Le Petit Coeur Brisé

lyrique. En effet dans ce sonnet, Baudelaire décrit une prostitué mais en utilisant la poésie, et plus précisément le sonnet : une forme d’expression élogieuse. Toujours avec Baudelaire c'est cette fois ci Cheval de Race pour lequel j'ai eu un coup de cœur. C'est dans le spleen de Paris, un recueil de prose plus diversifié que l'on retrouve ce poème. La femme vieillie du Cheval de Race est pleine de charme, de sensualité et de tendresse : " Elle est vraiment laide mais elle est exquise... si douce

tournée, la petite fille âgée de onze ans, rencontre un petit garçon qui pleure parce qu’on lui a volé deux liards. La fillette lui donne alors toutes ses économies et l'embrasse plusieurs fois. Chaque année, elle passe par ce petit bourg, donne son argent au garçon et l'embrasse. Quand il va au collège, elle s’arrange pour que la tournée de ses parents coïncide avec les vacances du fils Chouquet. Hélas, le petit Chouquet fait semblant de ne pas la reconnaitre, cela lui brise le cœur. Les années

Depuis ton départ, mon cœur se meurtrit, il se brise petit à petit, il m'arrive pas à supporter ton départ et par la même occasion il me détruit. Il détruit la personne que j'étais devenu avec toi. Celui qui aurait décroché les étoiles pour voir tes yeux briller de mille cieux. Je suis devenu un automate, mes gestes sont devenus un travail à la chaine que je répète sans cesse. La seule chose qui me rappelle que je suis humain est la douleur, elle persiste malgré mon indifférence. Ton départ a été

ses petits yeux brillaient de plaisir. Il aimait cela, cet homme, et le steam-ship roulait à son gré ! Les eaux du ciel et de la mer se confondaient dans la brume à quelques encablures du navire. L’atmosphère était grise. Quelques oiseaux passaient en criant à travers cet humide brouillard. À dix heures, par tribord devant, on signala un trois-mâts-barque qui courait vent arrière ; mais sa nationalité ne put être reconnue. Vers onze heures, le vent mollit et tourna de deux quarts. La brise hâla

mon double et jamais je ne pourrais m'imaginer sans toi. Ma vie je la vois avec toi et rien ne me rendra plus heureux si mon désir de t'épouser est partagé. Veux-tu te lier à moi pour éternité mon ange ? Depuis ton départ, mon cœur se meurtrit, il se brise petit à petit, il m'arrive pas à supporter ton départ et par la même occasion il me détruit. Il détruit la personne que j'étais devenu avec toi. Celle qui aurait décroché les étoiles pour voir tes yeux brillé de mille cieux. Je suis devenu un

qui lisent en vous comme dans un livre ouvert, qui vous voient tel que vous êtes et pas tel que vous voulez paraitre, qui vous prennent comme vous êtes, qui vous connaissent de vos points les plus faibles à vos points les plus forts. » « Aimer un cœur qui aime ailleurs. » « Le meilleur moyen de ne pas être déçu, c'est de ne s'attendre à rien. » « Quand tu aimes quelqu’un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent

la pression pour tout ceux qui ne peuvent pas! Créon (Son regard prend lentement un air d’affection) Antigone Mon cœur est brisé ! Votre fils n’est pas heureux de me voir de cette façon, je le sais… Je le réalise… Il m’aime… La ville n’est pas à l’aise avec votre prise de décisions drastiques. Je crois que tout le monde bénéficierait d’un changement et vous êtes dans le cœur de celui-ci ! Vous avez bien vu Ismène tout à l’heure, elle aussi croit en ce que je fais ! Ce n’est pas juste ! (Plus

mort » de Robert Desnos ; « Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle » de Pierre de Ronsard ; « La courbe de tes yeux » de Paul Eluard et « Lou » de Guillaume Apollinaire ) . J'ai choisi ce thème et ces textes car ils me tenaient à cœur et que je trouvais les poèmes très beaux et poétiques. Ces poèmes me faisaient penser à toute l'attention que l'on peut porter à une femme et donc au fait que les poètes en parlaient beaucoup dans leurs poèmes. J'ai choisi l'un des ces quatre poèmes

Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Joachim

pas Ma vie s’est arrêtée là Un jour au mauvais endroit Le soir à Villeneuve, les grands frères et les gosses Les terrains de foot et la boxe Qui a eu tort, la raison du plus fort Pour un regard en croix je suis mort Dans la violence s’est brisée mon enfance J’ai perdu l’existence et le sens Dans les allées du parc Maurice Thorez On a poignardé ma jeunesse Qui a mis ça, la guerre dans nos quartiers L’abandon, l’ennui, la télé Des couteaux de combat dans les mains des gamins Pour