Le Livre brisé

prétendu être civilisé, il brise le cliché fait sur ces personne du nouveau monde et donne sa vision de la barbarie. Nous pouvons nous demander quel est le regard de Montaigne sur les peuples sauvages ? Dans une première partie nous allons voire que c’est une page caractéristique des essais et de l’ecriture de Montaigne et ensuite nous verrons l’opposition nature culture et le mythe du  « bon sauvage ». Dans le chapitre << des cannibales >> du livre des essais de Montaigne

journaliste chinoise Xinran et édité par Philippe Picquier puis publié en janvier 2003. Le personnage principal est Xinran, une jeune journaliste qui présente une émission de radio le soir. Xinran est née à Pékin en 1958. « Chinoises » est son premier livre. Il paraît dans vingt pays, dont la Chine. Depuis les lointaines sociétés matriarcales, les Chinoises ont toujours eu un statut inférieur. Elles étaient considérées comme des marchandises, elles faisaient partie des biens qu’on se partageait comme

Fiche de lecture Nom : Prénom : Titre du Livre : Que serais-je sans toi Editeur/Collection : Pocket 1. AUTEUR Né le 6 juin 1974 à Antibes, Guillaume Musso, passionné de littérature depuis l’enfance, commence à écrire alors qu’il est étudiant. Paru en 2004, son roman Et après … est vendu à près de deux millions d’exemplaires. Cette incroyable rencontre avec les lecteurs, confirmée par l’immense succès de tous ses romans ultérieurs, Sauve-moi, Seras-tu

vous-mêmes vous dites que l’habit ne fait pas le moine, et tel est vêtu d’un froc qui au-dedans n’est rien moins que moine, et tel est vêtu d’une cape espagnole qui, dans son courage, n’a rien à voir avec l’Espagne. C’est pourquoi il faut ouvrir le livre et soigneusement peser ce qui y est traité. Alors vous reconnaitrez que la drogue qui y est contenue est d’une tout autre valeur que ne le promettait la boite : c'est-à-dire que les matières ici traitées ne sont pas si folâtre que le titre le prétendait

du cercle devient l’image récurrente de cet enfermement/ Tout d’abord, Flaubert veille à enfermer Emma dans le schéma narratif du livre : il la présente comme constamment cloîtrée, dépendante des hommes qui décident de sa vie. Ainsi son père l’envoie au couvent dans sa jeunesse, puis la maintient à la ferme familiale jusqu’à son mariage avec Charles. Après quoi le livre la montre successivement enfermée dans ses maisons de Tostes et de Yonville, tenant le foyer pendant que son mari travaille. A travers

Le livre est son outil de défense face au Jugement Dernier.« devant le souverain juge » = périphrase qui désigne Dieu. Le souverain est supérieur et il va juger R.Phrase 10 :« Je dirai hautement » = utilisation d’un adverbe qui montre que R est sûr de lui,

 Livre ndls: immihan : turke fille Johan: garcons ndls Chapitre 1 Il y a sept Johan Depoorter était dans ma classe. Il était ni exceptionnellement beau, ni un coquin, et pourtant il fut l'un de ceux dont je mesouvenais encore après autant de temps. Peut-être parce qu'il était si serviable, amicale et spontané. Cette année, Johan aurait 17 ans... Aurait ... Mais le prêtre dans l'église dit : ‘C'est difficile,chers parents, membres de la famille et amis, de trouver des mots de réconfort quand

part. Opinion personelle Le livre ne m'a pas tellement plus parce que l'histoire d'amour impossible au milieu d'une dictacture est déjà vue et revue. Nous savons dès le moment où Julia et Winston commence à s'aimer que cette histoire est vouée à l'échec. De plus quand nous apprenons qu'Orwell se serait inspiré d'un livre écrit par le russe Zamiatiane, nous pouvons facilement faire une analogie avec l'histoire de l'URSS, sauf que lorsque que nous ouvrons ce livre nous ne nous attendons pas à lire

Avis au lecteur Il me parat de toute convenance de prvenir une confusion possible relativement au principal hros de ce livre. Elle sest dit Elle et moi, nous avons voyag. Les penses changent de couleur, parfois, avec les frontires. Je ne sais trop ce que jesprais un tonnement peut-tre, quelque diversion salubre. Je la traitais comme une malade, son insu. Eh bien, ni lAllemagne, ni lItalie, ni les steppes russes, ni les splendides Espagnes, ni la jeune Amrique nont mu, distrait ou intress cette mystrieuse

thème du livre). · J’ai aimé que Marivaux mette en avant le thème de l’esclavage qui permet une réflexion critique sur ce début du 18ième. · J’ai aimé l’évolution des rôles maître/esclave, au départ Iphicrate continue à donner des ordres puis finit par des « je t’en prie », au début Arlequin ne s’oppose pas directement, le basculement des rôles s’opère sous nos yeux. · Ce qui m'a plu dans cette œuvre, c'est l'idée directrice du livre, qui