Le Pib Est Il Un Bon Indicateur

milliers (2006) : 75 437 • PIB par habitant, valorisation dollars PPA (2006) : 4 500 • Espérance de vie (2006) : 70.9 • Taux d’analphabétisme (2006) : 28.6 Égypte L ’É GYPTE BÉNÉFICIE LARGEMENT DES RÉFORMES d’ouverture et de libéralisation qu’elle a entreprises ces dernières années. En peu de temps, le pays est devenu une économie de marché dynamique, conduite par le secteur privé et bien arrimée à l’économie mondiale. Avec d’excellents taux de croissance réelle du PIB enregistrés et prévus

des pays développé comme en témoignent les chiffres du PIB par habitant ou même l’IDH* | PIB/hab. | IDH. | Corée du Sud | 25300 $ | 0.937 (29e) | Portugal | 21900 $ | 0.920 (39e) | II. Les pays émergents et les pays les moins avancés * Les pays émergents * La Chine et l’Inde En quelques décennies, la Chine est devenue une très grande puissance qui dispose d’un marché de consommation et d’une main d’œuvre abondante et bon marché. La croissance annuelle (10% par an) est une

mesurée par batterie d’indicateurs éco chiffrés. Le principal indicateur est le taux de croissance du PIB. Mais autrement, nous avons comme indicateurs : l’indice des prix à la conso, le tx de chômage, la balance d’imports/exports (-> l’indicateur éco de base), le déficit budgétaire. Il faut pouvoir faire la liaison lel les différents indicateurs. Si un bouge, quelles sont les répercutions sur les autres ? On compare aussi les indicateurs avec les autres pays car on n’évolue pas de la même manière

d’exécution du Groupe de la Banque Matrice du cadre stratégique de la Banque, 2007-2011 Indicateurs socioéconomiques comparatifs Principaux indicateurs économiques, 2001-2006 Evolution du PIB (en prix constant), 2001-2006 Evolution du PIB (prix de l’année précédente), 1998-2007 Situation monétaire, 2000-2006 Evolution de la balance des paiements, 2001-2006 Situation des finances publiques, 200-2006 Evolution des indicateurs d’exposition au risque pays, 2003-2008 Caractéristiques de la pauvreté Liste des

relancer la croissance, et le gouvernement chinois est incapable de réagir au défi extérieur. Le milieu du XIXème siècle ouvre une longue période de déclin, marquée par les désordres sociaux. Selon Angus Maddison (2011), au début du XVIIIème siècle, le PIB par habitant en Chine est déjà presque moitié moindre que celui de l’Europe occidentale (mais encore supérieur à celui des Etats-Unis et du Japon). Pour d’autres historiens, l’Europe occidentale et la Chine ont encore des niveaux de développement comparables

2010. On remarque donc que la Crise qui s’est démontrée en 2008-2009 a été très présente dans la zone européenne, en ce qu’il s’agit des crédits accordés au secteur privé. II. La production n’est pas épargnée Cette production est reliée au bon fonctionnement de l’économie. a. Le graphique de l’évolution de la variation du taux de chômage selon les pays de la zone européenne On observe que le taux de chômage du l’Union Européenne composée des 27 Pays est de 9.8% en 2010, alors qu’il

dans le cas de transport de denrées périssables) e. réseau de distribution et de communication f. infrastructure de communications (téléphones, télécopieurs, modems), avancement technologique 2- Economie 1 a. Niveau de développement économique (PIB/hbt de PPA), PNB / hbt l’IDH1 b. c. d. e. f. g. Taux et perspectives de croissance Répartition sectorielle et industrielle de l’activité (production et importation) Répartition des revenus Tendances et habitudes de consommation Accueil réservé aux

la croissance économique. LES INDICATEURS FINANCIERE DU DEVELOPPEMENT FINANCIER ET DE L’INTEGRATION On s’intéresse ici aux mesures de développement financier et de ceux de la libéralisation financière externe. La construction de ces variables suit des méthodes utilisées par plusieurs économistes dans la recherche de l’approfondissement financier et dans l’étude de la libéralisation du compte. LES MESURES DU DEVELOPPEMENT FINANCIER Il y’a plusieurs indicateurs de développement financier qui

continue de nous hanter, et avec elle le sentiment de ne pas avoir fait assez pour créer une « culture exportatrice » dans le secteur privé et pour convaincre nos partenaires commerciaux (États-Unis, Europe) d’abaisser leurs obstacles à l’importation de bon nombre de nos produits. Deuxièmement, les taux d’intérêt réels qui avoisinent les 11 % à 12 % sont trop élevés ce qui rend presque impossible la gestion des finances du secteur public. Les auteurs ont absolument raison de rappeler que des contraintes

développement d’infrastructures (Algérie , cadres militaires s’accaparent tout le pétrole) - Facteurs historiques : héritage colonial qui oriente les colonies à exploiter surtout les produits primaires et non à développer le secteur industriel, et donc PIB basé sur produits primaires donc à faible VA - Facteur politique : instabilité politique donc moins d’investisseurs et aggrave la marginalisation.  Il existe des liens de causalité entre ces facteurs , aucune des explications n’est suffisante à elle-même