Le Mythe De La Caverne

| |« La Vie Antérieure » est le douzième poème de la section Spleen et Idéal. Ce sonnet exprime sans doute le mieux la contradiction qui déchire le poète | |puisque l’évocation d’un Âge d’Or (mythe qui suit immédiatement la création de l’homme) est entachée d’une profonde mélancolie. Ainsi la description de | |ce lieu paradisiaque met en évidence l’ambiguïté du statut du poète.

réalité des choses, l’intelligible est un lieu lointain et inaccessible. La philosophie est d’ailleurs pour Platon la seule discipline capable d’initier aux secrets. On peut alors évoquer le mythe de la caverne : le philosophe est celui qui vient réveiller celui qui est encore dans l’obscurité ; le mythe de la caverne, c’est l’allégorie de la révélation progressive des secrets concernant le monde intelligible. La dimension éthique du secret : Dans la mythologie grecque, un des secrets

hommes vivaient à l’âge d’or, puis du jour au lendemain, ceux-ci ont sombrés dans un cataclysme, représenter par l’Atlantide. Pour revenir à cet âge d’or, celui-ci doit reconquérir ses connaissances via le mythe de la caverne. (cf explication du mythe). On peut tirer trois enseignements de ce mythe : - plus on restera inactif/paresseux, plus ce sera dur - personne ne peut faire le travail a votre place, le travail est personnel - On peut comparer a une étincelle produite par un silex, celle-ci

passe une route bordée d'un petit mur. Derrière ce mur défilent des gens portant sur leurs épaules des objets hétéroclites, statuettes d'hommes, d'animaux, etc. De ces objets, les captifs ne voient que l'ombre projetée par le feu sur le fond de la caverne ; de même, n'entendent-ils que l'écho des paroles qu'échangent les porteurs. Habitués depuis leur naissance à contempler ces vaines images, à écouter ces sons confus dont ils ignorent l'origine, ils vivent dans un monde de fantômes qu'ils prennent

feintes, il faut s’instruire et plaire. » La Fontaine, Le pâtre et le Lion. III) les differents types d’apologues : a) le mythe Issu de la tradition orale, le mythe n’est pas argumentatif à l’origine. Bien qu’il soit porteur d’une signification symbolique très forte. Toutefois certains philosophes donnent une portée argumentative au mythe (Platon, le Mythe de la caverne) b) La fable Dès l’antiquité, ces courts récits mettent en scène des animaux pour représenter les humains. Les recueils

différences notables opposent ces notions: être vrai et sembler ou paraître vrai ne sont pas synonymes. - Vérité se dit en grec aletheia : dévoilement. Le voile recouvre le réel ; pour connaître le réel (la vérité), il faut ôter le voile. Dans le mythe de la cavernes, Platon oppose deux mondes — le monde intelligible, qui est le seul réel, et le monde sensible, qui est celui des apparences. Les prisonniers enchaînés croient avoir affaire à des réalités — les apparences les trompent, ils ne voient que des

Morale : « ne pas se rebeller contre les lois de l'univers mais accomplir la tâche qui nous a été attribuée » http://www.gralon.net/articles/art-et-culture/litterature/article-le-mythe-de-dedale-et-icare---presentation-et-symboles-2181.htm * le soleil est l'image de la vérité (comme dans le mythe de la caverne) . Avant de s'envoler Dédale créateur du labyrinthe (donc des chemins tortueux vers la connaissance et la vérité) recommande à son fils de faire attention à ne pas voler trop près du

L’âme ? La symbiose des deux ? C’est cette dualité, qui prolonge celle plus vaste du sensible et de l’intelligible, qui va ici nous intéresser. Du moins, la manière dont elle est perçue par le regard. La période temporelle que délimitent le mythe de Narcisse, écrit par Ovide au début de l’ère chrétienne, et Le Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde, paru en 1890, est extrêmement vaste. Mais bien que produites dans des contextes géopolitiques, artistiques et philosophiques distincts, ces deux

lorsque Polyphème crie au secours de ses compagnons cyclopes, il est pris pour un fou puisqu’il dit : « Personne m’a tué. ». En se cachant dans la laine des moutons géants du cyclope Ulysse et ses guerriers réussissent finalement à s’échapper de la caverne et rejoignent leurs vaisseaux. Lorsqu’Ulysse est sur le point de partir en mer, il ne résiste pas au plaisir de crier haut et fort son nom au cyclope. L'orgueil d’Ulysse lui vaudra la malédiction de Poséïdon, dieu des mers et des océans et père de

apparences, puis voir les limites de celle-ci, et enfin les domaines d’application de la vérité des apparences. Platon définit la vérité comme la réalité la plus belle et la plus forte. Telle est sa conception, exprimée dans le mythe célèbre de la caverne : la vérité, c’est la réalité même, telle qu’elle peut apparaître à l’âme. Ainsi l’erreur et l’illusion dans cette vision de la vérité sont dans le non-être, la non-réalité : les apparences sont donc contraires à la vérité selon Platon,