Le Moral Du Horla

l’histoire. Elle emporte ses acteurs et  les  oblige à accomplir  leur destin. Les morts respectives de Frollo, de Quasimodo et d’Esméralda  sont comme des miroirs de leurs destins : •  Frollo chute du sommet de la cathédrale, signe de sa déchéance morale ; •  Quasimodo, qui est apparu comme grimace, finit en poussière ; •  Esméralda, la danseuse, meurt sur le gibet et son corps est ballotté par le vent. LE STYLE HUGOLIEN Le style de Victor Hugo, dans la continuité de celui de Châteaubriand (écrivain et homme politique 

l’illusion de représenter fidèlement la réalité. Si on était vraiment fidèle au réel, ça serait ennuyeux et même peut-être peu crédible. L’important est que cela soit vraisemblable, pas forcément vrai. Romans et nouvelles : Une Vie, Pierre et Jean, « Le Horla », « Boule-de-suif », …. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- BIOGRAPHIE – MAUPASSANT Disciple de Flaubert Né au château de Miromesnil près de Dieppe, Guy de Maupassant

lePetitLittéraire.fr Fiche de lecture Document rédigé par Elena Pinaud L’Île du crâne Anthony HorowitzlePetitLittéraire.fr L’Île du crâne Anthony Horowitz (Université de Reims Champagne-Ardenne) maitre en lettres modernes Document rédigé par Elena PinaudRÉSUMÉ 6 ÉTUDE DES PERSONNAGES 11 David Eliot Edward et Eileen Eliot Jill Jeffrey Gregor Mr Kilgraw CLÉS DE LECTURE 14 Un roman initiatique et un rêve d’enfant Un conte merveilleux et fantastique Les symboles L’humour et l’absurde PISTES DE RÉFLEXION

l'antiquité grecque. Les principes et caractéristiques essentiels du classicisme: • Imitation des Anciens, de la nature. • Goût de l'analyse, importance de la raison. • "Joindre l'utile à l'agréable": Chercher à plaire mais aussi à donner une morale. • Recherche d'une vérité universelle, un Beau idéal. Les thèmes essentiels du classicisme: • Règle des trois unités (lieu - temps - action) pour le théâtre. • La vraisemblance, selon Aristote: "L'historien dit ce qui est arrivé, le poète ce qui

reparaitre dans la maison de Chimène après avoir assassiné son père. CHIMÈNE Elle est la fille de don Gomès. C’est une héroïne complexe qui partage avec Rodrigue le souci de l’honneur et du devoir. Elle est sans cesse prisonnière d’un intolérable conflit moral : elle est amoureuse de l’assassin de son père. Dans la scène d’exposition, elle exprime ses doutes et ne parvient pas à s’abandonner au bonheur du mariage annoncé. Son pressentiment de la tragédie se confirme. Elle fait preuve, après la mort de

 Rousseau se détermine ainsi à ne plus se laisser ébranler dans ses  résolutions et se refuse à toute nouvelle idée. Il en conclut donc qu’il ne suit pas le précepte de  Solon, préférant préserver sa tranquillité d’esprit. QUATRIÈME PROMENADE S’appuyant sur les œuvres morales de Plutarque (écrivain grec, vers 50-125) et sur quelque méchan- ceté déguisée d’un de ses ennemis, Rousseau décide de consacrer sa quatrième promenade à « [s’] examiner sur le mensonge » (p. 76). Si  le souvenir cuisant d’un cruel mensonge de jeunesse l’a 

Grande-Bretagne, l’Italie, l’Afrique du Nord, il fut progressivement assombri par des troubles nerveux et la hantise de la mort. L’évolution de la maladie est perceptible dans ses six romans, de Une Vie (1883) à Fort comme la mort (1889). Aux hallucinations (Le Horla, 1887) succéda le délire, et il mourut après 18 mois d’internement. Sa personnalité tant puissante qu’inquiète et sombre transparaît dans ses œuvres. Qu’il parle le savoureux patois normand de ses paysans ou décrive la montée de l’angoisse, Maupassant

d’ivoire » est le symbole de l’Art où tègnent vérité et beauté. 5) le culte du beau : «  Le but de l’Art , c’est le beau avant tout ». Créer de la beauté, telle est , pour FLAUBERT, l’unique mission de l’artiste, en dehors de toute considération morale ou sociale. Il ne suffit pas de faire vrai : « Il faut partir du réalisme pour aller jusqu’à la beauté », qui seule donne à l’œuvre une valeur étérnelle. Cette beauté résulte d’un accord total entre la forme et la pensée. Autrement dit, l’écrivain

littéraire de André Gide, même si la critique lui était déjà favorable auparavant. Fondée sur un malentendu (une conversion à la vertu, et donc une attitude morale nouvelle de la part de Gide), la critique élogieuse ne perçois pas la dimension critique de l’œuvre, ni la satire du sacrifice de soi. L’ironie de Gide, sur les excès d’une morale puritaine côtoie en même temps un sujet pour une grande part autobiographique (climat de son adolescence, relation avec son épouse Madeleine) brouillant ainsi

Grande-Bretagne, l’Italie, l’Afrique du Nord, il fut progressivement assombri par des troubles nerveux et la hantise de la mort. L’évolution de la maladie est perceptible dans ses six romans, de Une Vie (1883) à Fort comme la mort (1889). Aux hallucinations (Le Horla, 1887) succéda le délire, et il mourut après 18 mois d’internement. Sa personnalité tant puissante qu’inquiète et sombre transparaît dans ses œuvres. Qu’il parle le savoureux patois normand de ses paysans ou décrive la montée de l’angoisse, Maupassant