Le Nu Au Xixème Siècle

1’ES Le thème général de cette année étant « L’Homme et la Nature » nous avons choisi de prendre comme sujet « Le nu à travers l’histoire », notre problématique étant : Le nu est-il naturel ? Au départ nous nous sommes tous les quatre mis à chercher des idées, des exemples, nous n’avons pas de parti précise à essayé de trouver. Nous avons rassemblé tout ce qu’on avait trouvé pour en faire le

l'Antiquité en passant par la Renaissance la représentation du corps, comme rappelé précédemment, a toujours occupé une place importante dans l'enseignement et le goût artistique occidental. Le dessin d'après modèle vivant devient d'ailleurs au XIXème siècle la dernière étape du cursus de l'école des Beaux-Arts. En 1850, les modèles sont alors couramment payés un franc de l'heure, c'est-à-dire environ trois euros d'aujourd'hui. Vers 1875, la pose ordinaire de quatre heures coûtera environ cinq francs

Femme au Perroquet, Gustave Courbet (1866) et La Femme au Canapé, Kees Van Dongen (Avant 1920) L’Histoire de l’Art a sans cesse utilisé l’image de la Femme dans ses représentations artistiques. Néanmoins, l’on remarque que c’est au milieu du XIXème siècle, avec la poussée du réalisme que l’on observe une nouvelle représentation de la Femme. Tout en conservant les canons picturaux classiques hérités de la Renaissance, les artistes offrent une image réelle des Femmes de leur époque et de leurs activités

 L’Orientalisme Romantique Peinture Britannique du XIXème siècle Sommaire Introduction Page n°3 Situation historique Page n°4,5,6,7 Influence sur la littérature Page n°8,9 Influence sur la peinture Page n°10,11,12 Conclusion Page n°13 Ressources Page n°14 Introduction Si l’on définit l’Orientalisme comme l’influence de l’Orient sur nos sociétés Européennes, c’est un phénomène ancien, pas très bien limité dans le temps et également flou dans ses contours géographiques

l’impressionnisme. Rodin aime représenter le corps nu et ses mouvements avec réalisme et audace mais ses sculptures peuvent parfois choqué .A 43 ans, il tombe amoureux d’une jeune sculptrice Camille Claudel qui va beaucoup l’inspirer. Très célèbre à la fin de sa vie, il reçoit médailles et récompenses et meurt malade à 77 ans en 1917. Contexte historique (social, artistique…): Pour la première fois, un artiste décide de matérialiser la pensée en sculptant un homme nu, dans une pose qui suggère aussitôt la

CABANEL Introduction: Alexandre Cabanel né en 1823 et meurt en 1889, est un artiste-peintre français du XIXème siècle qui fut considéré comme l'un des plus grands peintres académiques. « De tous les peintres académistes, Cabanel fut à la fois la plus adulé et le plus critiqué » Jean Nougaret. Très tôt Cabanel a des dispositions pour les arts et fréquente l'école des Beaux-arts de Montpellier, puis il s'envolera pour Paris en 1839 où il sera intégré dans l'atelier de François-Edouard Picot

le XXème siècle marqua les plus beaux ouvrages de ces siècles. Le chemin parcouru de l'un à l'autre, certaines oeuvres alliant parfois les deux approches, amenèrent les auteurs de ces époques à créer une véritable écriture, particulière à chacun des deux partis. L'écriture de la raison très visible au XVIIIème siècle, parfois à visée argumentative, avec l'esprit des Lumières et leur volonté d'éclairer les lecteurs, alliée à la sensibilité de l'écriture du XIXème siècle, propose

acheté par Napoléon III. Par contre il ne présente pas de message de la part du créateur. Ce tableau est une allégorie de la beauté. Cette œuvre est une peinture académique : ce courant, né au XIXème siècle sous l’influence des Beaux-arts, domine la peinture occidentale du milieu du XIXème siècle. Il est cararctérisé par un des thèmes historique. Une peinture académique doit respecter un certain nombre de principes, diffusés dans l’enseignement de l’Ecole des Beaux-arts, qui sont : -

BRAQUE et Pablo PICASSO, qui travaillaient très souvent ensemble, y compris sur la même toile. Ils peignent à l’Atelier du Bateau-lavoir, à Montmartre, où ils seront rejoints par Juan GRIS. C’est un des plus grands mouvements artistiques du XXème siècle. Il vient d’une réflexion du peintre Henri MATISSE, qui pour décrire un tableau de Georges BRAQUE, parla de « d’amoncellement de petits cubes ». Cette expression fut reprise par un critique d’art, Louis Vauxcelles, qui créa ce néologisme : « cubisme

prostituée dans chambre, qui pose calmement en fixant le spectateur, il choque passablement le public de l'époque, qui le qualifie de "vulgaire". La garçonne est un roman écrit en 1922 par Victor Margueritte, auteur reconnu et admiré du début XXème siècle qui, du fait de ce livre, qui sera considéré comme un brûlot, perdra sa Légion d'honneur. Il raconte dans ce roman comment Monique Lerbier, jeune fille bourgeoise naive, se détache de son milieu qu'elle finit par abhorrer. Elle découvre en effet que