Le Poète Courtisan

section « Tableaux parisiens » des Fleurs du mal. Dans cette section, le poète, flâneur au milieu de la foule, observe les plus démunis – à la manière de Victor Hugo dans « Le mendiant » – et en fait des portraits d’une étonnante modernité. [LECTURE] 3 mouvements : Vers 1 à 16 (strophes 1 à 4) → Portrait des petites vieilles comme des êtres ayant perdu toute humanité Vers 1è à 20 (strophe 5) → Fascination du poète pour les yeux des petites vieilles Vers 21 à 32 (strophes 6 à 8) → Méditation

La poésie : formes et significations Lecture analytique 1 : Boileau, Satires VI, « Les embarras de Paris », 1660 – (extrait, orthographe modernisée) Structure du texte : v. 1 à 27 : plainte du poète face aux bruits entendus de chez lui. v. 28 à 42 : Le poète tente de se frayer un passage à travers les rues parisiennes. v. 43 à 70 : description d’un accident conduisant à un embouteillage. Caractéristiques de l’extrait : Poème en alexandrins, rimes suivies. Blâme de la vie parisienne.

constitue-t-il un moyen privilégié pour « interroger le monde » Problématique : Comment Baudelaire dans l’Albatros oppose-t-il l’Idéal au Spleen, tout en mettant en scène une vision pessimiste de la société dans laquelle le poète ne trouve pas sa place ? Grand poète du XIXème siècle, Charles Baudelaire est connu pour sa vie de bohème. Auteur torturé, il publia de son vivant une seule œuvre, Les Fleurs du Mal 1857. Ce recueil de poèmes fut condamné et censuré à sa sortie, car trop choquant

Nouveau Monde, des pays orientaux et méditerranéens (Hugo, Chateaubriand, Stendhal, Mérimée...). - L’Étrange vient parfois du passé : les romantiques se passionnent pour le Moyen âge totalement oublié jusque là ! - Le Moi : le romantique est un poète ou romancier lyrique ! Si le moi de l’époque classique est haïssable(Pascal), au XIXe siècle l’écrivain est un individualiste qui met sa sensibilité et son art à son propre service : lemoi (le moi de l’enfance, le moi amoureux, le moi en quête de spiritualité

d’or du classicisme. Poète et auteur de nombreux contes, pièces de théâtre et livrets d’opéra, il est surtout connu par Les Fables. Écrites entre 1668 et 1678, ce recueil de 243 fables est considéré comme son chef-d’œuvre. Ces récits courts mettent en scène des animaux ou des êtres humains afin de critiquer la société de l’époque de Louis XIV. La fable 4 du tome XI, « Le songe d’un habitant du Mogol » est différente du reste de ses fables, car elle met en scène la parole du poète. Ce texte se construit

Echo à "La loi du plus fort est toujours la meilleur" de Le Loup et l'Agneau , une autre fable de La Fontaine. Les puissants sont passés en revu : ils ont tous commis un crime mais on n'en parle pas. L'ironie (v.43 à 48) montre l'empressement des courtisans. Cf : infinitif, dans le but qu'ils soient intouchables. Les plus forts ne sont jamais inquiétés. • La morale est marquée par des parallélismes : "Puissant ou misérable" ; "blanc ou noir" = Bien ou Mal. C'est la Justice sous la monarchie, c'est

Analytiques : 1 – Hymne des étoiles, Ronsard Intro : Ronsard, poète humaniste de la Pléiade, s’inspire de la philosophie naturelle d’Aristote pour décrire l’influence du ciel sur la Terre. Dans ce poème avec une alternance de quatrains d’octosyllabes et de sizains d’hexasyllabes, il conseille d’apprendre à lire dans les étoiles le destin de toute chose. I. Attitude des humains face aux étoiles A. Admiration du poète Note leur beauté dans la nuit, c’est un moment d’inspiration

le délire de Gnathon, une vie de mondanités, un monde vain) et le « nous » (le lecteur, la société, l'auteur) NOTE wikipedia Imitée du poète grec Ménandre, la pièce de l' Eunuchus (L'Eunuque) est représentée en 166 avant notre ère. Elle met en scène un jeune homme, Phédrias, amoureux de la courtisane Thaïs. Trason, un soldat fanfaron, aime aussi la courtisane Thaïs. Phédrias, pour preuve de son amour, achète alors à Thaïs, à grand prix, un eunuque vieux et laid. Trason, pour preuve de son amour

« La Cour du Lion » Jean de La Fontaine. ( INTRODUCTION ) Jean de La Fontaine est un poète français de la période classique, inspiré par les fabulistes de l’Antiquité gréco-latine, pour ses fables et qui font de lui sa renommée. « La cour du Lion », extrait du livre VII du deuxième recueil des fables de la Fontaine est un travail de réécriture d’une fable de Phèdre. En quoi Jean de la fontaine dénonce t-il la société ? Et comment fait-il pour porter la satire de cette fable ? Tout

l'histoire d'un Prince insatisfait qui détruit tout ce qui fait partie de son quotidien. Comment l'auteur à travers ce poème montre l'impossibilité du poète à s'échapper de la réalité? Nous allons analyser ce texte sous trois mouvements, tout d'abord avec le poème se proposant être une parodie du genre du conte, ensuite l'expression des désirs du poète par le personnage du prince et enfin un poème sur la voyance. Le titre du poème annonce un genre littéraire qu'une lecture d'ensemble,semble confirmer