Le Personnage De Meursault Dans L Etranger

ALBERT CAMUS JOSEPHINE ANGELICA 2315091187 LITTÉRATURE FRANÇAISE II JURUSAN BAHASA PRANCIS FAKULTAS BAHASA DAN SENI UNIVERSITAS NEGERI JAKARTA 2012 ABSTRAIT Ce roman raconte la vie d’un jeune homme et modeste employé qui s’appelle Meursault, vivant en Algérie. On lui annonce que sa mère est morte à l’asile. Il participe à l’enterrement de sa mère sans pleurer. Le lendemain, il se baigne et rencontre Marie puis ils passent la nuit ensemble. Dans son appartement, Mersault rencontre Raymond

il semble dubitatif. Le procès intéresse assez peu Meursault : " la plaidoirie de mon avocat me semblait ne devoir jamais finir" , le discours de son avocat est donc pénible. A un moment donné, cependant, je l'ai écouté". Mersault donne donc une image de passivité. Cale montre aussi que les moments d'absence et de retour au tribunal sont nombreux. Plus loin, il ajoute « je crois que j'étais déjà très loin de cette salle d'audience » Meursault prend soin de citer de manière directe le discours de

Deuxième partie raconte procès de Meursault suite au meurtre de la fin de la première partie. Meursault est jugé coupable et condamné à mort. Avocat demande pourvoi en cassation (contestation jugement auprès tribunal supérieur). Meursault vient d’avoir visite de l’aumônier de prison. Il lui a parlé de l’espoir d’une vie après la mort et de l’existence de Dieu. Cela a énervé Meursault. Qu’attend –on d’un excipit ? Le dénouement de l’intrigue, évolution du personnage, sens de l’œuvre I. On retrouve

narrateur parle de Meursault comme si c'était un autre, dès l'incipit : «Aujourd'hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : "Mère décédée. Enterrement demain. Salutations distinguées". Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier.» (I, 1). La seconde partie, plus âpre, montre, en un récit continu, comment des juges de mauvaise foi imposent à ces faits une logique et un sens arbitraires ; les gestes les plus insignifiants de Meursault et les témoignages

« ils furent confondus » (l.25-26) afin de faire triompher la vérité. Enfin, le narrateur de L’Etranger reste le spectateur passif de sa mise en accusation. Cette distance, qui donne au texte un tour objectif et impartial, est un choix judicieux. Meursault ne pourra être accusé de parti pris puisqu’il rapporte par le biais du discours, indirect le plus souvent, les paroles du procureur. Il n’a pas besoin d’émettre des jugements réprobateurs pour faire éclater le caractère fallacieux de la plaidoirie

Mes dames et Monsieurs les jurés.Jusqu’à quel point Meursault est-il vraiment coupable ? Peut-on considérer sa condamnation à mort comme le résultat d’une erreur judiciaire ? Et bien oui! Et je compte bien vous le prouver. Premièrement, notez que si l' arme du crime se trouvait dans la poche de Meursault,c' est parce qu' il l' avait prise à Raymond, de peur que celui-ci ne s' en serve.Prit de panique en croisant l' arabe et n' ayant aucune mâitrise sur lui même,mon client tira....Il est vrai

centré sur le personnage Meursault. Le chapitre 4 de la deuxième partie du roman L'Etranger, s'ouvre sur l'annonce de deux plaidoiries : celle du procureur puis celle de l'avocat. Meursault, le héros, a été arrêté pour meurtre et a assisté la veille à l'audition des témoins pendant son procès. Sur son banc d'accusé, Meursault exprime son intérêt d'"entendre parler de soi". Notre passage, extrait de ce chapitre 4, présente la plaidoirie du procureur vue par Meursault. Or, alors que Meursault est le principal

Séquence 2 : Meursault, l’Étranger à lui même Séance 1 : Un narrateur surprenant Livre p.9-12 « faire deux heures de routes » Question générale : En quoi ce début de roman est-il déstabilisant ? (Dans cet incipit de roman, nous faisons la connaissance de Meursault. Le point de vue utilisé dans ce passage de texte est un point de vue interne, nous voyons tout de l’œil et de la pensée de Meursault. Ainsi, nous apprenons sa réaction lors du décès de sa mère qu'il ne croit pas immédiatement

Une scène étrange Discours direct Meursault ; discours rapportés l. 12 et 16→ décalage entre la question et la réponse +l. 29-32 → pas réelle Marie : 2 paroles : l.6, 40-41 → son étonnement ; verbes introducteurs traditionnels : répondre, dire ; aucune expression dans la façon dont les personnages réagissent, parlent… l.9-10 ; l.38-39 : discours indirect libre ; l.26→ récit de paroles Dialogue essentiel, raconté de façon neutre, introduit par des termes plats, structure de phrases courtes,

L’Etranger appartient à un cycle d’œuvres consacré à l’absurdité de l’existence. Ecrit dans un style simple, ce roman, à travers ses personnages, son décor, ses thèmes développés est un véritable chef d’œuvre de la littérature d’après-guerre. L’œuvre sur laquelle nous exposons est située dans un contexte historique. Elle relate l’histoire d’un jeune homme du nom de Meursault. L’histoire se déroule en Afrique plus précisément en Algérie au moment où celui-ci était encore un département français. L’auteur