Le Personnage De Claire Dans La Nouvelle Heloise

servit tout le monde, coupa même le pain. Denise avait pris Pépé auprès d’elle, pour le faire manger proprement. Mais la salle obscure l’inquiétait ; elle la regardait, elle se sentait le cœur serré, elle qui était habituée aux larges pièces, nues et claires, de sa province. Une seule fenêtre ouvrait sur une petite cour intérieure, communiquant avec la rue par l’allée noire de la maison ; et cette cour, trempée, empestée, était comme un fond de puits, où tombait un rond de clarté louche. Les jours d’hiver

servit tout le monde, coupa même le pain. Denise avait pris Pépé auprès d'elle, pour le faire manger proprement. Mais la salle obscure l'inquiétait ; elle la regardait, elle se sentait le cœur serré, elle qui était habituée aux larges pièces, nues et claires, de sa province. Une seule fenêtre ouvrait sur une petite cour intérieure, communiquant avec la rue par l'allée noire de la maison ; et cette cour, trempée, empestée, était comme un fond de puits, où tombait un rond de clarté louche. Les jours d'hiver

Emile Zola Au Bonheur des Dames - Collection Romans / Nouvelles - Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.inlibroveritas.net Table des matières Au Bonheur des Dames..............................................................................1 I............................................................................................................2 II .........................................................................................................28 III

servit tout le monde, coupa même le pain Denise avait pris Pépé auprès d'elle, pour le faire manger proprement. Mais la salle obscure l'inquiétait; elle la regardait, elle se sentait le coeur serré, elle qui était habituée aux larges pièces, nues et claires, de sa province. Une seule fenêtre ouvrait sur une petite cour intérieure, communiquant avec la rue par l'allée noire de la maison; et cette cour, trempée, empestée, était comme un fond de puits, où tombait un rond de clarté louche. Les jours d'hiver

le monde, coupa même le pain. Denise avait pris Pépé auprès d’elle, pour le faire manger proprement. Mais la salle obscure 26 l’inquiétait ; elle la regardait, elle se sentait le cœur serré, elle qui était habituée aux larges pièces, nues et claires, de sa province. Une seule fenêtre ouvrait sur une petite cour intérieure, communiquant avec la rue par l’allée noire de la maison ; et cette cour, trempée, empestée, était comme un fond de puits, où tombait un rond de clarté louche. Les jours d’hiver

servit tout le monde, coupa même le pain Denise avait pris Pépé auprès d'elle, pour le faire manger proprement. Mais la salle obscure l'inquiétait ; elle la regardait, elle se sentait le coeur serré, elle qui était habituée aux larges pièces, nues et claires, de sa province. Une seule fenêtre ouvrait sur une petite cour intérieure, communiquant avec la rue par l'allée noire de la maison ; et cette cour, trempée, empestée, était comme un fond de puits, où tombait un rond de clarté louche. Les jours d'hiver

pardon au roi. Ce dernier donne du temps Chimne pour son deuil mais lui impose dpouser Rodrigue, conformment sa promesse dpouser le vainqueur (scne 7). Lillusion comique ACTE I Le premier acte commence lentre dune grotte o se prsentent deux personnages Pridamant, un pre plor par la disparition de son fils (Clindor) et Dorante qui il explique les causes possibles de cette disparition. Dorante veut lui prsenter un magicien quil sait capable de laider (sc.1). Ce magicien, Alcandre, devine tout de

d’un camélia blanc, est nuancée de la pourpre des camélias rouges ; sur son teint virginal l’œil croit voir la fleur d’un jeune fruit et le duvet imperceptible d’une pêche diaprée ; l’azur des veines distille une riche chaleur à travers ce réseau clair ; elle demande et donne la vie ; elle est tout joie et tout amour, tout gentillesse et tout naïveté. Elle aime son époux, ou du moins elle croit l’aimer... L’amoureux mari a dit dans le fond de son cœur : « Ces yeux ne verront que moi, cette bouche

Marivaux The drame bourgeois Beaumarchais Prose writing Observation Historiography Biography Autobiography Fiction Defence of the novel Public demand Literary strategies Narrative modes Narrative genres Romans d’éducation The roman libertin Realism Nouvelle and conte Beyond Enlightenment Mercier 147 148 148 149 150 151 154 156 159 160 160 161 161 164 165 166 166 167 168 169 170 171 173 174 174 177 178 179 180 180 181 181 182 182 183 185 186 188 188 CONTENTS xi 189 190 190 191 192 192 193 194

|d’en faire ce que je veux qu’il soit. » « Frap-pée de | | | | |neuf, qui est toujours intéressante. » | | |ce nouvel agrément que je ne lui con-naissais pas, et | | | | |« Je crois avoir oublié de vous dire que ses soupçons au su- | | |que j’étais bien aise d’obser-ver