Le Petit Soldat

LA PETITE FILLE BRÛLÉE AU NAPALM. I. Description de la photographie. 1/ Structure et composition a) Plans. Ils sont au nombre de trois : • au premier plan, des enfants Sud-Vietnamiens. • trois soldats américains occupent la largeur de la route au second plan. • En arrière-plan, la fournaise du bombardement au napalm ferme l’horizon. b) Géométrie. La route organise une ligne de fuite vers la fournaise. La jeune fille est au centre de la photographie. Les jeunes Vietnamiens forment

La petite fille brûlée au napalm - 1972 - Histoire des arts - 3e PHOTOGRAPHIER LA GUERRE   Nick Ut - Petite fille brûlée au napalm 3 LA PETITE FILLE BRÛLÉE AU NAPALM        Catégorie : arts du visuel   Thème : art, état, pouvoir et société       I. JE PRÉSENTE LA PHOTOGRAPHIE       titre | La petite fille brûlée au napalm (en anglais : The Napalm Girl). | date de la prise de vue | 8 juin 1972 | lieu de conservation  | Le négatif original est conservé

fade une démarche : walk il vaut mieux : you’d better siffler : to whistle ramasser : to pick up 1. « La Valse des Etiquettes » par Betty Quette Ecoutez la chanson et remplissez les blancs puis répondez aux questions. Dix …………………… le Soldat J'ajoute trois zéros Et abracadabra Ça fait dix mille euros ! Cette ……………………………… est trop ……………………… Il lui faut un peu d'aide Une robe en sac …………………… Oh la la ce qu'elle …………… laide ! C'est la valse des étiquettes Faut que …………………………………

Depuis tout petit, Aegis et Cratos s’entraînaient au combat devant la maison. Aegis qui allait vers ses 18 printemps était plus jeune que Cratos de 2 ans, son aîné. Ils habitaient dans une petite maison  à l’extérieur du village appelé Cranatos. C’était un petit village du fin fond de la Grèce, très éloigné de la capitale Athènes. Après la mort de leurs parents, leurs grands-parents les avaient recueillis, élevés et plus tard leur avaient appris à se débrouiller seul dans la nature. Ils n’étaient

Bon ! Comme Kik devait mourir, était déjà mort, il fallait faire son oraison funèbre. Je veux bien la dire parce que Kik était un garçon sympa et que son parcours n’a pas été long. (Parcours, c’est le trajet suivi par un petit toute sa courte vie sur terre, d’après mon Larousse.)Dans le village de Kik, la guerre tribale est arrivée vers dix heures du matin. Les enfants étaient à l’école et les parents à la maison. Kik était à l’école et ses parents à la maison. Dès les premières rafales, les enfants

distingués dans la défense de la langue française». Résumé Dans son roman, Roland Dorgelès s’est inspiré de sa propre expérience. Ayant été soldat lors de la Première Guerre Mondiale, l’auteur nous dévoile, derrière un personnage nommé Jacques Larcher, les conditions de vie au front. Le roman suit plus particulièrement une équipe d’une dizaine de soldats, parmi ces personnages il y a : Jacques Larcher, le principal narrateur, un engagé volontaire (c’est sous ce nom que se cache en réalité Roland

description d’une nature lumineuse, fertile au milieu de laquelle dort paisiblement un jeune soldat (2 quatrains) 2/ moment où le faux dormeur se révèle être un vrai mort. Ce poème appartient au mouvement symbolique (rappelons la tentative de Rimbaud de se faire publier dans le Parnasse contemporain). C’est un poème satirique dénonçant l’absurdité de la guerre laisse peu à peu suggérer la mort du jeune soldat à travers tout un jeu de symboles. Projet de lecture : Comment Rimbaud renforce-t-il l’efficacité

dormir mais surtout qui leur rappelle qu'à quelques kilomètres de chez eux c'est la guerre, la mort. La présence de la guerre est aussi rappelée aux civils par les soldats partant au front, joyeux, et pressés d'aller « tâter du boche », en effet les villageois pris de pitié savent ce qui va leur arriver pour avoir vu des soldats revenir blessés, mutilés. Pour certains d'entre eux la vie est finie, ils sont réduits à l'état de légume. D'autres plus légerements blessés sont heureux que tout soit

récit d’enfant soldat « Un enfant qu’on ne voit jamais lire est destiné par avance à une carrière seulement de mouvement et d’action. Il sera quoi ?... un soldat. » énoncent les frères Goncourt, sur le thème des enfants soldats. Ahmadou Kourouma, auteur Ivoirien, témoigne de ce même thème, dans son récit Allah n’est pas obligé publié en 2000  pour lequel il recevra le prix Renaudot. Ainsi, selon le récit, nous verrons en quoi les enfants soldats sont des criminels

constituées de tranchées des soldats relativement mal équipés. Les premières tranchées sont des trous dans la terre mais rapidement, des réseaux complexes y sont implantés. Les tranchées sont divisées en deux lignes, elles sont conçues afin de contenir l’explosion des obus ennemis et empêcher l’ennemi d’atteindre la ligne. Les tranchées ont été utilisées comme des lignes de défense. La guerre de tranchées est le symbole même de la Première Guerre mondiale. Mais petit à petit, l’armement se modernise :