Le Prisonnier zéro

physique soit il, ayant intérêt a ce que les autres tiennent parole tandis que lui-même serait libre de ne pas tenir la sienne, toute coopération purement volontaire est impossible. Dans le langage de la théorie de la décision ce dilemme des prisonniers ne peut pas déboucher sur une solution coopérative en l'absence de contrainte extérieur ; Contrainte qui dans le cas actuel, est représenté par des États qui s'approprie le monopole de décision dans les organismes internationaux perçus par une

société en se moquant de sa maladresse et de son malheur parmi les hommes. Ce niveau du sol, ou plutôt ici niveau des planches , constitue tout ce qui fait le malheur du poète : la bassesse humaine, le niveau zéro de la pensée et de la morale, l'attachement aux préoccupations matérialistes (les « affaires », disait-on au XIXe siècle), le manque de sensibilité, l'absence d'intérêt pour la Beauté, pour l'Idéal, pour la vie de l'esprit.

biais cognitifs (le cerveau humain est imparfait et amené à faire des erreurs systématiques de jugement, d’interprétations…). L’idée est que plutôt que d’être rationnel, les humains prennent systématiquement des mauvaises décisions (le dilemme des prisonniers). La rationalité parfaite , c’est disposé à la fois d’une information complète et d’une information parfaite. Quand il s’agit de prendre une décision, il nous faut l’information. Au-delà de l’information parfaite

Marie est venu me rendre visite une seule fois. Dans le parloir, tout le monde était forcé de parler à voix haute. J'étais étourdi par tout le chaos qui y régnait. J'étais habitué au calme de ma cellule. Ma voix se perdait parmi celles des autres prisonniers. Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - L'Étranger - Albert Camus Au début, le plus difficile, c'est qu'on m'a tout pris, même mes cigarettes. J'avais alors une nausée perpétuelle. J'avais des désirs d'évasion, de liberté, de mer, de plage

série, V, 1826, pp. 590-591. terre qu’ils habitent. Il semble bien que l’on soit encore ici dans une géographie de la localisation et de l’inventaire, assez proche de celle qui se pratiquait au XVIIIe siècle et que l’on pourrait appeler le degré zéro de la géographie. Dans cette Géographie de l’Afrique proposée par les géographes de la Société de Géographie dans la première moitié du XIXe siècle, les lieux parcourus par l’explorateur dessinent une figure de l’espace parce qu’on peut les inscrire

soit plus « puni » avec deux ans que cet autre avec dix. Mais toutes les condamnations à la détention ont un point commun : elles se veulent « infamantes », c’est-à-dire déshonorantes et avilissantes. La subordination permanente qu’on fait subir au prisonnier est un stigmate, cette marque qu’on appelait justement d’infamie jadis appliquée au fer rouge. Lieu d’asservissement, la prison ne peut que pervertir ou démolir les hommes. On y a le droit d’exiger du condamné n’importe quoi. Et plus il acceptera

fils Michel « à la dure », suivant l’expression populaire. De sa véritable profession, Pierre Strogoff était chasseur. Été comme hiver, aussi bien par les chaleurs torrides que par des froids qui dépassent quelquefois cinquante degrés au-dessous de zéro, il courait la plaine durcie, les halliers de mélèzes et de bouleaux, les forêts de sapins, tendant ses trappes, guettant le petit gibier au fusil et le gros gibier à la fourche ou au couteau. Le gros gibier n’était rien de moins que l’ours sibérien

pour le délit de fraude habituelle (instauré par la loi Vaillant de 2001, étendu par la loi Sarkozy de 2003, et mis en œuvre dans le (4) Pour une critique chiffrée de la campagne anti-« fraude » de la SNCF en 2004, voir l'article « Déjà 5% de prisonniers en plus » (Monde Libertaire n°1354, 8-14 avril 2004). cadre de la comparution immédiate des lois Perben I et II de 2002 et 2004), on peut estimer à plus de 8000 les dépôts de plainte des exploitants (environ 5000 par la SNCF sur toute la France

manifeste dans les actes. Bits et atomes Nicholas Negroponte (a fait 90% de l'ergonomie des ordi d'aujourd'hui) a écrit un livre Being digital qui a beaucoup inspiré des créateurs de cyberespace Bit ; se qui compose les données informatiques, zéro et un (mais pas que ça). Constituant essentiel de l'info numérique, réductible en une série de valeur de bits moyennant un certain codage. Oppose ça à l'atome, constituant de la matière Il lui est arrivé un jour dans une société, demandant du

desquels s’est structurée la personne. Le criminel s’efforcerait de maintenir un niveau d’excitation élevé pour avoir le sentiment de contrôle sur autrui et un sentiment de toute-puissance permettant d’éviter le sentiment de nullité catastrophique zéro-state qui correspond au sentiment de n’avoir aucune valeur. Van Gijseghem pense que l’activité délinquante est un trouble du narcissisme. C) Les conflits psychiques à l’origine de la délinquance : La perspective freudienne a établi un double