Le Multipartisme En Afrique

faveur du multipartisme. En outre, cette universalisation du suffrage a fortement influencé l’instauration d’un régime représentatif au Cameroun. Pour ce qui est de l’institutionnalisation des partis politiques, notons qu’avant 1990, le Cameroun connaît un multipartisme consacré par sa Constitution, mais dans les faits le pays est dominé par un parti unique et dirigé par un régime présidentiel fortement marqué par la prééminence du chef de l’exécutif. En janvier 1991, le multipartisme est institué

démocratisation était en marche presque partout en Afrique. Même Mobutu qui avait toujours dit : "parti moko" (un seul parti), "ekolo moko" (un seul pays), "mokonzi moko" (un seul chef) a tourné la page. Fin avril 1990, Mobutu a dit à la télévision " travaillons désormais main dans la main" et le multipartisme était lancé du jour au lendemain.  Au  Burundi, on faisait l'autruche.  Mobutu, le dictateur que tout le monde a connu, a adhéré au multipartisme dès avril 1990.  Habyarimana y est entré Novembre

doctrines et organisations. Partis faibles, « leader » plus important que les programmes et structures. Tradition du pouvoir personnel. → Transposition du régime présidentiel débouchant sur la déviation présidentialiste. II/ Le présidentialisme en Afrique. Mêmes causes→ mêmes effets : indépendance, création de nombreux États, constitutions s’inspirant de l’ex métropole (française, anglaise ou belge) ou puissance occupante. Nécessités éco et sociale provoque l’échec des institutions et remplacement

révoltés en disant que seul les musulmans ne doivent pas être à la tête du pouvoir. La dictature est une cause de la violence politique parce que nous constatons que c’est la dictature qui la cause des violences politiques dans les pays arabes en Afrique. En fin Le coup d’Etat militaire est une cause de la violence aussi. C’est comme le mali qui vient de subir le coup d’Etat le 22 mars 2012. Bien vrai que les causes de la violence politique sont nombreuses mais elle a aussi des conséquences aussi

domaine Barbaron en sont aussi une référence. Les îles passèrent juridiquement sous le contrôle de la Couronne britannique en 1814, après les guerres napoléoniennes. À partir de 1916, l'armée des Seychelles s'engage aux côtés des Britanniques en Afrique : envoi d'un corps expéditionnaire de 796 hommes, dont 358 ne reverront jamais leur pays (cimetière militaire du Mont-Fleuri à Victoria). Ce corps expéditionnaire représente le plus gros effort de toutes les colonies britanniques, en proportion des

s'étendit en 1891 en commençant à exploiter une zone appelée la Zambézie pour ses gisements de cuivre. Ils la renommèrent, en 1895, Rhodésie du Nord et Rhodésie du Sud. Les anglais coloniseront ces terres, comme beaucoup d'autres pays l'ont fait en Afrique. Durant cette période qui dura presque 70 ans, les colons pratiqueront la ségrégation raciale privant les noirs de tous droits ou presque. Ceux-ci seront maltraités, exploités ou rejetés des endroits publiques. Ce sera le cas du jeune Kenneth Kaunda

« La démocratie en Afrique  : De la thèse de René Dumont à celle de la Commission économique pour l'Afrique » Marcelle Genné Études internationales, vol. 22, n° 2, 1991, p. 413-423. Pour citer la version numérique de ce document, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/702848ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services

constitutions que les modifications de constitutions en vigueur. Depuis le début des années 1990, on est passé d’un droit constitutionnel instable à un droit constitutionnel que l’on peut dire chaotique. Ainsi, on peut constater, comme partout en Afrique, que le changement constitutionnel est une opération qui consiste, comme dans tout processus normal, à défaire la constitution afin de la refaire, avec en prime, la méconnaissance de la suprématie de la constitution. Mais dans certaines circonstances

2010. Qu’en est-il des prochaines élections ? Voyez vous-mêmes ce qu’il en pense : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/01/28/004-burkina-mali-canada.shtml Une notion gouvernementale très importante pour les burkinabés est le multipartisme. C’est un principe fondamental de leur constitution et il est ancré dans leurs valeurs politiques. C’est pourquoi il fait l’objet d’une interdiction d’amendement constitutionnel. C’est selon ce principe que deux partis ou plus peuvent de présenter

démocratie est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. » L’actualité de cette assertion de l’ancien président américain Abraham Lincoln(1809-1865) n’est plus à démontrer, tant elle transparaît dans la plupart des discours politiques en Afrique et dans les récents événements en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Égypte, en Libye… 2Nombreux sont ces pays africains qui ont été épinglés et mis au ban de la communauté internationale pour déficit démocratique né d’interminables crises politiques