Le Misanthrope De Molière Comique Et Sérieux

tenant sa femme morte sur les bras et découvrant ses amis assemblés dans une maison en fête. On imagine également l’expression sur le visage des invités, témoins malgré eux d’une scène de crime, alors qu’ils venaient pour un moment d’amusement. Le comique vient de cette opposition entre l’attendu, le prévu, et l’inattendu, l’imprévu. Rien ne laissait supposer un tel contraste. 4. Cette histoire dure une quinzaine d’heures. Elle se déroule sur une journée, du réveil du personnage principal (l. 1)

éclair en tout homme et en tout femme, c'est la contrainte. Et Arnolphe nous présente l'énorme ridicule de l'homme qui veut forcer une femme à l'aimer volontairement. Je me suis plu souvent à suivre les tours de clef d'après la grande fresque de Molière. Car il enferme Agnès et ainsi il est assuré. De quoi ? Non point d'être aimé ; mais voyons. N'est-il pas assuré d'être aimé ? Il rouvre. Oui mais si elle use de sa liberté autrement que je ne voudrais ? je ferme. Autrement qu'elle ne voudrait, il

En passant dans ce vêtement italien, l’esprit de ces écrits change radicalement. Le public de référence n’est plus du tout féodal mais plutôt bourgeois et parfois même populaire. De même, en ce qui concerne le ton, à l’origine c’est plutôt sérieux et ce sérieux omniprésent laisse de plus en plus de place au rire voire à la parodie. Il était impensable d’avoir une scène comme par exemple Charlemagne qui, de peur, se cache sous une table et pourtant cela se trouve chez les Italiens. La grandeur épique

une attitude insouciante et un peu infantile par moment (puéril) Une certaine légèreté dans la conduite de son affaire : la première impression pour lui est celle de la farce et de la plaisanterie que lui ont fait ses camarades. Piste : aspect comique de certains détails : d) La culpabilité. faute naît aussi du regard de l’autre; du moi en représentation emprisonnée par ceux qui veulent faire de lui un coupable. Le système est là pour l’enfermer dans cette image. Théorie du complot. Si la

comparant d'ailleurs avec celle du poète Ménandre, disciple de Théophraste, et qui servit ensuite de modèle à Térence, qu'on a dans nos jours si heureusement imité, ne peuvent s'empêcher de reconnaître dans ce petit ouvrage la première source de tout le comique: je dis de celui qui est épuré des pointes, des obscénités, des équivoques, qui est pris dans la nature, qui fait rire les sages et les vertueux. Mais peut-être que pour relever le mérite de ce traité des Caractères et en inspirer la lecture, il

d’ailleurs avec celle du poète Ménandre, disciple de Théophraste, et qui servit ensuite de modèle à Térence, qu’on a dans nos jours si heureusement imité, ne peuvent s’empêcher de reconnaître dans ce petit ouvrage la première source de tout le comique : je dis de celui qui est épuré des pointes, des obscénités, des équivoques, qui est pris dans la nature, qui fait rire les sages et les vertueux. Mais peut-être que pour relever le mérite de ce traité des Caractères et en inspirer la lecture

cardinaux et les cardinaux qui sont les galériens ! ». Le duc est aussi le fils supposé d’un pape. C’est pourquoi, ne pouvant être reconnu par son père, on le dit bâtard. À la première scène, Musset fait sans doute allusion à cette ascendance de manière comique en faisant dire le juron « Entrailles du pape » au duc lui-même. Et le duc évoque un autre bâtard, le fils du pape Alexandre Farnèse, à l’acte I, scène 4 (p. 58) : « Ah ! parbleu, Alexandre Farnèse est un plaisant garçon ! Si la débauche l’effarouche

et les cardinaux qui sont les galériens ! ». Le duc est aussi le fils supposé d’un pape. C’est pourquoi, ne pouvant être reconnu par son père, on le dit bâtard. À la première scène, Musset fait sans doute allusion à cette ascendance de manière comique en faisant dire le juron « Entrailles du pape » au duc lui-même. Et le duc évoque un autre bâtard, le fils du pape Alexandre Farnèse, à l’acte I, scène 4 (p. 58) : « Ah ! parbleu, Alexandre Farnèse est un plaisant garçon ! Si la débauche l’effarouche

ou par un esprit de critique, quelques-uns pourraient penser que ces remarques sont imitées. L’un, par l’engagement de son auteur, fait servir la métaphysique à la religion, fait connaître l’âme, ses passions, ses vices, traite les grands et les sérieux motifs pour conduire à la vertu, et veut rendre l’homme chrétien. L’autre, qui est la production d’un esprit instruit par le commerce du monde et dont la délicatesse était égale à la pénétration, observant que l’amour-propre est dans l’homme la cause

comparant d'ailleurs avec celle du poète Ménandre, disciple de Théophraste, et qui servit ensuite de modèle à Térence, qu'on a dans nos jours si heureusement imité, ne peuvent s'empêcher de reconnaître dans ce petit ouvrage la première source de tout le comique: je dis de celui qui est épuré des pointes, des obscénités, des équivoques, qui est pris dans la nature, qui fait rire les sages et les vertueux. Mais peut-être que pour relever le mérite de ce traité des Caractères et en inspirer la lecture, il ne