Le Poète Et Sa Muse De Musset

Ecrivain et poète français dont l'oeuvre dramatique peut être considérée comme la contrinution la plus originale et la plus réussie au théâtre romantique . Débuts Brillants . Alfred de Musset est née le 11 Décembre 1810 à Paris dans un milieu plutôt aisé et cultivé . Celui ci étant doué et doté de grandes capacités mena une adolescence dissipée de dandy . Il entreprend des études de droits et de médecine qu'il ne termina malheureusement pas, puis fréquenta le Cénacle romantique chez Hugo

français de la Renaissance, qui appartient à la Pléiade, soit le nom d'un groupe de sept poètes de la Renaissance qui luttaient pour défendre la langue française contre ses détracteurs, de l'enrichir en vocabulaire et de développer l'art poétique. Poète de cour, il a pratiqué toutes les formes de l'écriture poétique : odes, lymphes, une épopée et des sonnet dont les plus connus " le recueil des Sonnets pour Hélène " « Mignonne, allons voir si la rose » Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin

déchaussée, elle était décoiffée de Victor Hugo qui représente bien le romantisme grâce aux thèmes de la nature et de l'amour. Et ensuite le poème Non, quand bien même une amère souffrance de Alfred de Musset qui exprime l'amour et les sentiments impossible et témoignent les états d'âmes du poète ainsi que la subjectivité. Le surréalisme est un mouvement de la première moitié du XXème siècle, comprenant l’ensemble des procédés de création et d’expression utilisant toutes les forces psychiques (automatisme

Introduction de Français Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français de la période romantique, né le 11 décembre 1810 à Paris, ville où il est décédé le 2 mai 1857. Nous allons étudier la Nuit de mai de Alfred de Murret, c'est un poème lyrique. Le genre lyrique est Le mot lyrisme est dérivé de la lyre, instrument de musique à cordes qui est l'attribut d'Hermès, son inventeur, d'Apollon musagète, d'Orphée, et d'Érato, muse antique de la poésie lyrique et érotique mais bien représentée

didactique en se mettant au service de la pensée. La poésie peut être engagée et défendre des interêts, des causes ou bien simplement faire évoluer l'homme. La poésie peut refléter les sentiments, souvent personnels mais qui tendent à l'universalité, du poète comme dans les poésies lyriques. Enfin, la poésie peut être centrée sur elle-même, on parle alors de fonction métapoétique. Je trouve que les textes poétiques sont souvent durs à cerner car les poètes sont, parfois, « dans leur monde », ils mettent

Comparaison Sensation (1), Ma Bohème (2), Aube(3) Dans (1) le poète évoque sa marche dans l’espace réel de la nature mais le poème se termine sur une comparaison : « heureux comme avec une femme » il suggère donc une équivalence entre la nature et la fable et on peut même dire qu’il substitue la femme à la nature substituant en même temps le monde du sentiment au monde des sensations. Dans le (2), on a, au contraire, un mouvement ascensionnel qui correspond au passage de la réalité au rêve :

La poésie est apparu il y a très longtemps et était le plus souvent chantée ,accompagnée d’un instrument comme la lyre. Son sens vient d’un verbe grec signifiant « créer » « inventer ». Le poète a donc le droit et le devoir d’utiliser son imagination pour écrire ses poèmes. Il pourra utiliser toutes les ressources possibles dans le langage pour essayer de faire passer un message ou une émotion aux lecteurs. Il pourra notamment se servir de son cœur et de ses expériences pour inventer des poèmes

remarquer dans le sonnet XII du recueil Les Regrets que lorsqu'un poète « chante » son mal, il « l'enchante ». De quelle façon le poète traite-t-il son « mal » par le biais de son écriture poétique ? Non seulement il transfigure la douleur que lui procure ses expériences personnelles, mais celle-ci devient le moteur de créations parvenant à plaire et influencer l'humanité. Afin d’exercer un certain « pouvoir » sur les lecteurs, le poète s'adonne à un sujet significatif : son propre vécu. Il couche

décline sur des registres sombres. Elle conduit pourtant le poète à s’engager sur d’autres plans. Comment passe-t-on de cette dimension lyrique, introspective à l’ouverture sur le monde ou à l’engagement politique ? Le poète souffre – il a une sensibilité exacerbée, une conscience aiguë du temps qui passe et de son impuissance. Lamartine clame sa douleur dans le fameux Lac où Musset adoptant la forme originale du dialogue avec la muse affirmant « les cris désespérés sont les chants les plus beaux »…

LA MUSE. Alfred de Musset, La Nuit de Mai, 1835 Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur Mais, pour en être atteint2, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d’un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s’abattre sur les eaux. Déjà, croyant