Le Mariage Forcé Acte 2 Scène 2

que son succès n’a eu lieu qu’à titre posthume. I- RESUME DE LA PIECE Acte I (Scène 1) Valère est un gentilhomme napolitain. Il travaille comme intendant d’Harpagon, dont il aime la fille Elise. Tous deux deviennent amants, mais la jeune femme craint la réaction de son père. Elle conseille à Valère d'essayer de se faire un allié en la personne de Cléante, le frère d’Élise. Valère lui donne le même conseil. (Scène 2) De son côté, Cléante, le fils d’Harpagon, aime Mariane, qui est une jeune

maître a le sort de son valet entre ses mains et peut soit le favoriser, soit le maltraiter. la dépendance qu'il impose est d'ordre économique mais aussi sociale car le bonheur du valet dépend du bon vouloir du maître qui va accorder ou refuser le mariage. Cette relation de dépendance est aussi dramaturgique car la relation maître-valet constitue souvent le pivot de l'intrigue. Par convention théâtrale, le valet est celui qui sait, par sa ruse et son habileté, être un auxiliaire précieux de son maître

évaluative de la métaphore argumentative. texte support : Giraudoux, Electre, Acte I, scène 2 (extrait ). - La fonction structurante de la métaphore argumentative. texte support : H. Taine, Les origines de la France contemporaine : Le régime moderne, Livre quatrième, chapitre 1 - La fonction caractérisante de la métaphore argumentative. textes supports : Hugo, La préface de Cromwell, Bossuet, Sermon (extrait) 2) Une étude d’un extrait dans Le Père Goriot : fonctions de la métaphore argumentative

référant pour la plupart à la comédie italienne, la Commedia dell'arte) telles que : Les Précieuses ridicules (1659), Sganarelle ou le cocu imaginaire (1660), L'École des femmes (1662), ou encore les Fourberies de Scapin (1671). Molière meurt sur scène, en 1673, lors d'une dernière représentation du Malade imaginaire. * Date de parution : 1665 (Juste après Le Tartuffe et avant le Misanthrope. * Genre et structure : Dom Juan est

dénouement), le comique, que l’on mettra en rapport avec le tragique pour esquisser une approche des genres et des registres, ˆ et le dialogue théatral (la double énonciation et les modalités d’expression d’une opinion). — Comment interpréter une scène de théa ? On ta ˆtre ˆchera de rappeler régulièrement aux élèves que le théa est par essence un ˆtre spectacle vivant et que le texte écrit qu’ils ont sous les yeux n’est ` qu’un support à l’interprétation. A partir de la deuxième séance, chaque cours

Dorante et Silvia appartiennent à l'aristocratie, mais leur exigence de transparence et de fidélité est en opposition avec le libertinage de leur milieu (cf Dom Juan, plus tard, Les Liaisons dangereuses). Il s'agit d'une vision bourgeoise idéale du mariage, qu'il faut replacer dans l'émergence de la personne individuelle au XVIII°siècle : Monsieur Orgon n'a rien d'un père de Molière, par exemple. A3- Par conséquent, le discours amoureux reprend et parodie en même temps le code de l'Amour courtois,

Acte III, scène 8 1. Situation du texte Comme plus tard Iphigénie, les premiers spectateurs d'Andromaque apprécièrent l'efficacité pathétique de cette pièce, son pouvoir de faire couler les larmes. C'est qu'en effet, le chant funèbre, les lamentations de l'héroïne éponyme y constituent un attrait aussi marquant que la fureur finale d'Oreste. Ces deux tonalités contrastées habillent d'une aura tragique la chaîne amoureuse (Oreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime

1 - Acte I, scène 1 Sganarelle fait un éloge du tabac. Il s'adresse ensuite à Gusman (il est venu avec Done Elvire, qui recherche son mari). Sganarelle décrit Don Juan comme un personnage infidèle, libertin et grand séducteur. Quand celui-ci approche, Sganarelle informe Gusman que cet aveu restera secret. 2 - Acte I, scène 2 Dom Juan demande ce que pense Sganarelle de la vie qu'il mène. Celui-ci n'est pas d'accord avec le comportement de Dom Juan. Ce dernier, dans une tirade, lui explique ses

limitait qu' ça : "j'ordonne, tu fais". Marivaux nous introduit dans cette pi ce avec une conversation tr s amical entre Silvia qui est la maîtresse et Lisette qui est sa femme de chambre en débattons au sujet du mariage, dont chacune donne son point de vue en rapport au sujet (Acte I, scene 1) Et celui qui est a l`origine de ce dialogue est Monsieur Orgon, le pere de Silvia, parce que c’est lui qui demande a Lisette d`avoir cette entretien avec sa fille. Chose qui n’est pas du tout normal, un servant

[pic]. ACTE 1 Le testament. Dans la chambre d'Argan, le soir. SCÈNE 1 Argan, seul dans sa chambre, fait le compte des traitements qu'il a subis pendant le mois, traitements prescrits par M. Purgon, le médecin, et fournis par M. Fleurant, l'apothicaire. Ces comptes terminés, il appelle sa servante Toinette qui ne vient pas. Il s'irrite et hurle. SCÈNE 2 Toinette arrive enfin. Argan, après avoir pesté contre elle, lui fait débarrasser les objets qu'il a utilisés. Puis il fait demander sa fille