Le Malade Imaginaire La Fausse Mort

Le malade imaginaire De Molière ➢ L’auteur et le livre : • Courte biographie de Molière : Jean-Baptiste Poquelin, Molière de son nom de scène, est né à Paris en 1622 dans une famille bourgeoise. Il fait sa scolarité chez les jésuites du collège de Clermont, jusqu’à l’âge de dix-sept ans. Il se lance ensuite dans des études de droit pour devenir avocat. En 1643, il trouve finalement sa vocation dans le métier de comédien. Il subit néanmoins un échec financier avec la création

extrêmement ambigu par rapport non seulement à la fatalité tragique, mais aussi à la moralité officielle. La tragédie, elle, rétablit l'ordre par un mouvement cataclysmique; le jour, comme le dit Phèdre, redevient clair après la purgation: Et la mort, à mes yeux dérobant la clarté Rend au jour, qu'ils souillaient, toute sa pureté. L'ordre que rétablit la comédie, par contre, est profondément ironique. Cliton, qui reste seul avec les spectateurs pour commenter le sort de Dorante à la fin

Michel Dobransky Molière Le Malade imaginaire LIVRET DU PROFESSEUR établi par É VELYNE A MON professeur de Lettres SOMMAIRE DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE La comédie-ballet .......................................................................................... 3 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 Étape 7 Étape 8 Étape 9 Étape 10 Argan, le malade imaginaire .............................

Armande. De cette union est né un fils qui est malheureusement mort en bas âge. Il écrit par la suite de nombreuses pièce de théâtre comme : Le Misanthrope (en 1666), George Dandin (en 1668), Le Bourgeois Gentilhomme (en1670), L’Avare (en 1668), Les Fourberies de Scapin (en 1671), ou encore Les Femmes savantes (en 1672). À 43 ans, il est atteint d’une grave fluxion de poitrine. Il en meurt après la 4ème représentation du Malade Imaginaire le 17 février, à 51 ans. Définition des 5 mots : Strodagème

troupe tout à la fois, du temps de Louis XIV, au XVIIème siècle. On peut le dire, il eu bien des mérites voici pourquoi : au XVIIème siècle les acteurs étaient mal vus, voir méprisés ; beaucoup de gens l’accablaient de calomnies, méchanceté voir fausses rumeurs… il s’est moqué de beaucoup de personnes surtout de riches nobles ou bourgeois ; il s’est même moqué du Roi Louis XIV qui en a rit sans comprendre que Molière parlait de lui ! Au XVIIème siècle, il était très fréquent de prendre un nom

Le Malade imaginaire – Molière Scène I,1 depuis « Plus, du vingt-sixième... » à la fin de la scènePrésentation :Eléments biographiques (cf. approche générale de l'œuvre) : dernière pièce de Molière, même s'il n'est pas mort en scène, elle contribue à la légende d'un homme qui a consacré sa vie au théâtre et qui a fait évoluer le genre et sa renommée.Le Malade imaginaire est une comédie-ballet, genre qui plaît à Louis XIV, donc à la

A la fois auteur et acteur, on lui doit nombre de pièce comique tel que : « Les Précieuses Ridicules » en 1659, « Dom Juan » en 1665 ou encore « Les Fourberie de Scapin » en 1671. Il meurt sur scène lors d’une dernière représentation du « Malade Imaginaire » en 1673. b. Bibliographie Le Médecin volant (1645), La Jalousié du Barbouillé (1650), L’Étourdi (1655), Le Dépit amoureux (1656), Le Docteur amoureux (1658), Les Précieuses ridicules (1659), Sganarelle (1660), Dom Garcie de Navarre

permet à un personnage de parvenir à ses fins, ainsi qu’à l’auteur de faire avancer l’intrigue tout en divertissant le spectateur. Marivaux est un écrivain et dramaturge français du XVII et XVIIIème. Il a écrit Les Fausses Confidences, sa vingt-septième pièce, en 1737. Cette comédie en trois actes met en scène Dorante, un jeune homme ruiné, amoureux de la jeune Araminte, riche et veuve. Avec l’aide de son ancien valet Dubois, ils vont mettre en place des stratagèmes

réalisé par Mme Anne-Noellia Carrols, professeure agrégée, lycée Cocteau à Miramas Séquence « Spectacle et comédie» (Le théâtre du XVIIè au XXIè siècle). Explication linéaire n°2 : Molière, Le Malade imaginaire, Acte III, scène 3 Argan est un père de famille en pleine santé mais persuadé d’être malade. Il est devenu complètement dépendant de son médecin M. Purgon et de son apothicaire (pharmacien) M. Fleurant. Ces derniers ont bien compris le profit qu’ils pouvaient tirer des angoisses morbides

adoptant purement et simplement la ligne de conduite des Tomès et autres Des Fonandrès ; s'il n'a pas leur cynisme — il n'est que médecin occasionnel —, il manifeste le même charlatanisme, la même vénalité et la même indifférence pour la vie des malades: Je trouve que c'est le métier le meilleur de tous; car, soit qu'on fasse bien ou soit qu'on fasse mal, on est toujours payé de même sorte: la méchante besogne ne retombe jamais sur notre dos; et nous taillons, comme il nous plaît, sur l'étoffe