Le Merle Blanc

en 1836. Alfred de Musset était dépressif et alcoolique, c'est pour cette raison qu'après ses 30 ans, ses publications se font rares. Mais il publie entre 1840 et 45 les poèmes Tristesse, Une soirée perdue et des nouvelles comme Histoire d'un merle blanc. En 1845, il recoit la Legion d'Honneur et est élu à l'Académie Française en 1852. A cause de son alcoolisme, sa santé se dégrade gravement et il meurt en 1857 à Pari. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise. Il a en quelques sortes été redecouvert

gravures étaient réalisées avec les doigts, les murs étaient en argile donc marquaient facilement. Dans grottes: beaucoup de mains positives(intérieur peint) ou négatives(contour peint) peintes sur les murs(exemple: les chevaux mouchetés de Pech - Merle). Les hommes utilisaient les reliefs des roches pour peindre ou sculpter. Par exemple les bisons de font de Gaume. Pour faire leurs peintures, ils avaient des palettes, dans lesquelles ils faisaient leur mélange de peinture. Ils ramassaient du colorant

débute à dix-huit ans dans le journalisme au Quotidien à Moulins. Il devient en 1935 secrétaire de rédaction de la revue Le Document, puis chef de la fabrication des éditions Denoël à Paris. A cette époque, il collabore à divers journaux dont Le Merle Blanc. Marié en 1936, il fut le père de Renée et de Jean dans les deux années qui suivirent. Il fait la guerre comme caporal cuisinier dans un régiment d’infanterie.. Démobilisé en 1940, il fonde à Montpellier L’Echo des Etudiants. Il rentre en

Confession d'un enfant du siècle en 1836. Dépressif et alcoolique, au-delà de 30 ans, il écrit de moins en moins : on peut cependant relever les poèmes Tristesse, Une soirée perdue (1840), Souvenir en 1845 et diverses nouvelles (Histoire d'un merle blanc, 1842). Il reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852. Sa santé se dégrade gravement avec son alcoolisme et Alfred de Musset meurt à 46 ans, le 2 mai 1857, à peu près oublié : il est enterré dans la discrétion au

aux animaux. Grande vitalité qui ressort de ces fresque. Animaux avec de l'elant, de l'energie vitale. Parfois ce sont les reliefs même des paroies qui ont été utilisées pour donner du volume quand il y a du mouvement : ex : les chevaux de pech merle. Des parties saillantes de la roche utilisées pour l'avant train de l'animal : il a l'air de bondir de la roche. L'impression de bondissement est decupelée quand on les observe à la lumière, ce qui était le cas des flammes mouventes utilisées par

Margot 1838 • Croisilles 1839 • Les Deux Maîtresses, Tristesse, Une soirée perdue 1840 • Souvenir, Nouvelles (« Emmeline », « Le fils du Titien », « Croisilles », « Margot ») 1841 • Le voyage où il vous plaira, Sur la paresse, Histoire d'un merle blanc, Après une lecture 1842 • Pierre et Camille, Le secret de Javotte, Les frères Van Buck 1844 • Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée, Mademoiselle Mimi Pinson 1845 • Nouvelles (« Pierre et Camille », « Le secret de Javotte ») 1848 • Louison

! Ce beau temps me pèse et m'ennuie. Ce n'est qu'après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l'eau. Gérard de Nerval, Odelettes Le Merle La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. Mais on entend parfois, comme une morne plainte, Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois. Plus de chansons dans l’air, sous nos

juste huit ans lorsqu'il répond à une amie de sa sœur aînée qui lui demande ce qu’il est en train de dessiner à l’encre sur une feuille blanche : un paysage de neige. « Ce que je voulais faire avec mon encre, dit-il, c’était rendre le blanc du papier encore plus blanc, plus lumineux, comme la neige. C’est du moins l’explication que j’en donne maintenant. »1 À douze ans, son instituteur l’emmène, avec sa classe, visiter l’abbatiale Sainte-Foy de Conques, où se révèlent sa passion de l’art roman et

beaucoup de plats en sauce et les herbes y occupaient une place très importante. En effet les romains utilisaient des herbes peu connues de nos jours comme la livèche, le pouliot, le calament mais aussi la rue. Le vin Romain : Sec, doux, noir, blanc, rouge ou jaune, le vin était une boisson fort appréciée des romains. La plupart des crus devaient être bus dans les trois ou quatre années qui suivaient leur production, au risque de s’abîmer. Parfois on les aromatisait, avec du miel par exemple.

une sincérité qui renvoie à la vie tumultueuse qu'illustre emblématiquement sa liaison avec Georges Sand (son amante). Œuvres : La nuit d’août (1836) La nuit de octobre (1837) Une soirée perdue (1840) Histoire d'un merle blanc (1842)