Le Monstre Vert

maltraite ses domestiques. En voulant prendre leur défense, (Edipe le tue. C'êtait sonpère Laïus. Il vient de commettre le parricide sans le savoir. Pendant une de ses haltes, on lui raconte le fléau du Sphinx qui décime la jeunesse de Thèbes. Ce monstre, composé d'un corps de lion flanqué d'ailes d'aigle et surmonté d'un buste de femme, pose une devinette et dévore ceux qui ne la devinent pas. La reine Jocaste, veuve de Laiïs, offre sa main et sa couronne au vainqueur du Sphinx. Gdipe réussit

destructeur Ce type d’extraterrestre est celui qui est traditionnellement associé à la figure de l’Alien. C’est un monstre à part entière, c à d qu’il invoque la peur par sa différence, dans son aspect, son comportement ou sa morale divergeante. Une différence fondamentale est tout de même à préciser : si l’extraterrestre est l’étranger suprême (il n’est pas humain par sa nature même), le monstre lui peut l’être régulièrement (exemple Freaks, Elephant Man = déformation physique, Frankenstein, Zombies et

ont moites. Deviendront-elles rugueuses ? (Il enlève son veston, défait sa chemise, contemple sa poitrine dans la glace.) J’ai la peau flasque. Ah, ce corps trop blanc, et poilu ! Comme je voudrais avoir une peau dure et cette magnifique couleur d’un vert sombre, une nudité décente, sans poils, comme la leur ! (Il écoute les barrissements.) Leurs chants ont du charme, une peur âpre, mais un charme certain ! Sine pouvais faire comme eux. (Il essaye de les imiter.) Ahh, ahh, brr ! Non, ça n’est pas ça

yeux vert chat sera la femme idéale aux yeux de Jimmy et il ferait tout pour la retrouver. L’histoire se déroule principalement dans le restaurant La Belgique qui appartient aux parents de Jimmy, c’est la qu’il va essayer de trouver la bâilleuse idéale parmi 50 jeunes filles. Le lieu le plus important de l’histoire s’est lorsque Jimmy était assis dans l’autobus et soudainement, une très belle fille s’est assise en face de lui et subitement elle se met à bâiller et devient une autre, un monstre. On

regardait venir. Il arrêta sa motocyclette sur la place déserte ; ses mains étaient gantées ; il portait un uniforme vert, un casque sous la visière duquel on aperçut, lorsqu’il leva la tête, un visage rose, maigre, presque enfantin. « Il est tout jeune ! » murmurèrent les femmes. Sans bien s’en rendre compte, elles étaient prêtes à quelques visions de l’Apocalypse1, à quelque monstre étrange et effrayant. Il regardait autour de lui et cherchait quelqu’un. Alors le buraliste2, qui avait fait la guerre

EXPOSE : Terriblement vert ! (Hubert Ben Kemoun)J’ai choisi de présenter cette œuvre pour plusieurs raisons : - Interpellée par les illustrations de François Roca-J’ai aimé le style de BK : mélange humour et frisson. (Il a écrit plus d’une centaine de livres, scénarios, spectacles, grille de mot croisés…etc.) -J’ai apprécié le Parcours d’apprentissage raconté ici, la métamorphose initiatique.Le processus d’identification est d’autant plus aisé que les personnages sont deux copains, jeux vidéos, valeurs

le costume patriotique reproduit le drapeau américain. Il est très fort comme son pays et il va terrasser les ennemis communistes (en vert-grisé = couleur froide et triste). Le super-héros patriotique est flamboyant, ses ennemis hideux avec un air méchant et l’emblème de la faucille et du marteau (=URSS) Au second plan on aperçoit le monstre vert, laid qui matérialise la puissance soviétique à abattre. Il tient dans sa main droite « Bucky » le « copain d’armée » de Captain America

arrondi. » La chute de la nouvelle, est pour moi, triste car après tant d'année, Stefano s'inquiète et pense à se monstre 'Le K' (même pendant toute ça vie !), alors que le monstre n'était pas venu le dévorer, mais tout simplement de lui donner une perle rare. Il aurait pu profiter de sa vie mais non, il a été trop curieux et il a passé toute ça vit à essayer de fuir se monstre... Stefano est mort sur une barque entrain de tenir cette perle qui, plus tard devient un simple galet. Pauvre petit

étonnement puis répondit : -Que voulez vous qu’il m’arrive, ce n’est qu’un costume… Il était vraie que ce n’était qu’un costume, pas de quoi paniquer pour un malheureux costume, mais il fallait quand même avouer que ce costume d’un velours magnifiquement vert avait quelque chose de pas ordinaire, je ne savais pas comment le définir à l’époque, je savais seulement qu’il était beau et voilà, c’est tout. Après quelques heures de bavardage avec mon nouvelle ami, je l’invitai à prendre un verre chez moi, d’habitude

delà les montagnes embrumées de mon esprit et seul une certitude subsistait. Il me fallait délivrer un message. Et pour cela il me fallait survivre… Pas une feuille ne bruissait, pas une brindille ne craquait ; mais je sentais le souffle putride du monstre le long de ma nuque. Un frisson glacial parcourut mon échine et je haletai. Soudain, j’aperçus à une cinquantaine de mètres, une étendue d’eau miroitante. Rassemblant mes dernières forces j’accélérai encore mon allure, et, en un sursaut d’énergie