Le Procès De Meursault

meurt tragiquement trois ans plus tard, dans un accident de voiture. 2. Résumé Le narrateur, Meursault, employé de bureau à Alger, apprend que sa mère est morte, dans un asile. Il va l'enterrer sans larmes et trouverait hypocrite de simuler un chagrin qu'il n'éprouve pas. De retour à Alger, il va se baigner avec une jeune fille, Marie Cardona. Ils se rendent au cinéma et elle devient sa maîtresse. Meursault se lie avec son voisin de palier, une sorte de souteneur, Raymond Sintès, qui lui demande de

Dans l'Etranger de Camus,publié en 1942,le narrateur,Meursault,commet un crime au milieu de l'oeuvre,à la fin de la première partie,ce qui va constituer une sorte d'axe de symétrie du roman.La scène a lieu le dimanche;après une rixe avec des Arabes,Meurasault affirme lors de son procès avoir commis son acte "à cause du soleil",il ne ment pas. Il nous faudra voir paradoxalement,dans la scène du crime qui bouleverse sa vie,Meurault n,e nous apparait pas comme l'assassin mais comme la victimed'un processus

III. Analyse de L’étranger A TERMINER Résumé ; titre (cfr extrait du Mythe de Sisyphe sur l’étrange, texte de Camus sur son Etranger) ; analyse du personnage de Meursault et de l’absurde (à partir de l’extrait du meurtre, de l’enterrement) ; comparaison incipit / fin ; gestion du temps (journal + mémoires) ; thèmes du travail de groupe (soleil, mer, mère / femme, justice, communication difficile, mort / peine de mort) ; question écrite. - Commencer par la séance par demander un résumé du texte ;

théorie philosophique qu’il développe dans le Mythe de Sisyphe (essai, châtiment éternel : condamné à pousser un rocher le long d’une montagne => quand Sisyphe décide de faire cet acte de son propre gré et non parce qu’il est contraint, il est libre). Meursault n’a pas conscience de l’absurdité de sa vie, il la subit ; il prend progressivement conscience qu’elle n’a pas de sens : il n’a pas de principes moraux, culturels, religieux, il est lucide, il prend réellement conscience qu’à la fin du roman.

composée d’un roman, d’un essai (Le Mythe de Sisyphe) et d’une pièce de théâtre (Caligula). Dans la première partie, Meursault représente l’homme absurde. Pour lui, l’existence n’a pas de sens, la fatalité se dresse devant nous. Toutefois, ce constat ne le rend pas pessimiste, il reste positif, il accepte les choses telles qu’elles sont et ne ment pas. Dans la seconde partie du roman, Meursault devient l’homme révolté contre l’injustice, contre une mort qui arrive trop vite et en même temps il se réconcilie

Question Bilan : Résumer en quelques lignes, les éléments de la biographie de Camus qui vous paraissent importants. Le début et la fin de l’étranger. Le début L’auteur et son personnage. Retrouvez au moins deux points communs entre Meursault et Camus ? Meursault et Camus sont tous les deux d’Alger et orphelins de père. Après la lecture des deux extraits quel sens donnez-vous au titre l’étranger ? L’ouverture. En quoi la première phrase peut-elle surprendre le lecteur ? La phrase d’introduction

s’est particulièrement intéressé au concept de l’absurde de l’existence après la seconde guerre mondiale. Notamment au travers du mythe de Sisyphe. Cette idée de l’absurde est aussi reprise dans l’étranger ou l’on suit la vie de Meursault, le meurtre qu’il commet, son procès et sa détention avant de se faire exécuter en Algérie où camus a d’ailleurs vécu. L’incipit A une attitude déconcertante 1) Une réaction étrange : question de la date de la mort, personnage décalé : garde de ses même habitude

lumière, avec un sérieux pénétrant les problèmes qui se posent de nos jours Le narrateur, Meursault, employé de bureau à Alger, apprend que sa mère est morte, dans un asile. Il va l'enterrer sans larmes et trouverait hypocrite de simuler un chagrin qu'il n'éprouve pas. De retour à Alger, il va se baigner avecune jeune fille, Marie Cardona. Ils se rendent au cinéma et elle devient sa maîtresse. Meursault se lie avec son voisin de palier, une sorte de souteneur, RaymondSintès,qui lui demande

ensuite une plus grande ampleur. Le roman est divisé en deux parties, comportant respectivement six et cinq chapitres numérotés mais non titrés. La première partie (avant le procès) est la relation au jour le jour, par un narrateur minutieux, sans conscience apparente, de faits apparemment décousus. Le narrateur parle de Meursault comme si c'était un autre, dès l'incipit : «Aujourd'hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : "Mère décédée. Enterrement

Chapitre 1 : annonce de la mère de Meursault. Meursault se rend à l’asile : le directeur, le concierge. La nuit à la morgue. Le cortège, l’enterrement Chapitre 2 : samedi : lendemain de la mort de la mère de Meursault. Baignade avec Marie Cardona au port. Instants passés avec elle. L’inaction de Meursault un dimanche durant Chapitre 3 : Meursault au bureau. La pause à 12.30 avec son collègue Emmanuel. Le vieux Salamano et son chien. Raymond Sintès. Chapitre 4 : Meursault et Marie à la plage. La querelle