Le Libertin Manipulateur

est une liberté de penser et d’agir qui se caractérise le plus souvent par une dépravation morale, une quête égoïste du plaisir. Les liaisons dangereuses est un roman épistolaire, écrit par Pierre C. de Laclos en 1782 exposant le duel pervers et libertin de deux membres de la noblesse française du 18e siècle : Valmont et Mme de Merteuil. La lettre 4 est la 1ere lettre de Valmont et répond a la lettre 2 écrite par Merteuil qui lui demande de revenir a Paris pour séduire Cécile et se venger ainsi de

que des singeries. Une outrance dans le cynisme traçe le portrait abouti d'un libertin. C) L'auto-portrait d'un libertin machiavélique. Le libertin professe en amour, le goût du plaisir ephemère, sans conséquence et sans engagement. Le libertin se donne ici en spectacle dans toute son horreur : intelligent, cruel : machiavelique. La lettre entière est impregnée d'un cynisme profond et de l'orgueuil du manipulateur qui jouit de son pouvoir de domination. Valmont en envoyant cette lettre dispose

Dossier sur Lorenzaccio Note : Observations : Actes I 1)Le spectateur fait connaissance de Lorenzo dans l'acte 1 scène 1, lorsqu'il parle avec le Duc sur la fille qu'il lui a acheter. Il apparaît donc comme un cynique, un libertin, un manipulateur qui est au service du Duc Alexandre afin d'arriver a ses fins, il est rusé et très intelligent. 2)Florence est comme un personnage énuméré par plusieurs personnage de l’œuvre mais la conversation entre l'Orfèvre et le marchand nous fait

I La diversité des personnages : A Des personnages et des âges différents : 1. Les libertins :  Madame de Merteuil : Personnage très important, au centre du roman mais écrit peu de lettres (28). C’est en revanche la personne qui en reçoit le plus (41). Son langage est représentatif de sa classe sociale.  Caractéristiques : _ aristocrate. _ 22 ans. _ Veuve (elle a déjà vécue \ différente de Cécile).

La marquise de Merteuil est le personnage principal du roman. Elle représente l'aristocrate libertine de l'époque Louis XV et louis XVI. Veuve intelligente et cultivée, elle a fait son éducation toute seule. Elle a apprit a préserver sa réputation en contrôlant ses passions, mais sans se priver des plaisirs de l'amour. Son personnage choqua beaucoup les générations précédentes, car sa supériorité physique et intellectuelle était jusque là réservée aux hommes. Cette assurance masculine se voit surtout

des deux pièces de théâtre de C. de Bergerac, La Mort d’Agrippine est ; comme toutes les œuvres de Bergerac ; d’abord connue dans les milieux libertins avant même sa publication. Cette pièce fut jouée en 1653 dans l’un des hauts lieux du théâtre à l’époque, l’Hôtel de Bourgogne. Elle fit parler d’elle en faisant scandale par sa contenance tout à fait libertine et éveilla une grande curiosité mondaine. Né en 1619 à Paris, C. de B. vient de la Bourgeoisie de robe. Il s’adonne aux « plaisantes » incertitudes

Le vicomte traîne la réputation d’un libertin. D’une part, Valmont est un hypocrite. En effet, selon les souvenirs de Mme de Volanges, « [...] jamais il n’eut un projet qui ne fût malhonnête ou criminel » (l.9-10). La double négation force la réflexion chez la lectrice, qui doit alors comprendre que le vicomte prépare toujours des plans malicieux. L’auteure de la lettre contredit également son amie de Tourvel quant à la personnalité de cet homme. Elle le prétend « plus faux et dangereux qu’il

(marquise, vicomte,...) c.? II... laissant place à l'ironique a. différents registre: l'ironie ( les 2 libertins), le pathétique ( la scène de la charité), et le comique ( la naiveté des victimes face à la virtuosité des manipulateurs) b. le libertinage condamné (la tragédie du dénouement)+ la moralité (= vision sombre de l'Homme) c. la vertu mise à mal (pervertie avec les 2 libertins, faible avec l'innocente Cécile se transforme en fille facile, Danceny devient l'amant de Merteuil) + le

dévrivant son maître de « grand seigneur méchant homme », « épouseur à toutes mains », athé et anti-religieux (ce qui est très mal vu au XVIIè sciècle). Un discours sur l'amour est prononcé par Dom Juan, où il se dit prêt à toutes conquêtes, libertin. « Aimer une femme, c'est être injuste et insensible aux charmes de toutes les autres ». Après avoir lâchement abandonné une de ces conquêtes qu'il avait enlever à un couvent dans le but de la mariée, celui-ci se lance dans la conquête d'une paysanne

libertinage .L’interprétation est erronée car Laclos avait pour but de dévoiler l’hypocrisie des libertins dans toute sa splendeur. C’est ainsi que dans les liaisons dangereuses on trouve une vision du monde derrière la polyphonie. En effet, on y trouve différents personnages et par conséquent différents mœurs et visions. L’histoire se déroule autour d’un couple rival Merteuil/ Valmont de libertins qui utilisent leur entourage tel les pions d’un échiquier. Ils les manipulent sous le masque de la