Le Pib Est Il Un Indicateur Imparfait

croissance annuel de M3 de 4,5%). b) Analyse d’un ensemble d’indicateurs de la situation économique dans la zone euro, tels que l’évolution du PIB, du taux de change de l’euro et surtout de divers indices de prix (prix à la consommation, prix des biens importés, prix énergétiques, etc.). 8 Selon les valeurs que prennent ces indicateurs au moment où la déviation de la croissance de M3 est observée, l’intervention de la BCE sera plus ou moins vigoureuse.  Les banques commerciales

croissante C’est le domaine le plus traditionnellement étudié par les économistes. La mondialisation passe par l’intensification des échanges commerciaux et le degré d’ouverture (Exports + Imports / 2 PIB) Depuis les années 50, la croissance du commerce international est 3 à 4 fois plus rapide que celle du PIB. Accélération, ces dernières années, avec l’entrée de la Chine dans la commercialisation des produits manufacturés. Mais, alors que ce phénomène est présenté comme nouveau, il n’est que le prolongement

La concurrence imparfaite La nouvelle microéconomie envisage que les agents éco peuvent élaborer des stratégies (= ne sont pas passifs) et que les acteurs éco sont souvent composites (à l’intérieur de l’entreprise, il y a des possibles conflits d’intérêt qu’il faut étudier). Elle permet de traiter des questions économiques plus proches des préoccupations politiques et de notre vécu quotidien (ex : la pratique des tarifs d’accès internet et téléphone). Cependant il faut relativiser cette nouveauté :

D. Analyse de la dépense publique française II. Comparaisons internationales générales A. La France, pays le plus dépensier du G7 B. Une corrélation inquiétante avec les taux de chômage C. Un problème méthodologique : dépense publique et calcul du PIB D. Analyse comparée de la dépense publique III. Les dépenses publiques sociales A. Evolution des principaux postes de la dépense sociale B. Les dépenses de retraites C. Les dépenses de santé D. Autres dépenses sociales IV. Deux secteurs à forte dépense

exercer leur fonction les pouvoirs publics opèrent des prélèvements que lʼon qualifie dʼobligatoires. En France les prélèvements obligatoires représentent 43% du PIB, ils sont constitués des impôts plus des cotisations sociales (CSP+CSE). Le taux de prélèvement obligatoire (PO) : PO PIB Le taux de pression fiscale : Im pôt PIB Ø Lʼimpôt : un versement monétaire requis par des personnes physiques ou morales par voie dʼautorité, à titre obligatoire et définitif, sans contrepartie spécifiée

forme d’un pouvoir d’achat. A- les agrégats et contreparties. Le contenu des agrégats monétaires prête à discussion et est périodiquement remodelé notamment lorsque surgissent des innovations financières. Les agrégats monétaires sont des indicateurs statistiques de la quantité de monnaies en circulation ; ils reflètent la capacité de dépense des agents non financiers résidents. Il s’agit des moyens de paiement de ces agents, classés selon leur degré de liquidité (transformable en monnaie).

Dans un contexte très tendu internationalement suite à la crise des subprimes en 2007 suivie de la crise de la dette européenne en 2010, notamment en France qui voit son déficit commercial s’accentuer de jour en jour – à hauteur d’environ 2.6% du PIB en 2010 – et où les appels au protectionnisme se font de plus en plus forts, il nous est apparu comme essentiel de vérifier empiriquement la théorie ricardienne et ainsi tenter de mieux comprendre la structure des échanges en France vis-à-vis de nos

DES ADMINISTRATION, ASSOCIATIONS) ( HAUSSE CONSTANTE DE LA PRODUCTION NON MARCHANDE VALEUR AJOUTÉE = PRODUCTION - CONSO INTERMÉDIAIRES MESURE DE LA PRODUCTION - PIB LES AGRÉGATS - PNB LA PRODUCTION - PNN (PRODUIT NATIONAL NET) - RN (REVENU NATIONAL) NE TIENT PAS COMPTE :

mondial: des biens, des services, des capitaux. Conditions du marché: Libre circulation des marchandises, des ventes des capitaux. 2) Les indicateurs de mesure du CM: a- Le PIB mondial: ∑ des PIB des espaces économiques nationaux (ou tout simplement PAYS PUTAIN, PAYS). b- Le taux d'ouverture: ((Export+Import/2)/(PIB)) x 100 c) Le coefficient d'ouverture: Export/PIB x100 d) Le taux de pénétration: Import/marché intérieur x100 3) Les aspects de la mondialisation des économies: a) 1er aspect: intensification

correspond à la pente ou à la tendance à long terme de la croissance. Entre 1960 et 1974, le PIB français a augmenté de 5,5% par an en moyenne. Depuis 1974, il n’a plus augmenté que de 2% par an en moyenne. 3. On peut donc observer deux grandes tendances pour la croissance française que l’on retrouve dans la plupart des pays avancés :  La croissance baisse au cours du temps, ce qui ne veut pas dire que le PIB baisse mais qu’il augmente de moins en moins rapidement : 5,2% par an en moyenne pendant