Le Moribond

les derniers râles de l'agonie – Valeur symbolique de l'adjectif « sombre » v5 (connotant le crépuscule, la fin), associé à la personnification de l'Espagne (« l'Espagne agonisante pleure » v5, « votre pays qui tombe » v8, ...) en une allégorie moribonde, cadavre dont se repaissent les ministres vautours... – Agonie de la nation soulignée par l'opposition du vers 11 (« L'Espagne et sa vertu, l'Espagne et sa grandeur ») au rythme ample et régulier (2/4//2/4) et du brutal rejet au vers 12 (« Tout s'en

            Rastignac joue le rôle d’un témoin de la peine d’un mourant, d’un ami fidèle qui est désireux de l’aider, d’une figure d’une infirmière qui essaie de le calmer et nourrir, et d’un avocat qui doit réaliser les souhaits dernières d’une cliente moribonde. Un fils ferait toutes ces choses pour un père parce que, dans le monde traditionnel d’écriture de Balzac, un fils a l’obligation d’être présent d’entendre les mots derniers de son père. C’est poignant que Goriot a dit que ses filles commettaient

Saint Bernard secourant un pauvre. Suite à la commande de ses protecteurs et mécènes, les ducs d’Osuna, il peint des tableaux pour la chapelle de la cathédrale de Valence ou nous pouvons encore contempler par exemple, Saint François de Borgia et le moribond impénitent. La décennie des années 1790 (1793-1799) Le caprice et l’invention Goya, malade depuis 1792 qui le rend sourd, s’éloigne des obligations de la Cour pour s’autoriser davantage de liberté dans ses œuvres. De plus, il abandonne la peinture

qu’éprouve l’esprit, "les douleurs des malades" que "la sombre Nuit… prend à la gorge" (95, v. 8 et 31 - 32) deviennent  allégorie("Sois sage, ô ma Douleur… 143, v. 1 et 8); et la Mort (narratif dans 95, v. 31 à fin - symboles dans 143 : "le Soleil moribond" v. 12 et la Nuit qui vient "comme un long linceul" v. 13). Même recherche d’un Au-delà où se trouve la consolation définitive dans l’anéantissement qui suit l’isolement volontaire (95, v. 30) et les souvenirs mélancoliques (143, v. 9 - 11 - noter

dans la même veine que l'histoire de Tristan et Yseult ou Roméo et Juliette). Prénom revenu en vogue en France grâce à la chanson de Francis Cabrel, « Leïla et les chasseurs »). *isotopie lexicale de la mort, une ville qui vomit des vapeurs moribondes, une ville que rien ne touche ; Lalla semble redouter ce « dôme rose » dont l'apparence l'effraye (comparaison avec un sinistre catafalque, « comme si c'était un tombeau »). Un univers assiégé par la mort, marqué par l'absence de vie... *La

Fanon, regrettant même qu'ils aient été tellement vidés de leur substance. Ensuite parce que, en tant que critique politique interne, il représente l'émergence d'une nouvelle classe politique qui veut achever un système post­indépendances pervers et moribond. Il y a là quelque chose de sain que n'a pas le discours ultra‑libéral occidental, même si, une fois de plus, les discours propres à l'Occident peuvent servir dans les enjeux locaux africains. Haut de page Pour citer cet article Référence

composé d’éléments familiers à la saison  « Automne malade » : Dès le titre, se manifeste le souci d’écrire le doute et le malaise. La personnification de l’automne évoque la fragilité de la vie. L’épithète « malade » pose le thème de la saison moribonde dont tout le poème semble dire l’agonie.  V.1 : Automne malade et adoré  Le poème commence par une apostrophe. Au vers 2, le poète tutoie l’automne : l’automne est donc un personnage complice, familier du poète. L’épithète « malade », déjà énoncé

Quand ton disque noirci S'allonge En croissant rétréci ? Qui t'avait éborgnée, L'autre nuit ? T'étais-tu Cognée A quelque arbre pointu ? Car tu vins, pâle et morne Coller sur mes carreaux Ta corne À travers les barreaux. Va, lune moribonde, Le beau corps de Phébé La blonde Dans la mer est tombé. Tu n'en es que la face Et déjà, tout ridé, S'efface Ton front dépossédé. Rends-nous la chasseresse, Blanche, au sein virginal, Qui presse Quelque cerf matinal ! Oh ! sous

qu’éprouve l’esprit, "les douleurs des malades" que "la sombre Nuit… prend à la gorge" (95, v. 8 et 31 - 32) deviennent allégorie ("Sois sage, ô ma Douleur… 143, v. 1 et 8); et la Mort (narratif dans 95, v. 31 à fin - symboles dans 143 : "le Soleil moribond" v. 12 et la Nuit qui vient "comme un long linceul" v. 13). Même recherche d’un Au-delà où se trouve la consolation définitive dans l’anéantissement qui suit l’isolement volontaire (95, v. 30) et les souvenirs mélancoliques (143, v. 9 - 11 -

Dorval sur le Fils nature, Le Rêve de d’Alembert… Voltaire aussi qui l’emmène parfois aux confins du burlesque animalier comme avec le Dialogue du chapon et de la poularde, Sade lui donne des allures théâtrales avec le Dialogue entre un prêtre et un moribond. Cet engouement s’explique par la pratique de l’art de la conversation dans les salons littéraires où chacun cherche à briller par l’exposé et la défense d’idées nouvelles ; c’est aussi la continuité de l’art didactique classique qui veut instruire