Le Nouveau Désordre Mondial Depuis La Fin De La Guerre Froide

siècle-1914 Croissance économique et mondialisation depuis 1850 jeudi 15 septembre 2011 par D.Dallery Cet article propose un cours de première sur la première partie du programme accompagné d’un powerpoint. Ce cours est construit avec le manuel Belin de 1er. Les images dans le powerpoint sont issus de ce manuel mais ne sont pas de bonne qualité...  HISTOIRE PREMIERE   PREMIERE PARTIE : Croissance économique, mondialisation et mutations des sociétés depuis le milieu du XIXème s.   -------------------------------------------------

Mondialisation, Philippe Moreau Déforges, édition PUF. Made in Monde, Les nouvelles frontières de l'économie mondiale, Suzanne Berger, édition Seuil. Thème 1: la diversité de la régionalisation. Thème 2: l'OMC et les échanges. Thème 3: L'union Européenne et les pays Tiers méditerranéens. Thème 4: L'union Européenne et les pays ACP Thème 5: Gouvernance et mondialisation. Introduction: Depuis très longtemps les pays anglo-saxon considère que le grand brassage des biens, des personnes, des capitaux

d’entreprises qui deviennent des multinationales de calibre mondial et d’une meilleure position en sciences et technologie, l’Asie semble en mesure de déloger les pays occidentaux comme centre du dynamisme économique international – pourvu que se poursuive sa rapide croissance économique. » . En effet, l’émergence vraisemblable de la Chine et de l’Inde, ainsi que d’autres pays, en tant que nouveaux acteurs de poids sur la scène mondiale – comme ce fut le cas d’une Allemagne unie au XIXe siècle et

vrai qu’elles reposaient sur un fondement impérial et guerrier : ce fut le cas de l’Empire romain, de l’Empire carolingien, de l’Empire napoléonien, des conquêtes hitlériennes. L’unification de l’Europe ne commença vraiment qu’après la seconde guerre mondiale, lentement, progressivement, et aujourd’hui encore elle reste partielle ; c’est pourtant un phénomène sans précédent ! Non seulement c’est la première fois qu’un tel processus s’effectue par la négociation et dans la paix, sans la moindre violence

avec le passé et considère la guerre comme événement déclencheur. Le XXème siècle est la modernité incarnée et marque une différence avec le passé. Il ne doit pas s’inspirer de Cicéron mais il doit faire ici et maintenant. Son manifeste exalte le progrès, la virilité des hommes et de la violence. On tirera de ce manifeste des motifs à la guerre, notamment Papini qui dira que « sans la guerre on n’avance pas ». Il est contre la démocratie bourgeoise en faisant la guerre avec des gens triés sur le volet

expression architecturale sous forme de centres cérémoniels. Elle est à l’origine de l’invention de l’écriture et des calculs chronologiques. Cette civilisation est relayée par d’autres civilisations : - la civilisation maya (« les Grecs du nouveau monde ») est la plus célèbre. Elle s’étend du Yucatan aux hautes terres du Guatemala. L’unité de ce monde repose sur un type ethnique, une langue vernaculaire, une religion. La mise au point d’une écriture hiéroglyphique, l’architecture (grands temples

prolongée » dans laquelle chaque membre est relié par un ancêtre commun. Les principales causes de conflits Territoire: Toutes les guerres ont pour raison un territoire. Ressources Gaz, pétrole, diamants, drogue, eau Population: Esclavage, colonisation, purification ethnique. Conclusion : Le monde est agit par chacun de ces groupes d’où un certain désordre. Les groupes les plus forts restent les groupes politiques (les Etats) et les organisations intergouvernementales/supranationales

Théories des relations internationales 2011 21.02.2011 Introduction Les RI ce n’est pas que la guerre ou la diplomatie, cela dépasse largement la pratique diplomatique et le recours à la force. Il peut exister des influences internationales sur un phénomène national (ex : révolte en Tunisie). Un événement interne peur redéfinir toutes les RI. De plus, un phénomène mondial peut avoir des influences différentes selon les pays (ex : flambée des prix alimentaires touchent plus les pays pauvres que

L’Afrique subsaharienne offre à l’observateur le visage banal de la contradiction. D’un côté prévoit la vision d’un continent fascinant par ses hommes, ses peuples et ses paysages. De l’autre se précipitent et s’entrechoquent les images d’un chaos sans fin. La politique emprunterait plutôt à ce second registre. Tenter d’échapper au risque de la caricature suppose une mise à distance de l’histoire immédiate. L’épaisseur politique de l’Afrique exige un retour sur les processus socio-historiques qui ont

frontières étatiques) ? Depuis une 15ne d’années a émergé l’application aux questions de politique économique la notion de gouvernance. Gouvernance : c’est l’art de gouverner sans gouvernement. Pour des phénomènes dont la manifestation est un cadre global alors que les instruments des politiques étatiques (politique monétaire, budgétaire etc.) n’ont de sens que dans le cadre national des Etats. ( Phénomène global / Instruments nationaux. Il n’y a pas de gouvernement mondial. La notion même de pouvoir