Le Pleurer Rire

quelqu'un, D'aimer et d'être aimé, Cela vaut la peine qu'on s'y accroche...» Si t'aimer est une folie, alors je serai folle toute ma vie … Tu sais, à chaque fois que quelqu'un sort un truc vraiment drôle, un truc qui me fait rire, Je me retourne pour voir si ça te fait rire aussi, même quand t'es pas là, à chaque fois... Si l'amour était une drogue, j'aimerais mourir d'une overdose Je bois de l'alcool je suis alcoolique, je bois du fanta je suis fantastique. Aux États-Unis quand une fille

emporte avec elle le plus précieux : nos souvenirs, notre avenir. Clouée là sur notre lit, elle me nargue dans son sommeil irréversible. Cette femme qui a partagé avec moi Aragon, Wyeth, Brel et tant d’autres. Cette femme qui m’a fait pleurer, jouir, rire et pleurer. Qui a fait de ma vie une vie. Cette femme me jette aujourd’hui à des minutes qui n’appartiennent plus qu’à moi. Des minutes de famine et d’insomnie, des minutes d’attente et de désespérance. Comment ne pas lui en vouloir, comment ne

argumenter son questionnement sur le choix de ses sentiments. Il évoque également Dieu (l. 17-18). Il se met aussi à énumérer de nombreux surnoms (l.20-24) qui la qualifiait et qu’il lui donnait. Ainsi, il commença à pleurer. Et puis soudainement son humeur se transforma en rire lorsqu’il se rappela de son fils Pantagruel. Et il se met à lui parler en le complimentant et en remerciant Dieu. Puis il énumère une suite de chose à faire pour fêter la naissance de son fils. Ensuite, il entend les litanies

regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée. Et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever. Et même te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison. Tes histoires inventées. Je hais quand tu me fais rire. Davantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là. Et que tu es dieu sait où. Mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant. Ni une seule minute. Ni même du tout.» «L’amour n’est pas l’amour s’il fane lorsqu’il se trouve que son objet

conscience que si tu souffre c'est loin d'être la dernière fois, réalise que chaque larme que tu fais tomber de ton visage n'est qu'un échantillon de frustration sur un immense océan de malheur. mais sache aussi que chaque rire que tu provoque en éclat n'est pas le dernier. arrête de pleurer, cris si fort que tu deviendras sourd, explose ton coeur en un souffle et reprend tout normalement, abandonne toi dans une musique déprimante et écoute la en boucle jusqu'à ce que tu t'endorme, repense à ce qui te torture

mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s'engloutit dans mon ombre Comme une pierre dans le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s'évaporer les soleils Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul Eluard, >, Capitale de la douleur,1926 Ed. Gallimard. Colloque sentimental Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs

rattrapé par la réalité « Je suis bouffon de cour ! »(v468).Le personnage dénonce son quotidien monotone qui est de faire rire et uniquement de faire rire la cour «  ne vouloir, ne pouvoir, ne devoir et ne faire que rire ! »(v469-470).Triboulet se sent déshonoré et humilié, « Quel excès d’opprobre et de misère !»(v470).Il estime qu’il n’a pas le droit de pleurer ou de ne pas rire étant donné son statut de bouffon, il a le devoir de divertir la cour, il ne peut montrer ses émotions dans ce milieu si

simplement pas possible. Il entendit alors une voix familière le faisant lever la tête. -Louis qu'est ce que tu as fais comme conneries ? Dit il en riant Il vit ses bouclette et se sourire a fossettes, mais pour une fois sa remarque ne le fit pas rire, effaçant immédiatement la joie d'Harry, qui courut pour le prendre ses bras, lançant un regard interrogateur a l'agent qui répéta cette même phrase, mais qui eu cette fois un effet destructeur sur le plus vieux, qui s'effondra dans les bras du nouveau

pleurée, des nuits entières en refaisant le monde, pour que j'aille mieux à nouveau. Mais rien y fait, j'avais beau pleurer, tout les matins c'était la même chose. Fait çi, fais ça, pourquoi tu me dis ça, pour tu agis comme ça, pourquoi, pourquoi, pourquoi. Beaucoup de fois j'ai voulu tout foutre en l'air, beaucoup de fois j'ai voulu en finir, mais toi tu étais là, pour me faire rire, pour m'écouter et surtout pour m'aimer. Puis du jour au lendemain, tout à changé, elle est arrivé dans ta vie, puis

personnages en action b° Plaisir des sens _ Visuel : le décor, les costumes éclairages _ Auditif, musiques et façons de lire le texte. _ Plaisir intelectuel. I .Le spectacle théâtral est une source de plaisir et de divertissement J'aime y rire, y pleurer, y frissonner, m'y indigner, m'y ennuyer parfois... y rêver toujours. c'est le lieu où je me laisse aller à flotter entre deux eaux, ni sommeil, ni pur éveil. Quelque chose de l'ordre de l'introspectif sans en être, puis que l'autre est là. Là