Le Libéralisme Et Le Marxisme

créer sont antithèse le Marxisme. Il s'inspire des économistes classiques en mettant en avant la valeur du travail. Cependant pour lui le travailleur est exploite:la plus valus entre le temps travaillé et le temps de travail payé. En effet, les prolétaire (propriétaire des moyens de production) exploite ceux qui n'ont que leur travail à fournir à l'économie: C'est la lutte des classes. Ainsi il critique le capitalisme, voué à son autodestruction d'après lui, et le libéralisme. Il indique que chaque

produire ? Main d’œuvre ? Quelle quantité ? Machines ? - Pour qui sont-ils produits ? La répartition optimale des ressources pour les individus/la population. 1.3.4 Economie de marché et réponse aux trois questions L’économie dirigée (Marxisme-Léninisme) : Système planifié où la hiérarchie choisi pour la base. Toutes les ressources appartiennent à l’Etat qui choisi la répartition et l’allocation des ressources. Dans l’économie du marché les agents économiques s’arrangent entre eux lors

croissance démographique européenne fournissent par ailleurs aux industriels un prolétariat sans protection sociale, exploitable 10 à 12 heures par jour, 6 jours sur 7, même pour les femmes et les enfants. Le libéralisme a donc secrété les mouvements socialistes français ou anglais et le marxisme allemand (1848 : publication du Manifeste du parti communiste). Il a également suscité sans le vouloir, la croissance des syndicats (1864 : naissance de la Première Internationale des travailleurs, reconnaissance

française, condamnée par le Vatican, rejoint alors la « Jeune Droite ». Ailleurs, la phénoménologie d'Husserl et Heidegger d'un côté, le marxisme de l'autre, commencent à faire sentir leur influence dans les cercles philosophiques et littéraires. Par ailleurs, des polytechniciens créent le groupe X-Crise, influencé par le planisme, qui récuse le libéralisme de Manchester affirmant, face à la crise, la nécessaire intervention de l'Etat dans l'économie. Ce mouvement irriguera d'autres courants,

( le colonialisme , l'esclavage , et les dénonciations des injustices ) , Les valeurs humanitaires ( la liberté , la lutte contre le racisme , contre la traite de nègres .. ) et biensur les problèmes politiques et économiques ( libéralisme , socialisme , marxisme , communisme , démocratie ) . II - Avec quels moyens , à travers quels genres ? (convaincre / persuader) Tout d'abord , définissons les deux termes ; persuader = amener quelqu'un à croire, à penser, à vouloir, à faire quelque

des ambitions pour leurs enfants et attachent une grande importance à l'éducation. 3.3 Les réflexions issues de l'ère industrielle Le libéralisme :ce mouvement est pour le " laisser faire, laisser passer ", le désengagement de l'Etat, les libertés politiques. Le socialisme avec les internationales socialistes et les partis socialistes Pour ou contre l'Etat :marxisme, anarchisme, fascismes Le syndicalisme :révolutionnaire ou réformiste Les partis politiques Le réformisme symbolisé par le paternalisme

Staline au pouvoir en1924 ; Allemagne : Adolphe Hitler au pouvoir le 30 janvier 1933. 2) La mise en place de trois idéologies. Italie : le fascisme ; URSS : le marxisme-léninisme ; Allemagne : le national-socialisme. Volonté de créer un « homme nouveau ». Rejet du libéralisme, du marxisme et de la démocratie, développement du corporatisme en Italie et en Allemagne Rejet du capitalisme en URSS. 3) Une arrivée légale au pouvoir |Fascisme

historiques efficaces : « l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme ». Ou placer la matière par rapport aux idéologies politiques, à la philosophie politique. Les idéologies politiques c’est les « -isme » : nationalisme, socialisme, libéralisme… Il n’y a pas une définition de l’idéologie, il y en a autant que d’auteurs. * Définition péjorative : basée ou non sur le critère du vrai ou du faux, chez MARX c’est une vision déformé, inversé du réel. ARON dit que l’idéologie sont les idées

retour aux négociations et la signature de l’acte final d’Helsinki en 1975. Les systèmes politiques des Etats-Unis et de l’Union soviétique sont contradictoires. En effet, l’URSS est un modèle totalitaire qui repose sur l’idéologie du marxisme-léninisme. Le marxisme a pour principaux fondements l’existence d’une société sans classes, la présence d’un matérialisme dialectique et d’une opposition entre libertés formelles (expression, opinion etc…) et libertés réelles. A ceci, s’ajoute la théorie

cette dernière en présentant les concepts d’un catholicisme intégral. Les positions fermes, parfois radicales, parfois défensives de son prédécesseur Pie IX ne conviennent plus aux Etats ni à une partie des chrétiens. La lutte sans merci contre le libéralisme et contre le pouvoir des Etats ne facilite pas la bonne image de la papauté et le développement des Catholiques dans le monde. Léon XIII va donc faire le choix d’une plus grande nuance sur les refus traditionnels de l’Eglise et va ouvrir la pensée