Le Nez De Voltaire

OE 2 / argumentation / séquence 2 / autres formes d’argumentation indirecte/ apologue et philosophie des Lumières Candide, chapitre 1, incipit A Voltaire / F……..M…..AROUET Ecralinf O Tremblement de terre de Lisbonne Wolf  disciple de Leibniz « le mal n’existe pas » T Incipit du conte Fonctions de l’incipit  QTB !! - Fonction informative - Fonction générique ( genre) - Fonction dramatique/narrative - Fonction proleptique

Zadig Voltaire Zadig Table of Contents Zadig .....................................................................................................................................................................1 Voltaire....................................................................................................................................................1 Préface de l'Éditeur..................................................................................................

faisait travailler la plante qui le produit par des | | |esclaves. | | |Ceux dont il s’agit sont noirs depuis les pieds jusqu’à la tête ; et ils ont le nez si | | |écrasé qu’il est presque impossible de les plaindre. | | |On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, | |10 |surtout bonne, dans un corps

ressentiment ! Rome, à qui ton bras d’immoler mon amant ! Rome, qui t’a vu naître et que ton cœur adore ! Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore » (Voltaire, Candide) Antanaclase : Une antanaclase est la reprise d’un même mot avec un sens différent. Exemple : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » (Blaise Pascal, Pensées, XXVIII) Antiphrase : Elle suggère par

Candide (Chapitre dernier extrait), de Voltaire En retournant dans sa métairie à la fin du récit, Candide retrouve à Constantinople tous les acteurs du conte auquel s'est adjoint frère Giroflé. Au début du chapitre 30, la situation est encore loin d'être idéale dans la métairie, Cacambo s'épuise au travail et le reste du groupe se repend en récriminations en veines disputes ou s'ennuie mortellement. Deux visites vont permettre à Candide de sortir de l'impasse : celle du Dervich qui leur montre

Fontaine ) ( excès, amplification ) Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. (Voltaire) C’est une énumération de termes organisée de Ex : Va, cours, vole et nous venge ! (Corneille) façon croissante ou décroissante. Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. (Molière) C’est un roc !… c’est un pic !… c’est un cap ! Que dis-je, c’est

cochon, couvée. ( La Fontaine ) Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. (Voltaire) Gradation  C’est une énumération de termes organisée de façon croissante ou décroissante. Ex : Va, cours, vole et nous venge ! (Corneille) Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. (Molière) C’est un roc !... c’est un pic !... c’est un

Candide ou l’optimisme (Voltaire) Candide, un garçon naïf, est élevé au château du baron Thunder-ten-tronckh en Westphalie. Là, Pangloss lui apprend la philosophie de Leibnitz et Candide est fasciné du ‘’meilleur des mondes possibles’’. Bien qu’il soit chassé du château parce qu’il est tombé amoureux de Cunégonde, la fille du baron, il est toujours convaincu de cette philosophie. En traversant le monde à la recherche de Cunégonde, il voit la cruauté : La guerre de l’armée bulgare, le tremblement

cochon, couvée. ( La Fontaine ) Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. (Voltaire) Gradation C’est une énumération de termes organisée de façon croissante ou décroissante. Ex : Va, cours, vole et nous venge ! (Corneille) Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. (Molière) C’est un roc !… c’est un pic !… c’est un cap !

laisse-moi rire », « vous voulez rire ? », « rire au nez de quelqu’un ». • Le rire est proche des larmes : « Jean qui rit, Jean qui pleure », « mieux vaut en rire qu’en pleurer », « pleurer de rire ». • Diverses formes du rire : farce, ironie, satire, divertissement, comédie, burlesque, caricature… II.Le rire et le corps : • Le rire est humain : « rire est le propre de l’homme » Aristote, « l’homme est le seul animal qui pleure et qui rit » Voltaire, le rire est inné=les bébés rient (rire de gorge)