Le Petit Coeur Brisé

une coquille de noixNaviguaient, de corail coiffées,Et si j’étais, - car nous aimonsSuivre parfois d’étranges rêves, -Un des minuscules démonsRois de la mer bleue et des grèves,Je ne voudrais d’autre travailQue d’agiter cet éventailPour faire une brise légèreQui pousserait tout doucementLe bateau vers un port charmantEt vous seriez la passagère. Paul Arène   (1843-1896) Le blason de la dent Dent, qui te montres en riant Comme un diamant d'Orient Dent précieuse et déliée, Que nature a si

brouillard s'en vont un paysan cagneux Et son boeuf lentement dans le brouillard d'automne Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux Et s'en allant là-bas le paysan chantonne Une chanson d'amour et d'infidélité Qui parle d'une bague et d'un coeur que l'on brise Oh! l'automne l'automne a fait mourir l'été Dans le brouillard s'en vont deux silhouettes grises « En hiver la terre pleure » de Victor Hugo : En hiver la terre pleure ; Le soleil froid, pâle et doux, Vient tard, et part de

d’aimer les gens qu’on aime que ça finit par faire mal. Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi, je voulais que tu me dises que j’étais la seule fille qui te plaisait et que tu préférais passer le reste de ta vie tout seul, plutôt qu’avec une

dans sa complexité –, violence de la passion d’Hermione, fin d’Andromaque (la folie et la mort))…                 ∆) Dans la tragédie classique en effet, on peut considérer que le tragique est « Résistance obscure et insensée contre laquelle se brise la force de la liberté et de la raison qui est en l’homme »   II- Le tragique des personnages (hors de la tragédie classique)               A- Le personnage tragique du drame romantique • Le jeune Victor Hugo refuse les règles, les carcans du classicisme

raison,Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit villageFumer la cheminée, et en quelle saisonReverrai-je le clos de ma pauvre maison,Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,Que des palais Romains le front audacieux,Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,Et plus que l'air marin la doulceur angevine Joachim du

observe dans un premier temps que le droit c'est imposé au Homme sans qu'il est voulut le créer. Le droit préexiste au législateur et juriste. -on observe par la suite que le droit est passé au cœur de la réflexion. Les romains érigent leur droit en tant que science et le place au cœur de leurs institutions. Chapitre 1 : Un droit sans juriste Avec cette idée de droit on se place du côté des civilisation orientale et grec. Pour elles le droit est l'œuvre du temps puis de Dieu enfin

le cœur brisé en mille morceaux » ou encore « Les filles pleurent quand elles sont heureuses ». Cette histoire est racontée par un narrateur qui est le personnage principal, en l’occurrence Eleanor Allard. Elle se passe dans la banlieue de Londres à notre époque, elle raconte la vie d’une fille de 13 ans et demi pendant environ un trimestre. Le personnage principal est Eleanor Allard, les personnages qui lui sont favorables sont son petit frère Eggs, sa belle mère Anna, son père, son petit copain

routine dont elle ne pouvait plus. À trop vouloir préserver leur passion intacte et de peur qu’un changement quelconque à leurs petites habitudes ne brise leur amour, elle n’osait pas lui dire son ennui et sa lasitude. Chaque matin, elle attendait le moment où elle irait s’habiller et où elle pourrait enfin être seule, même l’espace d’un court instant. Elle savourait ce petit temps. Elle n’était plus obligée de jouer la femme aimante et passionnée avec Solal, et c’etait reposant. Elle pensait à ce

violence et mensonges, Tandis que la sienne, Etait un pur ange Tamara, Cette extrait dédié, Et, Il vient pas du coeur, Quand je l'ai vu partir, Et nous laissé tous en pleure, J'espére que l'autre se rends compte de nos pleure, De cette accident, Qui est la cause de nos malheurs, Un accident de la route, Aprés 17ans de ta vie, Que c'est dur pour ta mére qui a perdue sa petite fille, J'ai tout fait pour que cette accident reste dans l'oublie, J'ai pris l'alcool et la drogue mais a rien ça

d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les