Sciences sociales

673 mots 3 pages
Sciences Sociales

Platon pensait que naguère les hommes vivaient à l’âge d’or, puis du jour au lendemain, ceux-ci ont sombrés dans un cataclysme, représenter par l’Atlantide. Pour revenir à cet âge d’or, celui-ci doit reconquérir ses connaissances via le mythe de la caverne. (cf explication du mythe). On peut tirer trois enseignements de ce mythe :
- plus on restera inactif/paresseux, plus ce sera dur
- personne ne peut faire le travail a votre place, le travail est personnel
-
On peut comparer a une étincelle produite par un silex, celle-ci n’est pas gravée dans le marbre, si on veut un moment de vérité, il faut choquer le silex, et ainsi de suite.

Hegel, explique que l’homme le fait grâce à un processus dialectique. Celui-ci correspond au fait qu’il y a toujours une thèse et une antithèse, avec une synthèse, et celle-ci crée une seconde thèse et antithèse. Il suppose qu’il existe un État nation, puis il existera un État universel. La seule façon de tendre à l’objectivité est de savoir que nous nous ne sommes pas objectifs, et que nous sommes forcément influencés par les autres.

A.Comte, l’esprit humain va parvenir a un niveau suffisant pour comprendre que l’univers est régi par des lois scientifiques que l’on connaît ou que l’on va connaître, la destinée de l’homme est de connaître ces lois et ainsi de devenir le maitre de l’univers. Il va avoir des calendriers positivistes avec les noms des éminents scientifiques, il connaît un succès qui fait qu’aujourd’hui nous baignons en plein positivisme. Dans certaines tribus amazoniennes, certains travaillent trois heures par jour, pour nourrir la tribu, faire des réserves, les ethnologues leurs ont donnés des machette pour couper le bois, ce qui multiplié leur productivité par 3. Pour contrer l’ethnocentrisme il faut mettre en place une révolution copernicienne, inventée par Copernic. C’est abandonné un centre de référence faux pour prendre un nouveau centre de référence universel.

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