Le Parfum Baldini

Les récits d’apprentissage : Le Parfum, Patrick Süskind 1. Genre romanesque 1.1. Récit d’apprentissage paradoxal : 1.1.1. Héros doté d’un don olfactif surnaturel : supériorité sur ses mentors malgré son ignorance des techniques ; 1.1.2. Quête existentielle (identité) davantage que sociale ; 1.1.3. Parcours de la capitale vers la province. 1.2. Conte philosophique : 1.2.1. Récit imaginaire : présence du surnaturel : don olfactif, particularité physique, résistance surhumaine, … ; 1.2.2.

Le Parfum, de Süskind I. Chap. 1 à 8: 1) Quelles informations l’auteur fournit il sur le physique de Grenouille? Voir note. L’auteur nous manipule pour ne pas qu’on s’imagine Grenouille. Il est défini comme banal, ordinaire, commun, insignifiant. L’auteur gomme les infos qu’il avait donné auparavant. ® Fait de PERVERSITE, qui perturbe le portrait. Description par la négative. Conclusion: L’auteur empêche la visualisation de l’aspect physique de Grenouille. Pourquoi? - L’auteur nous

moqueur, des mains fines, la grâce d'un danseur, la nonchalance d'un chat, la vivacité d'une hirondelle. Le temps passait sur lui sans le toucher. Il avait la jeunesse éternelle des forêts. Patrick Süskind - Le Parfum. (Le Livre de Poche) Derrière le comptoir en buis clair se tenait alors Baldini lui-même, vieux et raide comme une statue, en perruque poudrée d'argent et habit bleu à passements d'or. Un nuage de frangipane, eau de toilette dont il s'aspergeait tous les matins, l'enveloppait de manière

Étude iconographique........................................................................................................................................................................................................10 Une publicité pour un parfum féminin de luxe........................................................................................................................................................10 Qui est cette femme ? .....................................................

lucide de leurs attraits flatteurs. Superficiel, désuet, et bientôt rare, car on n’en trouve des exemples que chez des personnes agées, recouverts d’une charge affective (kitsch individuel), ou dans des chambres d’hôte, avec le but kitschissime de parfumer d’authenticité la permanence des touristes du terroir (kitsch individuel et commercial). En ‘architecture’, dans vingt ans, le marché clé-enmain continuera-t-il à produire des modèles si passéistes? Cas limite, qui à première vue échappe aux logiques

se verticalise d’elle-même. Cette verticalité pose le mental et apaise l’état émotionnel. Dans le pranayama, la respiration n’est pas envisagée comme une mécanique. Il convient de ne rien forcer. Commencer par déguster l’air, le respirer comme un parfum. Avant de contrôler le souffle, quelques préalables sont indispensables : • L’estomac doit être vide, • Le corps est assis, dos parfaitement vertical, soit par terre, soit sur une chaise, • Les mains sont relâchées, • L’ensemble des muscles doivent

susciter l’image-odeur. Dans l’introduction du premier épisode du récit, le narrateur s’adresse à une odeur particulière, celle qui vient des parfums, dont le caractère spécifique naît des différentes composantes. Le narrateur explique que l’homme de l’avenir n’a aucune possibilité de saisir avec son nez la variété des nuances qui émanent de chaque parfum à travers un réseau d’accords, de consonances, de dissonances, de contrepoints, de modulations, de progressions. Comme dans certains récits de