Le Mendiant Et Madame Bovary

peinture) a appréhendé la Nature en tant qu’objet maîtrisée par l’Homme (sujet). Nous pouvons bien entendu citer plusieurs exemples de régions et d’époques différentes, mais limitons nous à la littérature réaliste française du XIXème siècle. Dans Madame Bovary, Flaubert comparait le paysage de Rouen à un tableau: “Vu d’en haut, le paysage tout entier avait l’air immobile comme une peinture.”17 Et Georges Sand dans la Mare au Diable le décrit ainsi: “Je marchais sur la lisière d’un champ que des paysans

Sainte-Clotilde et la Trinité. » (Correspondance, éd. cit., III, p. 316 et 317). On notera que les chefs d’accusation des « prêtres » reprennent, dans l’ordre, ceux qui avaient été formulés quelques années auparavant par le ministère public à l’encontre de Madame Bovary. « Vous vous étonnez de ma rage antireligieuse », écrit Flaubert à Edma Roger des Genettes dans une lettre que Jean Bruneau date de 1860.Voir la Correspondance, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, tome III, p. 131 et la notice, p.1113 : “La

sacrifiant son métier à son amant. Yung-Tsching: empereur de Chine (1723-1735) dont le règne coïncida avec une étape importante dans le développement de la porcelaine chinoise. Luciennes (ou Louveciennes): nom du château construit par Louis XV pour Madame du Barry. L'orfèvre Jacques Roettiers de la Tour (1707-1784) avait créé pour elle un service de table décoré de roses et de myrtes. 12. Jean d'Heurs: un château sur la Meuse où fut reçu Edmond Goncourt, le mercredi 13 juillet 1881. Il s'agit ici

Il y a quelque chose de nouveau dans cette pièce. Elène c’est la femme de Ménélas et l’amante de Parîs. So histoire commence par l’intrusion de Ménélas sur la scène. Là il arrive dans un état piteux : il est en haillon, il est déguisé comme un mendiant et il arrive sur la scène avec des mots de faiblesse et presque de peur. Il arrive à un endroit où sa femme est car elle a été enlevée et sa chasteté a été préservée, et elle n’a pas commis l’adultère avec Parîs, et elle est arrivée directement chez

élèves de mettre en perspective littéraire des théories et expérimentations scientifiques. L’atelier d’écriture littéraire permet surtout de montrer les liens entre lecture et écriture. Après l’étude d’un extrait de Madame Bovary de Flaubert, s’inspirant de la description de Charles Bovary, un élève a produit le texte suivant : L’homme qui venait de s’asseoir en face de moi m’était inconnu. C’était la première fois que je le voyais dans ce jardin public. L’inconnu, d’environ cinquante ou cinquante cinq

parviendrais à accomplir ce travail. Je remercie également Madame Joëlle GLEIZE, Professeur de Littérature française à l’Université de Provence, Madame Nathalie BARBERGER, Professeur de Littérature française à l’Université Lyon 2, Madame QIN Haiying, Professeur de Littérature française à l’Université de Beijing, pour avoir accepté d’être membres de mon jury et pour l’intérêt qu’elles ont porté à mon travail. Mes remerciements vont également à Madame Inès OSEKI-DÉPRÉ, Professeur de Littérature française

préparée par Samar ROUHANA Sous la direction de Madame le Professeur Nicole SALIBA-CHALHOUB Kaslik-Liban 2008 REMERCIEMENTS Je remercie en premier lieu Madame Nicole SALIBA-CHALHOUB qui a supervisé mon travail. Sa direction minutieuse et exigeante, sa patience et sa bienveillance, ses encouragements et ses conseils m’ont permis de mener à bien ma thèse. Je voudrais par ailleurs exprimer toute ma gratitude envers le Père Naoum ATTALAH et Madame Edmée CRIVELLI pour leur précieuse aide et l’attention

mémoire de maîtrise de l’auteur, intitulée Littérature et démonisme (et présentée en 1999, à la Faculté des Lettres et de Théologie de l’Université « Ovidius » de Constanţa), cette thèse de doctorat (rédigée entre 2001 et 2006, sous la direction de Madame le Professeur Docteur Irina Mavrodin, et soutenue en séance publique le 14 juin 2007, à l’Université de Craiova) se propose d’ouvrir une nouvelle perspective de lecture approfondie sur l’ensemble de l’œuvre poétique baudelairienne, basée sur la mise

il évoque les personnages qu’Octave est venu voir, sa mère et sa sœur. Il évoque d’abord Jeanne, la petite sœur (l. 18 à 23), puis il donne des informations sur le passé de la mère, Mme Sarrasin : ce retour en arrière commence à la ligne 24 avec « Madame Sarrasin, mariée très jeune » et s’achève à la fin du texte, ligne 28 : « toutes ses espérances ». (1 pt) b. Ce retour en arrière a pour principale utilité de nous faire comprendre pourquoi Mme Sarrasin éprouve pour ses enfants une affection particulièrement

critique de B[leuler] est savoureuse et méritée. Vos excuses font penser au "en attendant toujours quelque chose qui ne venait point" de Zola. En conséquence de quoi, le narciss[isme] est au repos. Cordiales salutations, également à l’attention de Madame G. Votre Freud65. » La citation provient de Germinal66. Elle évoque une scène où des enfants essayent d’avoir des relations sexuelles, mais leur constitution physique ne leur permet pas de jouir. Freud fait référence à cette phrase sans doute pour