Le Poison

ne commencera que vers 17 heures. En effet, on doit attendre la livraison du produit dans le service faisant suite à la prescription du médecin. Mme B., 67 ans, est aide-ménagère à domicile et parle des produits administrés en les qualifiant de « poisons ». Elle éprouve une grande angoisse et est très demandeuse en nous expliquant que lors de sa première cure à l’hôpital de jour, elle a eu des palpitations qui l’ont inquiétée.Son traitement se compose de plusieurs poches de perfusions dont les deux

le texte l’illustre en donnant les différentes dates : « 5 février, 18 février,19 février 20 et 22 février ». Chez Emma, elle a pensé que la mort viendra très vite mais au contraire cela a pris plus de temps. p.2 .Le fait pour elle de supplier le poison de se dépêcher en dit long sur le temps qu’a pris son agonie. Par ailleurs l’agonie est lente et douloureuse. Marguerite souffre le martyr . Elle le dit si bien : « Oh! Mon Dieu Avant tout on peut dire que pour Marguerite et Emma, la mort survient

chose. De plus, l’auteur décrit la dame en décomposition de «femme lubrique, Brûlante et suant les poisons» (l.5-6). Il exprime ici en utilisant le mot «lubrique», une certaine élégance provenant de la charogne par la présence de plaisirs luxueux, sensuels et charnels. Aussi, la laideur apparait dans cet extrait quand il dit que la charogne porte une odeur de poison. Non seulement elle put le poison, mais elle le sue. Donc, la mocheté et la splendeur est exprimé par la vision de la charogne. En

également par la toute puissance de la femme, marquée par le gros plan et les jeux de lumières . C'est ainsi qu'est représenté « l'appareil sanglant de la Destruction » . J'ai sélectionné le second poème car il présente une inversion des rôles; Le poison serait quelque chose de bien pour l'âme (vers 10), et ainsi la mort serait préférable à la vie . Il est illustré par un tableau, peint de façon anonyme . Ce tableau, à l'image du poème, représente la mort par une belle femme, le buste nue . La femme

Les Colchiques Apollinaire Introduction       Dans ce poème Les Colchiques, la femme est associée à une fleur, la colchique. Mais cette fleur est vénéneuse, c’est un poison. C’est donc l’inverse du mythe de la femme fleur. Ce poème a été pour la première fois publié le 15 novembre 1907 dans le journal la Phalange.       C’est un poème d’inspiration allemande rédigé en 1901 qui vient après les poèmes de la chanson du mal aimé. On est face à un échec amoureux. A la même époque, il rencontre

qu'avez-vous fait là ? Parle, je te l'ordonne ! Ce n'est pas du poison, cette affreuse liqueur ? Dis ? Ruy Blas. Si ! C'est du poison. Mais j'ai la joie au coeur. Tenant la reine embrassée et levant les yeux au ciel. Permettez, ô mon Dieu, justice souveraine, Que ce pauvre laquais bénisse cette reine, Car elle a consolé mon coeur crucifié, Vivant, par son amour, mourant, par sa pitié ! La Reine. Du poison ! Dieu ! C'est moi qui l'ai tué ! – je t'aime ! 2250 - Si

qu’elle préfèrerait suivre l’homme qu’elle a toujours aimé. Mais encore dans « le poison me consume, ma force m’abandonne ; la plume me tombe dans les mains ; je sens affaiblir jusqu’à ma haine ; je me meurs » on trouve une gradation des étapes de la mort donc la mise en place du processus de fin de vie de Roxanne elle en train de nous annoncer son suicide. Dans cette phrase il y a un champ lexical de la mort « le poison », « consume », « abandonne », « affaiblir », « meurs » avec « consume » qui fait

Introduction       Dans ce poème Les Colchiques, la femme est associée à une fleur, la colchique. Mais cette fleur est vénéneuse, c’est un poison. C’est donc l’inverse du mythe de la femme fleur. Ce poème a été pour la première fois publié le 15 novembre 1907 dans le journal la Phalange.       C’est un poème d’inspiration allemande rédigé en 1901 qui vient après les poèmes de la chanson du mal aimé. On est face à un échec amoureux. A la même époque, il rencontre Annie Playden. Chez Apollinaire

autre indice d’une suprême réconciliation dans la mort. Les modalités de la complicité entre Thérèse et Laurent n’ont pas non plus changé depuis le début de leur relation : c’est encore Laurent qui fournit le moyen pratique de donner la mort, le poison, bien préférable au couteau de Thérèse, celui-ci restant pourtant révélateur de son « tempérament ». C’est d’ailleurs Thérèse qui fait le premier pas vers la mort, où Laurent la suit aussitôt. II. Le tragique. Dans cette histoire où la fatalité

état, sentiments et paroles et Phèdre. Les paroles d’une mourantes. Cette scène se passe après que Phèdre est pris un poison mortel afin de mettre fin à ces jours, il est donc urgent pour elle de dire toute la vérité à son époux. Avant d’avouer la vérité à Thésée sur ses sentiments elle lui dit: «Les moments me sont chers écoutez-moi». Le fait qu’elle est pris du poison lui donne du courage pour affronter son mari, elle lui dit la vérité d’un ton calme ce qui montre qu’elle a accepter ses sentiments