Le Matin De Notre Patrie

Louis-Philippe, avait été programmée mais à cause d'un attentat perpétré le 25 Juin contre le roi, Adolphe Thiers, convaint le souverain d’annuler sa venue et Thiers fut chargé d’inaugurer le monument, sans tambour ni trompette, à sept heures du matin. L'arc est ensuite consacré symbole de la loyauté de l’armée envers l’Empereur par Honoré de Balzac, en 1842. Depuis sa construction, plusieurs campagnes de restauration sont venues réparer les altérations du temps Et les séquelles laissées

Dieu. Or, Baudelaire n’était pas un bon catholique, car s’il l’avait été, il aurait choisi comme symbole de l’espoir la colombe blanche, mais il préfère choisir comme image une chauve-souris, grisatre, hideuse. Ce n’est pas la colombe qui s’élance le matin vers le monde, mais c’est une caricature de l’espoir qui est a jamais emprisonné, glué a la matière. Dans la troisième strophe, il ajoute aux éléments de l’atmosphère pesante, d’autres et il élargit les dimensions. Le cachot est le prison où les arraignées

quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n’y a pas d’amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu’on avait habillés pour un autre destin A quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu’on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n’y a pas d’amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent

montagne accouche     De temps en temps sous l'ouragan     Un vieux sapin geint et se couche Guillaume Apollinaire (1880 – 1918 Vers à danser (Le fou d'Elsa), mis en musique et chanté par Jean Ferrat Que ce soit dimanche ou lundi Soir ou matin minuit midi Dans l'enfer ou le paradis Les amours aux amours ressemblent C'était hier que je t'ai dit Nous dormirons ensemble C'était hier et c'est demain Je n'ai plus que toi de chemin J'ai mis mon coeur entre tes mains Avec le tien

individuel qui dans un moment de crise, de danger, de menace, a pour réflexe protecteur de s'enfermer dans un mode d'être, dans une secte. (les sectarismes, les communautarismes, les patriotismes se renforcent, se multiplient, quand l'être, le groupe ou la patrie est en danger) | l.17 à 19 | Tant vaut l'homme, tant vaut le métier ; et réciproquement, à la fin, tant vaut le métier, tant vaut l'homme | Il utilise ici une figure de style, encore preuve de son éloquence, talent oratoire

enfant de sept ans quand les grands hommes, les villes, les fleuves de sa petite histoire lui tournent soudain le dos. Regardez-les. Ils me renient". (Acte III, scène 4, p. 51) "Je voyais lutter en vous chaque gloire de votre patrie passagère et de votre patrie retrouvée. Je m'étais juré le silence. Passer des armes en sous-marin à un duelliste, fut-il Bayard ou Napoléon, m'eût répugné. Mais s'il s'agit pour elles d'un duel entre aubes et crépuscules, d'un concours entre torrents et lunes

d’or PARIS en 1910 quotidiens environ 60 titres En 2011, 12 quotidiens nationaux En 1910 : * Le petit journal * Le petit parisien * Le matin * Le journal Les 4 + vendus à Paris Presse politique La gauche : - le cri du peuple * L’Humanité (toujours en 2011) Centre : - Le temps * Le Figaro Droite : - La Patrie * L’éclair Religieux : - La croix Monarchiste : - L’union * Le soleil 4. Etat des lieux de la presse écrite depuis 1944 a. La réglementation

croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce           Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin A quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désœuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes           Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous

quant à ma maison, je ne puis m’en défaire : C’est là que je suis né, c’est là qu’est mort mon père, Je prétends y mourir aussi. Le calife, s’il veut, peut me chasser d’ici, Il peut détruire ma chaumière ; Mais, s’il le fait, il me verra Venir, chaque matin, sur la dernière pierre M’asseoir et pleurer ma misère : Je connais Almamon, son cœur en gémira. Cet insolent discours excita la colère Du vizir, qui voulait punir ce téméraire Et sur-le-champ raser sa chétive maison. Mais le calife lui dit : non,J’ordonne

dans mon village avec le petit peuple de ma ville pour suivre les résultats des élections. Ce fut une stupéfaction pour tout le monde, j'avais enfin gagné les élections avec la majorité absolue. Un de mes objectifs était enfin atteint. Le lendemain matin, j'avais prononcé un discours pour ma victoire. La cérémonie fut exceptionnelle, à la présidence tout le monde me connaissait sous le nom de «Mobuta» - c'est devenu un nom commun. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas entendu ce nom certains