Le Petit Lieutenant

et son frère Mathieu qui partent pour Paris. C’est là qu’il décide d’embrasser une carrière militaire. En 1877, il est reçu à l’Ecole polytechnique. Il en sort en 1880 avec le grade de sous-lieutenant. IL devient Lieutenant en 1885 puis Capitaine en 1889. L’année suivante, il épouse Lucie Hadamard petite fille de polytechnicien. Elle descend d'une famille cultivée et très aisée de Metz, au patriotisme et à la réputation irréprochables. Le 21 avril, le capitaine Dreyfus reçoit confirmation de

aux conseils du "Bien bon" ; et en 1654, elle revint à Paris, où elle fréquenta l’Hôtel de Rambouillet et s’occupa de l’éducation de ses enfants. Puis elle présenta sa fille à la cour, et la maria en 1669 au comte de Grignan, deux fois veuf, et lieutenant général en Provence. Mme de Grignan dut, en 1671, rejoindre son mari. Cette séparation fut douloureuse : Mme de Sévigné idolâtrait sa fille. Et nous devons à cette circonstance et à ce sentiment un peu outré, la plus grande et la plus vivante partie

épouse Marie Héricart le contrat de mariage est signé le 10 novembre 1647, chez le notaire Thierry François. Il est alors âgé de 26 ans et elle de 14 ans et demi. Marie Héricart est la fille de Louis Héricart, lieutenant civil et criminel du baillage de La Ferté-Milon, et d'Agnès Petit. Jean de La Fontaine commence ses études au collège de Château-Thierry, avec son condisciple François Maucroix, ami de toujours et parrain. En 1641, il entre à l’Oratoire. Mais dès 1642, il quitte cette carrière

Pour trouver un peu de sécurité, chacun faisait allégeance à plus puissant que soi. La solennité des serments visait à graver dans les mémoires des engagements qu'aucun écrit ne sanctionnait. Le jour où l'on prêtait serment, on faisait venir un petit garçon et on le giflait pour qu'il en garde le souvenir et puisse en témoigner jusqu'à un âge avancé. Ces serments solennels, ces engagements sacrés, étaient bien sûr fréquemment violés : des personnages instables, d'une nervosité à fleur de peau

familles et des tribus, dans la prédication de la Parole de Dieu, qu'allait-il advenir de cette fraternité, au moment de sa disparition ? Il fallait parer à ce danger immédiat de la division. Seule, la nomination d'un représentant du Prophète, d'un lieutenant habilité à poursuivre son oeuvre, pouvait éviter la dispersion des tribus, jadis ennemies, et maintenir ainsi l'unité des croyants. Dès l'annonce de cette décision, des conflits éclatèrent entre les clans, chacun voulant que ce soit un de ses membres

laissant derrière lui un long sillage bouillonnant, où l’eau battue semble du feu liquide. Le ciel s’étale sur nos têtes, d’un noir bleuâtre, ensemencé d’astres que voile par instants l’énorme panache de fumée vomie par la cheminée ; et le petit fanal en haut du mât a l’air d’une grosse étoile se promenant parmi les autres. On n’entend rien que le ronflement de l’hélice dans les profondeurs du navire. Qu’elles sont charmantes, les heures tranquilles du soir sur le pont d’un bâtiment qui fuit 

arrivé peu après la victoire de Strasbourg, ayant vaincu les forces Françaises après trois jours de combat. Il est arrivé, à cheval d’une grosse bête blanche qui radiait dans le soleil, avec un cortège qui le suivait de près. Il était appelé au petit village de Kehl, pour inspecter une jeune femme tomber malade. Fière de son victoire, il se portait comme le Keiser, avec sa tête qui se portait de haut et un regard dédaigneux. Il avait subit aucunes blessures, et fut simplement déranger par les

Période difficile, petites boulots... 28 septembre 1924 : on lui propose un contrat chez les Lignes Aériennes Latécoère où il commence comme mécanicien. Il est ensuite affecté en tant que pilote sur la ligne Toulouse – Barcelone (Pyrénées = défi pour l'époque). Mermoz survolera régulièrement la partie du Sahara qui longe l'atlantique (lieu de tous les dangers : Une panne de moteur et c'était la catastrophe > la noyade dans l'Atlantique, l'écrasement au sol, la soif et la mort par petit feu sous le soleil

parce que dans ce communiqué portant sur les combats de guerre, il ne signale rien de plus (pas de conflit supplémentaire, pas de bataille), même pas la mort d’un soldat. 2) Personnages: Paul Bäumer : 19 ans Narrateur Alber Kropp : 19 ans Petit, idées les plus claires, soldat 1ère classe Sortis Müller : 19 ans de la même Numéro 5, traîne encore des livres de classe, rêve d’un examen de repêchage, prévoyant classe Leer : 19 ans Barbu, a une prédilection pour les filles

(dialoptes, successeurs ; Ptolémée prend l'Égypte) sont rencontrés par les romains, d'où une influence des cultures grecques, Égyptiennes... Les Romains vont utiliser la même méthode que Alexandre : ils laissent les coutumes des peuples, changent quelques petites choses et prennent ce qui les intéressent. Le I er siècle est un tournant : des généraux vont se disputer le pouvoir alors que la République marchait bien. A partir du moment où les généraux ont fait de grandes conquêtes et ne veulent pas les rendre