Le Maître et Marguerite

bourg de Corrèze, près de la Dordogne (entre 1899 et 1920). Ce roman trace l’histoire d'une famille d'agriculteurs : les Vialhe. L’homme de la maison, Jean-Edouard Vialhe estimé pour son courage et sa rigueur, règne en maître sur son domaine ainsi que sur sa famille ; sa femme, Marguerite et leurs trois enfants, Pierre-Edouard, Louise et Berthe. Durant le début du siècle, la ferme est prospère et Jean-Edouard s'enrichit vite. Il connait alors une véritable gloire pendant quelques années. Mais le siècle

toile l'une des plus commentées de l'histoire de la peinture occidentale. Ce tableau dépeint une grande pièce du palais de l'Alcázar de Madrid du roi Philippe IV d'Espagne dans laquelle se trouvent plusieurs personnages de la cour. La jeune infante Marguerite-Thérèse est entourée de demoiselles d'honneur, d'un chaperon, d'un garde du corps, d'une naine, d'un nain et d'un chien. Derrière eux Velázquez se représente lui-même en train de peindre, regardant au-delà la peinture, comme s'il regardait directement

vitrines dans lesquelles on expose des choses bizarres, des fleurs, des pierres, des papillons, toutes sortes de choses rares, pour les artistes, tout cela est passionnant. Comme tous les artistes de sa génération , Arcimboldo est très influencé par le maître Leonard de Vinci , quand il était petit , il a eu de la chance de voir ses carnets , dessins et notes , il est alors passionné par les croquis de monstres , les caricatures , les personnages hybrides , c'est-à-dire composés de plusieurs éléments qui

particulière dans les cœurs   Naissance : 21 novembre 1694, Paris Décès : 30 mai 1778, Paris Formation : Lycée Louis-le-Grand (1704–1711) Livres : Candide, Zadig, L'Ingénu, Lettres philosophiques, Le Taureau blanc Parents : François Arouet, Marie Marguerite d'Aumart Livrets : Le Temple de la Gloire, La Princesse de Navarre, Les Fêtes de Ramire, Samson, lost opera by Jean-Philippe Rameau Montesquieu, Philosophe Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu, connu sous le nom de

qui épousera la future protectrice du poète Marguerite de La Sablière. Il obtient en 1649, un diplôme d’avocat au parlement de Paris. Entre temps, en 1647, son père lui organise un mariage de complaisance avec Marie Héricart, alors âgée de 14 ans et demi, qui lui donne un fils, Charles. Ses fréquentations parisiennes, pour ce que l'on en sait, sont celles des sociétés précieuses et libertines de l'époque. En 1652, La Fontaine acquiert la charge de maître particulier triennal des eaux et des forêts

Ma grand-mère servait du thé avec beaucoup de zakouski et de la vodka dans une grande bouteille verte carrée dont le fond était orné de jolies fleurs rouges fondues dans le verre. Tsyganok, en habits du dimanche, tourbillonnait comme une toupie. Le maître compagnon se glissait parmi nous, sans bruit ; les verres de ses lunettes brillaient. Ievguénia, la bonne d’enfants, ronde comme une cruche, avec sa face rouge grêlée, ses yeux rusés et sa voix claironnante, était là, elle aussi. Parfois on voyait

ville où il est mort le 30 mai 1778 (à 83 ans) Enfance études Il était fils de François Arouet, notaire et trésorier de la chambre des Comptes et de Marguerite d'Aumart, d'une famille noble du Poitou .Sa mère meurt lorsqu’il est agé de 7 ans. Il fit des études brillantes au collège Louis-le-Grand, alors dirigé par les jésuites , et y compta parmi ses maîtres les PP. Lejay et Porée. Destiné à la magistrature, il fut placé chez un procureur; mais une vocation précoce l'entraîna irrésistiblement vers les

l'œuvre3. Parmi les travaux récents, l'importante étude d'E. Duval4 traite trois poèmes de Marot - le Temple de Cupido, l'Epistre au Roy, du temps de son exil à Ferrare et la préface aux Psaumes adressée aux Dames de France — outre une farce de Marguerite de Navarre intitulée l'Inquisiteur. Remarquant le thème commun à ces œuvres, il a montré le rapport étroit entre la forme et le thème : le thème du cœur se trouve au centre5. Les études de ces prédécesseurs sont suffisantes pour qu'on suppose une

dans des botteghe d'abbaco ou « écoles d'abbaques » où des maestri enseignent l'arithmétique, la géométrie et les méthodes calculatoires à de futurs marchands à travers des problèmes récréatifs, connus grâce à plusieurs « traités d'abbaque » que ces maîtres nous ont laissés[13]. Les nombres complexes apparaissent lors des travaux de Scipione del Ferro, à l'occasion de la résolution des équations de degrés trois. Repris par Tartaglia, et publiés par Cardan, ils trouvent une première forme avec Bombelli

des personnages - p.9 C - Tableau 3 : découverte du 1er acte - p.10 D - Tableau 4 : costumes - p.11 II - Carnet de création 1 -Note d’intention d’Eric Lacascade - p.12 2 - Eric Lacascade: biographie - p.13 3 - Le costume - p.14 4 - Interview de Marguerite Bordat, costumière - p.15 5 - Interview d’Emmanuel Clolus, scénographe - p.17 6 - Pistes pédagogiques, après le spectacle - p.20 III - Pour aller plus loin 1 - Interview d’Eric Lacsacade - p.21 2 - Tartuffe selon Louis Jouvet - p.24 3 - Tartuffe