Le Pib Est Il Un Indicateur Parfait

dimension et assez nombreux pour qu'aucun d'entre eux ne puisse, par sa seule action, exercer une influence sur le fonctionnement du marché et sur la détermination du prix. (L'atomicité est une des conditions définissant un marché de concurrence pure et parfaite.) 8-Autofinancement : Financement de l’investissement d’un agent économique grâce a son épargne pendant la période considérée. L’autofinancement correspond aux ressources disponibles après paiement des matières premières , règlement de la rémunération

- Quelles seront les contraintes auxquelles elle devra faire face ? - Quelle sera son organisation ? sa structure retenue pour l’internationalisation ? Chapitre 1 : Le choix de l’internationalisation I) Le commerce et ses indicateurs • Il ne faut pas confondre branche et secteur : - branche : ensemble des fractions d’entreprise qui fabrique le même produit. Une branche est caractérisée par UNE fonction de production. Si deux produits ont deux fonctions de production

- septembre 1974 à juin 1975 (1er choc pétrolier): PIB = - 2,1% - septembre 1992 à mars 1993 (chute du mur de Berlin/éclatement de l'URSS): PIB = -0,9% - 2008 à 2009 (crise financière): PIB = -2,3% I. Le taux de croissance • Croissance des 30 glorieuses: exceptionnelle car taux de croissance très élevé. A. Définition • Qu'est-ce que la mesure de la croissance ? ( C'est la mesure de l'évolution du PIB et permet de rendre compte de la richesse créée par

mesure particulière renvoie à un choix particulier d’allocation du temps. Conclusion : dans cette économie autarcique, le cultivateur et l’éleveur vont produire X unités de viande et X unités de pommes de terre. On verra plus tard qu’en parlant de PIB, ce n’est jamais que cela, mais en plus compliqué (parce que beaucoup plus d’acteurs). 10 II. Echanges. Les échanges sont maintenant possibles entre A et B, il y a un pont qui les relie. En quoi ce pont change-t-il l’activité économique

Ricardo (1817) considèrent qu’il y a une dichotomie totale entre la sphère réelle et la sphère financière, ce qui se traduit dans la pratique par une inexistence de connexion entre le système financier et les différents indicateurs de l’économie réelle, tels que le taux de croissance du PIB, le taux d’investissement, le taux d’épargne, etc. Cette idée puise son essence dans l’équation des échanges de Fisher et son corollaire, la théorie quantitative de la monnaie, qui stipule que toute augmentation de

mesurés par la somme des valeurs absolues des déficits et des excédents courants que l’on ramène au PIB mondial. Après avoir atteint un pic de 6% durant les années ayant précédé la crise financière internationale, les déséquilibres internationaux se sont ensuite atténués à la faveur de la crise financière internationale et aujourd’hui ces déséquilibres représentent à peu près un ratio de 4% du PIB mondial. Cependant ce taux demeure élevé par rapport au niveau moyen historique d’où cette notion

effectué en 1983 sous Mitterrand après deux ans de politique budgétaire expansive. Mais c’est surtout après la crise financière de 2008 que la France et la plupart des Etats européens, confrontés à des niveaux de dette souveraine passant d’environ 65% du PIB avant la crise à 90% aujourd’hui en moyenne, s’attèlent à des politiques d’austérité drastiques, alors que la croissance économique est à un niveau d’atonie prolongé. Ainsi faut-il éclairer cette notion d’austérité qui semble centrale dans la compréhension

effectué en 1983 sous Mitterrand après deux ans de politique budgétaire expansive. Mais c’est surtout après la crise financière de 2008 que la France et la plupart des Etats européens, confrontés à des niveaux de dette souveraine passant d’environ 65% du PIB avant la crise à 90% aujourd’hui en moyenne, s’attèlent à des politiques d’austérité drastiques, alors que la croissance économique est à un niveau d’atonie prolongé. Ainsi faut-il éclairer cette notion d’austérité qui semble centrale dans la compréhension

les principaux partenaires de l’entreprise, en insistant sur le rôle particulier joué par les banques et par l’État. 1 – 3 Les entreprises Les différents types d’entreprises L’analyse de la diversité des entreprises prend appui sur des indicateurs économiques (chiffre d’affaires, effectifs, parts de marché, etc.) afin de caractériser la structure du système productif national. Des distinctions sont faites entre entreprises publiques et privées, industrielles, commerciales, financières, agricoles

national. Les agrégats vont être : le capital, le niveau de qualification de la population (de la main d’œuvre), la flexibilité du marché du travail local, le stock d’infrastructure, les aménités (fait d’apprécier un endroit pour son bien-être), le PIB par habitant au niveau local ou régional, le revenu disponible, la démographie, l’âge moyen de la population. Plusieurs visions existent sur le développement territorial. Première approche : le territoire est un facteur de croissance. Dans ce type