Le Monde magique de la Belle et la Bête

pays, commandent même en présence du roi. En effet, la puissante fée Barbacela se penche sur le berceau du prince qui vient de naître afin de l’emplir certes de qualités, « Le fils de Céphaès avait été reçu, en venant au monde, par la grande fée Barbacela […] .Elle donna au jeune Prince le nom de Hiaouf-Zelès-Tanzaï (rival du Soleil), et doua en même temps de tous les avantages qui peuvent élever un mortel à la

personnages aussi : vingt ans, c’est l’âge de Simplice, seize ans, celui de Georgette, l’héroïne du «Carnet de danse », celui de Sidoine et Médéric aussi. Plus généra- lement, « seize ans », la perfection même, l’absolu de la jeunesse, ce point éphémère et magique où l’enfance, sans cesser tout à fait d’être encore, se sépare d’elle- même pour entrer dans la vie adulte, c’est le moment symbolique du recueil tout entier. Ce que les contes se proposent d’abord d’exalter, non sans mièvrerie par- fois (mais la

ta jambe un poignard d'orReluise encor; Que des noeuds mal attachésDévoilent pour nos péchésTes deux beaux seins, radieuxComme des yeux; Que pour te déshabillerTes bras se fassent prierEt chassent à coups mutinsLes doigts lutins, Perles de la plus belle eau,Sonnets de maître BelleauPar tes galants mis aux fers | Sans cesse offerts, Valetaille de rimeursTe dédiant leurs primeursEt contemplant ton soulierSous l'escalier, Maint page épris du hasard,Maint seigneur et maint RonsardÉpieraient pour le

DM littérature médiévaleLITTÉRATURE MÉDIÉVALE Dissertation sur la figure d’Yseut dans la version de Béroul Sujet : En rappelant les pouvoirs de guérisseuse d’Yseut dans la légende tristanienne, Dominique Demartini précise : “elle [[Yseut], qui sait guérir les blessures empoisonnées, est aussi celle qui va causer la blessure d’amour. De même que les autres figures d’Yseut n’en font qu’une, pour causer et soigner les blessures empoisonnées, la blessure du serpent et celle de l’amour distillent un

ville mauresque, éclatante, inouïe, Qui, comme la fusée en gerbe épanouie, Déchire ce brouillard avec ses flèches d'or ! Qu'elle vienne inspirer, ranimer, ô génies, Mes chansons, comme un ciel d'automne rembrunies, Et jeter dans mes yeux son magique reflet, Et longtemps, s'éteignant en rumeurs étouffées, Avec les mille tours de ses palais de fées, Brumeuse, denteler l'horizon violet ! Charles BAUDELAIRE (1821-1867) : Poète, critique d’art et essayiste français, nourri de romantisme, chantre

quelque chose autrefois et de ne plus l’être autant ou d'en être une version améliorée ou défrichis. Un deux point zéro. Déchiré et envoyé en confettis dans les airs. Envoyé voler au loin dans les moteurs à réaction qui traînent sur l’acné du monde, qu'on appel volcans. J’ai la mort au ventre sans les rats et je n’ai plus peur de rien puisque ça s’approche et que ça m’espère presque. On croirait rêver vous savez. 4 Les mains tapotant sur les cuisses, j’attendais mon arrêt d'autobus avec une

|Dans cet arbre il y a un trou. | |Titre : Dans Paris il y a… |Dans ce trou il y a une noisette. | |Editeur : Rue du monde |Dans cette noisette il y a une graine. | |Collection : Petits Géants |Dans cette graine il y a une puce.

III on a une alternance entre des heptasyllabes et des tétrasyllabes. Ce sont des vers courts et originaux qui dotent l’eloge poetique de la femme d’une fluidité et d’une delicatesse. Le lecteur suit le poète d’un regard poétique et musical sur le monde qui lui parle. Dans le poème «Fête chez Thérèse» la musique vient de la nature même et Hugo s’en fait l’écho : « si bien qu'à ce concert gracieux et classique. La nature mêlait un peu de sa musique ». Cette musique est intrinsèquement liée au travail

particuliers, il a frère et sœurs. L'autorité de sa mère et sa piété envahissante lui sont insupportables, mais il restera toute sa vie imprégné de références religieuses, malgré ses efforts pour s'en libérer. Au lycée, il se montre brillant, amasse une belle culture classique et fait l'admiration de ses maîtres par son incroyable facilité d'écriture. Malgré cela, peut-être bouleversé par les cruautés de la guerre de 70, qui se joue tout près (nous en avons l'écho dans le Dormeur du Val), il ne passera

des matières Avant-propos 4 I. La vie unanime - l’enfant et sa mère 8 II. Mundus muliebris - le monde féminin de Baudelaire 13 II.I. Mère 14 II.II. La Vénus noire Jeanne Duval 19 II.III. Marie - La femme aux yeux verts 27 II.IV Madame Sabatier - La Vénus blanche 34 III. « L’Héautontimorouménos » - Misogynie, Ironie, Mélancolie et Sadisme 44 IV. Image de la femme dans le monde baudelairien 56 IV.I. La femme olfactive 56 IV.II. Ange, Muse et Madone 62 IV.III. La Femme vampire