Le Livre de la jungle

ressentir de l’admiration envers Wang Yaming. Plus distinctement, nous parlons ici du moment où la narratrice lui prête son roman La Jungle d’Upton Sinclair. La narratrice nous fait part du fait qu’elle est émue lors de la lecture de ce livre dont le personnage principal se trouve à être une ouvrière de classe sociale très pauvre. Après que Wang Yaming ait finit de lire le livre, celle-ci lui témoigne de sa ressemblance par rapport au personnage du roman, du fait qu’elle aussi avait cherché l’aide d’un

même violent de la part d’Hamilton : Un homo pas trop sapiens L’homme est à l’image d’Apollon2 ou de Tarzan3, et plus particulièrement à l’image de l’acteur américain Gordon Scott 4 (image de droite), qui, à partir de 1955, joue « l’homme de la jungle » au cinéma ou à la télévision. L’image du « héros » correspond à une attente du public : l’homme est représenté dominateur et protecteur, à l’image (imitation) de l’Amérique qui se veut protectrice des pays opprimés. La figure reprend celle du mythique

(partie indonésienne de l’île de Bornéo) et commencèrent à exploiter les terres avec la culture de l’hévéa. La déforestation débuta alors avec le remplacement de la forêts primaire par ces agro forêts (« jungle rubber ») même si elle n’était encore que marginale est inoffensive puisque les jungles rubber restaient riches en biodiversité. Ensuite le gouvernement lança une politique d’expansion des zones forestières et deux plantations rentables firent leur apparition : le palmier à huile et l’Acacia

Résumé Goriot mettait ses filles au rang des anges, et nécessairement au-dessus de lui, le pauvre homme ! Il aimait jusqu’au mal qu’elles lui faisaient. (« Le Livre de poche », p. 146–147) Le roman s'ouvre avec la description de la "Maison Vauquer", une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage nommé Vautrin et un ancien fabriquant de vermicelles

bonheur extrait texte/image : famille parfaite FAMILLE/COMMUNAUTE/ FRATERNITE : 101 dalmatients aristochats roi lion blanche neige petite sirene mulan CLASSE SOCIALE: aladdin les aristochats robin des bois oliver and co le livre de la jungle la belle et le clochard RESPECT: 101dalmatients pocahontas INSOUCIANCE AUX CLASSES SOCIALES: aristochats la belle et le clochard la belle et la bête aladdin AMOUR (plus belle chose): rebelle petite sirene aladdin la belle

européennes : Le Roman de Renart, œuvre médiévale qui consacre à travers son héros éponyme le triomphe de l’intelligence et de la ruse, mais également d’autres œuvres comme La Chanson de Roland, le mythe d’Orphée, les fables de La Fontaine et Le Livre de la Jungle de Kipling (voir les indications ci-dessous), et les contes merveilleux européens ( avec le personnage de la fée et le don d’objets magiques). Comme dans les légendes de type explicatif, les histoires servent à expliquer des caractéristiques

ressenti la jungle africaine relatée dans Heart of Darkness (Au coeur des ténèbres)de Joseph Conrad bien que nous retrouvons le même Kurtz qui au lieu d'être un fabuleux général, c'est un marchand d'ivoire terré dans la profonde Afrique Noire Le film que F.F. Copola, montre une démarche d'adaptation recherchée, et une volonté de fidélité à l'esprit et aux messagea transmis par les images, les sons et les attitudes des personnages principaux comme l'énigmaticité de Kurtz qui dans le livre est comme

L’équipage descend sur la planète est habitée : il y existe une grande ville. Le professeur décide alors d’atterrir dans une clairière, au milieu d’une jungle.  CHAPITRE IV La planète contient des océans, des forêts, des montagnes, des cultures, de l’herbe, des villes et des habitants ; cependant apparemment, elle est peu civilisée car l’étendue de la jungle est très grande. Habillés de scaphandres, les membres de l’équipage sortent de la fusée. .Ils enlèvent le scaphandre du singe en vue de s’assurer

à véhiculer modernisme, liberté, tolérance et démocratie, et de l'autre une religion – musulmane- vouée dès l'origine au despotisme et à l'obscurantisme. » (p. 66) Il rappelle ainsi qu’à une époque, l’islam protégeait les différentes religions du livre tandis que la chrétienté ne faisait preuve d’aucune tolérance. Les Arabes en conclurent que l’Occident ne voulait pas qu’on lui ressemble mais seulement qu’on lui obéisse. En conséquence, il apparaît difficile d’adhérer pleinement et sans arrière

1- Définir la traduction Dans son livre Umberto ECO tente dans un premier temps de trouver une définition acceptable de la traduction. Le Zingarelli parle de la traduction comme étant l’activité de traduire, traduire signifiant « transposer, transporter d’une langue à une autre » et « donner l’équivalent d’un texte, d’une locution, d’un mot »… Mais tout le problème est ici de savoir ce qu’est « donner l’équivalent », question cruciale pour le traducteur ! Eco semble préférer la version du Webster