montre dans son oeuvre la dynamique d'un trajet... Va tenter de réduire la poésie à elle-même. Grâce à Lamartine poésie= but et objet de

LECTURE ANALYTIQUE « Le Lac » d’Alphonse de Lamartine. INTRO : * Lamartine, poète romantique, auteur des Méditations poétiques : recueil de 24 poèmes, publié en 1820. Ce recueil peut être considéré comme le manifeste de la poésie romantique : Lamartine y évoque ses sentiments, ses impressions et la nature y occupe une place d’importance. * Dans « Le Lac », Le poète se souvient de la femme aimée, Julie Charles, rencontrée au bord du lac du Bourget à Aix-les-Bains. Long poème mélancolique

poétique : il est le premier manifeste du romantisme français. Lamartine y transcrit ses états d’âme, ses impressions. • Le recueil a des aspects classiques : les poèmes sont des quatrains souvent écrits en alexandrins. Il est aussi novateur par l’évocation de la sensibilité personnelle du poète. • Lamartine se souvient de la femme aimée, Julie Charles (ou Elvire). Le poète se trouve dans un lieu qui lui est cher, près d’un lac, qui a été le témoin de ses amours, et lorsqu’il y revient sans

Commentaire composé « du Lac » d'Alphonse de Lamartine (1790-1869). Introduction. Les Méditations poétiques est un recueil poétique publié en1820 qui regroupe vingt-quatre poèmes. La publication de ce recueil fut un événement littéraire : il est en quelque sorte le premier manifeste du romantisme français. L'auteur, Alphonse de Lamartine, y transcrit ses états d'âme, ses impressions. L'ensemble apparaît comme une sorte de journal intime des expériences vécues entre 1815 et 1820, expériences

Le temps qui fuit … Une malédiction pour tous . Sommaire Page 1 & 2 : Préface Page 3 & 4 : “Le pont Mirabeau” de Guillaume Appolinaire Page 5 & 6 : "L’Horloge" de Charles Baudelaire Page 7 & 8 : "Le Lac" de Alphonse de Lamartine Page 9 & 10 : "Le Ballet des heures" de Gérard de Nerval Page 11 & 12 : "Assied toi sur le bord" de Jean Baptiste Chassignet Page 13 & 14 : "Soleils Couchants" de Victor Hugo Page 15 & 16 : "Chansons d'automne" de Paul Verlaine

ALPHONSE de LAMARTINE Alphonse de Lamartine est né le 21 octobre 1790 à Mâcon et est mort à Paris le 28 février 1869. Lamartine était un poète, un prosateur et un homme politique français. Il est le fils d’une famille de petite noblesse attachée au roi et à la religion catholique à Mâcon. Il commence ses études au collège de Belley où il découvre les œuvres de Chateaubriand, de Virgile et d'Horace. De juillet 1811 à avril 1812, Lamartine est envoyé en Italie. Il découvre Florence, où il sera