Le Misanthrope Nœud

résultat final d’une histoire. Au théâtre, le dénouement est le moment où toutes les problématiques qui se sont créées tout au long de la pièce se « dénouent » et que les problèmes trouvent leurs solutions[1]. Le nom de dénouement répond à celui de nœud, qui a été donné à cette partie centrale de l’action où les situations se compliquent, où les obstacles à l’accomplissement du dessein annoncé se multiplient, où les intérêts en jeu sont menacés et compromis, où tous les ressorts de l’intérêt sont

amoureuse et sociale de Silvia (la maîtresse), devenue Lisette (la servante) et de Dorante (le maître), devenu Arlequin (le valet). Au point qu'ils ne savent plus qui ils sont et qui ils aimeraient être : seuls le spectateur et l'auteur peuvent démêler ce nœud créé par les costumes eux-mêmes, qui prennent le pas sur la volonté de ceux qui les portent. Ils dirigent le discours, chacun devant tenir les propos correspondant à son habit et non à sa véritable identité : on pourrait presque dire que ce sont eux

qu’il y a de tout fait dans notre personnalité, ce qui est en nous à l’état de mécanisme, une fois monté, capable de fonctionner automatiquement. Ce par où nous nous répétons nous même. » Ce caractère ne change pas facilement (voir l’Avare, le Misanthrope ). Il a une stabilité. Ainsi sont introduits des types. Untel a un caractère passionné, un autre un caractère apathique ou nerveux. C’est donc la reconnaissance de fait d’un style de comportement identifiable. Mais cet ensemble de traits qui

amoureuse et sociale de Silvia (la maîtresse), devenue Lisette (la servante) et de Dorante (le maître), devenu Arlequin (le valet). Au point qu'ils ne savent plus qui ils sont et qui ils aimeraient être : seuls le spectateur et l'auteur peuvent démêler ce nœud créé par les costumes eux-mêmes, qui prennent le pas sur la volonté de ceux qui les portent. Ils dirigent le discours, chacun devant tenir les propos correspondant à son habit et non à sa véritable identité : on pourrait presque dire que ce sont eux

amoureuse et sociale de Silvia (la maîtresse), devenue Lisette (la servante) et de Dorante (le maître), devenu Arlequin (le valet). Au point qu'ils ne savent plus qui ils sont et qui ils aimeraient être : seuls le spectateur et l'auteur peuvent démêler ce nœud créé par les costumes eux-mêmes, qui prennent le pas sur la volonté de ceux qui les portent. Ils dirigent le discours, chacun devant tenir les propos correspondant à son habit et non à sa véritable identité : on pourrait presque dire que ce sont eux

MAURIAC - ''Le noeud de vipères''www.comptoirlitteraire.comAndré Durand présente ‘ ’Le nœud de vipères’’(1932)roman de François MAURIAC (105 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 5) l’intérêt documentaire (page 5) l’intérêt psychologique (page 6) l’intérêt philosophique (page 10)la destinée de l’œuvre (page 11) Bonne lecture ! Le roman prend la forme d'une longue

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le nœud de vipères’’ (1932) roman de François MAURIAC (105 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 5) l’intérêt documentaire (page 5) l’intérêt psychologique (page 6) l’intérêt philosophique (page 10) la destinée de l’œuvre (page 11) Bonne lecture ! Le roman prend la forme d'une longue lettre écrite, dans les années vingt, par Louis, un

sont de condition moyenne ou modeste, et le dénouement est heureux. 2. Molière n’hésite jamais à puiser dans son propre fond, à pratiquer le réemploi d'un sujet, d'une situation, ou d'un personnage, voire la réécriture de certains échanges : Le Misanthrope doit beaucoup à Dom Garcie de Navarre, L’École des femmes à L’École des maris, ou encore George Dandin à La Jalousie du Barbouillé… Mais c’est surtout dans la double tradition italienne qu’il «reprend son bien» : celle de la commedia sostenuta,

2 draps et à faire acquitter 1 berger malhonnête sans être inquiété par le juge qui se laisse berner par ses habiles paroles. ) Tartuffe, Molière (Dénonce des Faux dévots : attitude hypocrite 2 ceux qui simulent une grande ferveur religieuse) Misanthrope, Mol. (critique mondains) Les femmes savantes, Mol. (critique les pédants. 3 femmes, Philaminte, Bélise et Armande, se prosternent 2 façon ridicule devant le piètre poète Trissotin. Elles le percoivent comme 1 moyen d’être reconnues ds le monde

sémiosique : régule la vitesse du récit. Prolepse : anticipation sur la suite du roman. Analepse : retour en arrière à valeur explicative. Ellipse : trou dans le récit. Élégiaque : ton dʼune douce plainte. Bienséance : caractère de ce qui convient, va bien. Nœud : Péripétie ou suite de péripéties qui amènent lʼaction théâtrale, littéraire à son point culminant. Dénouement : ce qui termine, dénoue une intrigue, une action théâtrale. Unités : qui montre une seule action se déroulant dans un seul lieu, et en