Le Premier Amour De Beckett

Département de Français CSJ ANTOURAClasse de 1re F 1Lycée 1CORPUS POUR LE COMMENTAIRE Texte 1 : Corneille , L’Illusion comique , Acte V, scène 5, 1639. Pridamant cherche son fils Clindor, qu’il n’a pas vu depuis dix ans. Le magicien Alcandre l’amène dans une grotte d’où il peut voir la vie de Cindor se dérouler sous ses yeux. Désespéré de voir son fils mourir sous ses yeux, Pridamant veut mourir à son tour. Comment ce passage illustre-t-il

d’abord nous invite à considérer un lieu privé de sa fonction initiale : c’est le sens qu’on peut déceler dans la polysémie de l’adjectif « ancienne » qui signifie tout à la fois « vieux » et « qui n’exerce plus sa fonction ». En outre, les deux premiers vers du poème exposent brièvement, en une introduction succincte – dans une phrase non verbale – l’histoire professionnelle du lieu, depuis son activité « cosmopolite » à sa retraite ; la dernière expression du ternaire (vers 2) rend pleinement

cm. 10-18, 1505. Trad. de l'anglais.. ISBN 2-264-02382-1, ISSN 0240-2300 Résumé : La vive et ironique Elizabeth Bennett, qui n'est pas riche, aimera-t-elle le riche et orgueilleux Darcy ? L'épousera-t-elle au mépris des conventions ? Il s'agit du premier roman de Jane Austen, et il est considéré par beaucoup comme son chef-d'oeuvre. Cote : R AUS Austen, Jane / Arnaud, Pierre. L'abbaye de Northanger. Paris : Gallimard, 2004. 296 p. ; 19 x 13 cm. L'imaginaire, 503. ISBN 2-07-077083-4, ISSN 0151-7090

donne lieu à tous les excès. Le monstre a de multiples facettes. ____________________________________________________________ _____________________ Shakespeare était devenu l’ami et le protégé du jeune comte de Southampton à qui il dédia son premier ouvrage, “Vénus et Adonis” (1593), bientôt suivi d’un autre long poème, “Le viol de Lucrèce” (1594) et de l’admirable et énigmatique recueil des cent cinquante quatre ‘’Sonnets’’, d’une grande intensité pathétique, composés autour d'un seul thème

sont désignés que par les pronoms personnels de la troisième personne, qui sont déterminés par le lieu, la circonstance, la situation, ne sont jamais étudiés par eux-mêmes mais par I'intermédiaire de ceux auxquels ils sont liés. Mais, si, dès ces premiers textes, la romancière manifesta sa méfiance à l'égard du personnage traditionnel (un «trompe-l'œil», allait-elle écrire dans ‘’L’ère du soupçon’’), elle s'attachait à son monde intérieur, aux «sources secrètes de I'existence humaine» (id.) qui tissent

utiles en classe de Première car c’est bien souvent dans cette classe qu’on peut aborder avec profit les chefs-d’œuvre de Corneille, de Racine ou de Molière. 165 CHAPITRE 31 Repères généraux Le texte théâtral (PAGES 158 à 163) Le premier chapitre consacré au genre théâtral rappelle les particularités du texte théâtral destiné à la fois à la représentation et à la lecture. C’est parce qu’on peut le lire, et qu’on peut prendre intérêt et plaisir à cette lecture, que le genre théâtral

autant à annihiler cet effort de l'imagination chez le spectateur, qui n'a plus besoin d'imaginer tel atmosphère angoissante, ou au contraire tel salon bourgeois, puisqu'il les a directement sous les yeux. Naturalistes et symbolistes ont porté le premier coup à ce dialogue ininterrompu (et parfois tumultueux) entre la parole et l'image au théâtre, même si leurs images avaient encore ce désavantage par rapport à la parole d'être fixes, de ne pouvoir exprimer qu'une seule chose, ou qu'un ensemble limité

lire" (De studio legendi), destiné à guider les étudiants dans leurs lectures personnelles et communautaires. Pour savoir ce qu'il faut lire (quid legendum), en quel ordre (quo ordine), et de quelle manière (quo modo), Hugues propose dans les trois premiers livres de son traité, une classification des sciences qui, tout en faisant place à la vieille distinction des sept arts libéraux, les replacent dans un cadre beaucoup plus large. Au sommet du savoir "humain" il situe la "theoricia" (ou science spéculative)

a conscience du Mal en lui (le poème « L’irrémédiable » se termine par le vers « La conscience dans le Mal »), Mal qu’il rattache à la doctrine chrétienne du péché originel. Cette conscience du mal ne peut que désespérer, être cause de Spleen. Le premier poème du recueil, « Au lecteur », qui fait figure de préface, juste avant le début de la section « Spleen et Idéal », révèle très clairement cette conscience du Mal en l’homme. Citons deux vers : « Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches » ;

qu’estime et reconnaissance. Après le mariage, elle rencontre le duc de Nemours, lui aussi beau parti Coup de foudre immédiat et réciproque. Le duc de N., très courtisé est un homme à femmes mais qui réserve son amour à la P. de C. Par souci de vertu, la P. de C. avoue, un jour, son amour pour la duc à son mari qui en meurt de chagrin. La p. de C. culpabilise et après le deuil, le duc de N. la demande en mariage mais celle-ci refuse par vertu et par peur puis entre dans une maison religieuse.